Soigner ce corps mourant

*L'elfe noir sourit, puis as d'abord sa réaction habituelle.*

Pourquoi?

*Le pourquoi reste plutôt émerveillé, mais un peu dubitatif. Il se rattrape cependant très vite.*

Enfin... enfin j'veux dire c'est super, et... et il va m'aller mieux que l'autre j'en suis sûr! t'as l'art de toujours trouver ce qui me plaît, je me demande comment tu fais...

Je devrais t'offrir des cadeaux plus souvent moi aussi je crois.

*Un peu pensif, il contemple sa nouvelle acquisition, la tourne sous tous les angles, observe le moindre détail, les poches, les dorures, tout.*

Merci...

*Arfel a le sourire qui est revenue, plus contente que si s'était elle qui recevait un cadeau : le voir heureux de son présent la ravie beaucoup. Elle lui répond.*

Pourquoi ? et bien, pourquoi il faudrait des raisons de te faire plaisir ?... de rien...

Hehe... le vendeur était étonné que je le lui achète. C'était un p'tit vieux, un elfe noir qui devait avoir facile 180 ans. Il avait sa petite boutique de matériel elfe noir, parmi celles typiques des elfes blancs. Il m'a demandé de ce que j'allais faire de ce grand manteau. Je lui est répondu que s'était un cadeau pour mon compagnon... il s'est mi a me parler alors de quelques couple mixte comme nous qu'il a connut, et bien souvent il se sont mi a vivre en retrait de leur deux races respectives.

Lui même a été l'époux d'une elfe dans sa jeunesse... mais elle est morte en mettant au monde leur premier fils. Depuis il garde l'échoppe de sa femme. Quand je lui est alors parlé de Maïtaga, il a insisté pour me donner le cadeau que je vais lui faire, en me souhaitant un belle avenir avec toi.

Ce manteau il n'arrivait pas a le vendre, car de base il avait été cousu pour son fils... il est plus grand que les autres elfes noirs. Et les elfes blanc n'aiment pas trop porter du noir. Je ne sais pas pourquoi il ne l'a pas récupérer au final... m'enfin, voila la petite histoire du marchant drow en terre d'elfe blanc !

Oui...

*La réponse d'Arfel lui paraît soudain toute bête mais il n'a simplement pas l'habitude de ce genre de petit geste*

C'est étrange comme histoire mais intéressant...

*Il se penche et l'embrasse, aux anges, les pensées un peu vagabondes. Mais il se force à se calmer par précaution et tente de nouveau de se mettre debout, s'appuyant à son dossier pour ne pas tomber, levant le bras pour attraper une grande feuille sur un arbre. Il souffle dessus, celle ci s'envole, et se contorsionne, prenant l'apparence d'un petit oiseau végétal.*

*Aux anges tout autant, la jeune femme garde un sourire doux sur le visage. Elle l'aide a se lever, et observe avec un plus largue sourire son petit exploit poétique. C'est un petit cadeau qu'il lui montre a voir, sortie tout droit de ses dons, comme la foi ou il lui avait fait voir les runes d'un arbre. Arfel le soutient alors, passant un bras en dessous de l'un de ses bras a lui, mettant sa main a l'autre bout, puis se mettant sur la pointe des pieds, lui donne un baissé sur la joue en rajoutant.*

Il faudra que tu m'apprennes ça aussi !!...

*La jeune femme touche ensuite l'arbre, qui se met a fleurir rapidement, puis les pétales tombent comme une neige de printemps. Sans doute un clin d'œil au froid de son pays d'origine. Une infirmière s'arrète et regarde depuis une fenêtre le petit jeu des amoureux, se disant que ce sont des originaux ses deux la. Arfel lui dit.*

Comme ça il neige même chez les elfes blancs... bon ! et si on allait voir les réalisation de notre chère canaille ?

Ah,ah je préfère cette neige là elle est plus douce!
Euh... oui si tu veux, je vais m'asseoir alors... quoi que... tu est là, aides moi, avec toi je sais que je tomberais pas.
Et si je suis trop lourd dis le moi je ferais attention à moins m'appuyer d'accord?

D'ailleurs, un infirmier m'a montré des objets tout bête pour marcher même sans être en état. ça donne une piteuse apparence mais au moins ça fonctionne. Des béquilles ils appellent ça.

*Il lève la tête et soupire.*

#Rien que ces petits sorts m'ont fatigué...#

Oui oui... pas de problème, je veux bien aider mon grand elfe bleu. J'ai récupéré presque toutes mes forces par rapport a toi^^ !

*Pas a pas, le tenant fermement en dessous les épaules d'un bras, elle l'aide a marcher, ralentissant quand elle sent qu'il a besoin de repos. Elle l'écoute, oui elle avait vue ce genre d'outils qui donnait des airs d'oiseau a échasses, une démarche saccadé mais au moins une possibilité de mouvement. En chemin elle lui demande.*

Tu continuera tes projets ?... je veux dire la nef et tout ?... Tins je pensais a ça, quand j'aurais trouvé l'argent, j'aimerais aussi m'acheter une monture, pour faire des courses avec toi, et Maïtaga.

*La jeune femme semble y tenir alors que sont visage s'éclaire de joie, le manteau sous l'autre bras.*

*L'elfe noir reste un moment bouche bée. Il ne dit rien il sourit simplement mais ses yeux se mettent à briller, oui même s'il continue à être suivie, s'il risque sa peau cette perspective lui plaît ce serait même un petit rêve que de partager ses rêves personnels avec ceux d'Arfel.*

Si tu veux que je continue ma nef alors je le ferais. Mais il faudra aussi que j'ai le permis avant ça ce sera long. Et pour un cheval pourquoi pas? En attendant je pourrais essayer d'habituer un peu ma jument pour que tu puisse la monter, même si elle est un peu spéciale... Je crois que le chevaux omnivores n'existent qu'ici...

Je t'aiderais pour la nef si tu en as besoin... j'aimerais bien apprendre ça aussi. Pour le permit je ne m'en fait pas pour toi ! je penses que tu as ça dans le sang. Et... pour ta jument... et bien ça serai une joie !

*Elle lui donne encore la un largue sourire qui plisse ses yeux en forme amende, leur donnant un air malicieux et vif. Au bout d'un moment de marche, ou la jeune femme s'imagine voler au dessus des nuages, et faire la course avec les deux canailles bleu, ils arrivent devant une pièce recouverte de dessins sur les murs. Il y en a des colorés, mais aussi d'autre qui laisse transparaitre une douleur timide. Le sol lui est recouvert de quelques joué et papiers froissé... on sans bien qu'il y a de l'ambiance ici. Voyant Maïtaga un peu plus loin prés d'une fenêtre, Arfel continue d'avancer en contournant les obstacles, pour éviter qu'un grand drow ne chute et elle avec.

Avec patience, ils arrivent au but. La jeune femme aide son aimé sur une chaise juste a coté, lui s'approchant de la chimère, elle passe une tête au dessus de son épaule et lui demande.*

Alors... tu fais quoi de beau ?

*Arfel reste un moment bouche-bée, a regarder avec quel habileté lui aussi sait reproduire ce qu'il voit sur papier. Elle passe une main ébouriffante dans sa tignasse et lui sort.*

T'ai bien comme ton maitre toi^^ !

*Elle envoie un regard a l'adulte et lui montre l'un des dessins rapidement. Elle embrasse la chimère sur la tête et s'acroupie a coté de lui, lui tentant un petit paquet.*

Tiens c'est pour toi... mon père m'a dit que tu avais aidé a ce que l'on se réconcilie avec Rödschrek, alors que nous étions déchiré l'un l'autre... je te dois bien ça.

*L'adulte sourit et envoie un regard un brun complice à sa chimère. Il s'appuie sur le rebord de la fenêtre pour cacher son mal de tête et rester un peu en mode mollasson.

La chimère accueille avec étonnement et grand sourire le paquet qu'il prend comme s'il s'agissait d'un trésor. Alors qu'il s'attarde un peu son roi se manifeste.*

Bon alors déballes le qu'est ce que tu attends?

*L'enfant s'exécute rapidement, on ne lui redira pas deux fois.*

*Arfel rit de la remarque du drow, se demandant qui des deux est le plus curieux de savoir ce qu'il y a dans le paquet. Dans celui-ci, la chimère peut y découvrir un petit collier : un cordon en cuir noir avec en pendentif, une pierre caméléon (qui change de couleur) bordé d'une lune d'argent foncé. Avant qu'il ne dise quoi que ce soit, la jeune femme s'exclame.*

Non non t'inquiète pas, je ne t'offre pas des bijoux mon p'tit Maïtaga^^ !

*En effet, ce pendentif fais plus allusion a celui qu'il avait voulu lui offrir pour la protéger contre les esprits. C'est a présent a elle de lui en offrir pour lui montrer son affection et sa volonté de veillez aussi sur lui.*

C'est une pierre des terres elfiennes qui change de couleur, et autour un métal qui vient des terres d'Imvar... c'est le marchant a qui je l'ai acheté qui les fessait.

*Elle ne lui dit pas de suite ce que cette pierre peu faire d'autre et pourquoi, le laissent prendre son temps.*

*La chimère reste bouche bée. L'elfe noir se rapproche pour vérifier si ce qu'il voit est bien réel. Un regard entendu, la chimère le tend un moment au drow. Celui ci l'observe un peu et lui rend visiblement incrédule. Maïtaga l'enfile bien rapidement et rajoute tout excité :*

ça c'est une sacré bénédiction de la Terre Mère!!!
Vous avez vu mon roi? Merci Arfel!!! ce marchand est extraordinaire!

hehe... oui, d'autant plus qu'il est très gentil. De rien, ça me fait plaisir !

*Elle se relève et lie ses mains en avant, comme attendant que le temps passe. Elle regarde ensuite un peu ce que les autres enfant fond, puis de façon presque inconsciente, elle revient se poster prés de l'ancien roi, en mettent une main chaleureuse sur sa nuque, recherchant la présence de celui-ci. La pièce est bien remplie et il n'y a pas que des elfes. D'ailleurs une grande partie des enfants hospitalisé ne sont pas du tout de petit elfes blancs, mais des elfes noirs, des humains... etc.

La jeune femme se sent d'un coup bien mal alaise dans cet endroit, comme si elle sentait la peur et la douleur suintante des murs. Elle demande a la chimère.*

Tu... tu t'amuse bien ici ? si tu veux on peu faire quelque chose tous les trois. Si Rödschrek est d'accord et d'aplomb ?

*La chimère a sans doute déjà vue bien pire que des enfants en mauvaise santé, mais comme par instinct, la jeune femme veut ôter de devant le petit bout de chimère, tout ceci.*

Je m'amuse bien mais les autres enfants n'aiment pas trop jouer avec moi et... mon roi!!!

*Le tête de l'elfe noir se fait de plus en plus lourde, il perd de nouveau conscience, et s'affale bien vite, rattrapé par le gamin.*

Mais bon sang, c'est quoi qui vous empêche de manger à la fin? vous avez quoi encore? Réveillez vous! eh? eh!!!

Arfel, Arfel il s'réveille pas!!! Au secours!

*Un infirmier et deux infirmières viennent le récupérer en trombe et le portent jusqu'à son lit. On lui remet une perfusion enlevée, de quoi le nourrir artificiellement.

Deux médecins reviennent quelques minutes plus tard, parlant dans le couloir des raisons qui pourraient le pousser à ne pas s'alimenter. L'un parle de faire venir un psychologue, l'autre énervé tente de résonner son confrère. Lui pense qu'il doit avoir un problème quelque part, il tient à l'ausculter lorsqu'il sera réveillé, afin de voir ce qui ne va pas chez lui. Le débat ne mène à rien finalement l'un rentre dans la chambre attendre qu'il se réveille, l'autre part prendre rdv à l'elfe noir.*

*Une autre crise ! En le voyant tomber, Arfel en sursaute de peur et semble tétanisé, n'ayant pas vue la chose venir. Heureusement que la chimère le retient, sinon s'était une table qu'il se prenait de plein fouet conte le front. A peine elle l'avait touché, qu'il était tombé comme une statue de porcelaine. Arfel cour alors chercher le premier infirmier qui lui tombe sous la main.

Dans le couloir, elle assiste anxieuse a la discussion des deux médecins, se grignotant le bout des ongles, nerveusement fatigué cette foi. Lorsqu'elle se rapproche de lui, lui prend les mains pour comprendre ce qu'il a en liant son énergie avec la sienne, c'est le trouble... et la version des deux médecins semble être juste : il n'a plus d'appétit ni physiquement ni mentalement. Elle ne quitte pas ses mains ni sont chevet, attendant qu'il se réveille, et donnant de son énergie secrètement par petite dose. Paniqué pour changé, elle le sollicite mentalement.*

#Je t'en pris... réveille toi...#

*La perfusion faisant rapidement effet, il se réveille assez rapidement, dès que son corps a repris assez pour s'éveiller. Ajouté à cela que l'énergie d'Arfel l'a bien aidé. Il l'observe, d'un air qui voudrait dire "excuse moi" mais ne dit rien tournant de suite son visage vers l'homme qui se rapproche. Celui ci soulève le t-shirt du drow et commence à appuyer sur plusieurs zones de son ventre. Des râles étouffés lui indiquent enfin les zones ou il a mal.*

Il serait bon jeune homme, pour nous faciliter la tâche et vous permettre de guérir que vous nous indiquiez dès que quelque chose ne va pas. Vous êtes tellement contracté que je me demande même comment vous faites pour bouger.

Uhm ce doit être une réaction aux antidouleurs que nous vous avons donné en continu ces derniers jours...
Vous avez envie de vomir également non? c'est ça qui vous empêche réellement de manger.

*Le drow fini par acquiecer de mauvaise grâce. Le médecin renchaine, passe une lumière devant ses yeux, vérifie la cornée.*

Et une réaction allergique à un anti-infectieux. Eh bien on va simplement changer ça, mais à l'avenir faites des efforts, dîtes nous ce qui ne va pas, et mettez vous enfin dans le crâne que si vous ne mangez pas, nous serons obligé de vous isoler complètement du monde extérieur pour vous obliger à reprendre du poil de la bête.

*Le drow prend très mal cette dernière réplique. Préférant toujours se taire, il serre les points, mais Arfel peut sentir une haine pure le piquer à vif.*

#qu'il essaie... qu'il essaie seulement ...#

*Bien qu'il étouffe la fin de sa pensée, il est aisé de par son état de comprendre la suite. Il a failli rajouter un mentalement : et je le tuerais!*

*Piqué a vif par ses dernières pensée sauvage, la jeune femme se lève brusquement en retirant ses mains. Ce n'est qu'après un moment de réflexion qu'elle revient. S'asseyant a coté de lui, elle lui dit sur un ton patient et bienveillant, malgré son irritation.*

Röd... mon père te voulais t'il du mal ? Pense tu réellement que ce médecin est dangereux pour toi ?
Ils font leur métier tu sais, et ce qui peut te paraitre mauvais venu d'un médecin ne l'ai pas forcement... il tente de te faire peur pour te pousser à agir. Arrête de voir tout les vivant comme de possibles tueur... sinon tu ne vivra jamais en paie. Et dis le quand tu ne te sens pas bien, le personnel d'ici est fait pour t'assister et d'aider a sortir d'ici.

Ne cède pas a la panique... jamais je les laisserais te mettre loin de nous. Ne pense tu pas ?

*L'elfe noir desserre la mâchoire bien difficilement.*

Non... mais des médecins de ce genre m'ont déjà attaché pour me cantonner à leur hôpital!!!

*les deux dernières phrases le ramène cependant bien à la réalité.*

Oui... s'ils... s'ils voulaient m'enfermer, empêche les j't'en supplie! plus jamais ça...

*Voyant sa réaction, Arfel a l'impression d'avoir un gamin apeuré sous ses yeux. Elle lui sourit pour confirmer qu'elle ne le laisserait pas. Sachant comment faire pour le calmer un instant, elle l'embrasse avec affection et rajoute.*

Ils n'oseront pas... sinon ils vont voir de la verdure pousser sur leur tête ! Et puis je ne laisserais personne te faire de mal... car ce qui te fais du mal je ne le supporte pas. Je reste prés de toi...

*C'est justement l'heure du diner. Une infirmière pas très motivé sachant pertinemment que le patient de cette chambre ne mangera rien, dépose un plateau garni de nourriture. La jeune femme rajoute souriante, avec une pointe de sadisme.*

Mais par contre si tu ne mangue pas au moins la moitié de ce qu'il y a la... je vais te forcer en te la mettant dans le bec comme a un petit enfant !

*Le gamin en voyant le tableau court vers la salle commune, préférant manger avec les autres. Une autre infirmière vient lui passer des médicaments, lui disant que son traitement a été changé et allégé. L'elfe noir soupire en voyant ce qu'il considère comme un bombardement de médocs. Il les prends en premier pour passer la partie difficile, l'infirmière lui explique que son estomac devrait se porter mieux d'ici une demi heure, et que son plateau lui sera laissé un peu plus longtemps au cas où il vaudrait manger lorsqu'il aura moins mal. Elle rajoute également qu'on pourra lui réchauffer si besoin. Le drow acquiesce sans rien dire puis commence à manger sans grand appétit voulant finir ce moment casse pieds de la journée au plus vite. Il s'arrête bien vite cependant, la gorge serrée, affligé d'une forte nausée.*

#Uhm... c'est juste pour que l'autre imbécile ne m'enferme pas!

*Pendant ce temps le second médecin a déjà pris rdv avec un psychologue qui viendra le lendemain, et note ce détail dans le dossier du drow, retardant sa date de sortie de 2 semaines.*

*La jeune femme jette l'éponge, ne sachant plus quoi faire pour ce drow têtue comme une pierre tombale bien encré dans le sol. Elle a l'impression que ce qu'elle lui dit passe aussi bien qu'un courant d'air.*

Bien bien... mange pour prouver a cet imbécile que tu peux éviter la camisole ! Mais surtout ne pense pas que c'est POUR ton bien, et celui de ceux qui t'aiment.

*Elle se retourne pour ranger dans un placard le manteau, puis va parler un moment avec le docteur. Quand elle apprend qu'il devra rester encore plus longtemps, la jeune femme baisse la tête : deux semaines, ça va le rendre dingue au bout d'un moment, lui qui n'aime pas rester sur place plus de quelques heures. Allant se chercher a manger, elle revient une heure et demi après, et entame son sandwich non loin de lui, accoudé a une fenêtre, le regardant discrètement pour voir s'il mange réellement. Arfel lui dit au bout d'un moment.*

Je... je serais moins présente les jours qui vont suivre. J'ai réussi a trouver un petit job dans une boulangerie... si l'on veut réaliser nos rêves, il nous faudra de l'argent... et je dois dire que mon compte est a sec en se moment.

*La jeune femme n'aurait pas pu trouver meilleurs termes pour le décourager. Il essaie de continuer mais repousse finalement tout. Il écoute la suite attentivement et sourit.*

Bravo, c'est bien tout ça! J'espère que tu y arriveras et que tu te plaira. Tu as raison, il faudra que je retourne à la citadelle reprendre mon boulot également. Il me donne beaucoup plus que n'importe quel autre travail que je pourrais trouver et c'est sans doute la seule chose que je sois capable de faire...

Oui je sais il faut reprendre des forces avant, je fais juste une pause d'accord? et regarde, presque la moitié^^'

*La bouche remplie de condiments, Arfel lui sourit également, même si ce travail a la citadelle negro elfienne ne lui plait guerre, persuadé qu'il est bien payé parce qu'il risque sa vie. Elle se rapproche et l'embrasse sur le front avec un "C'est bien", en voyant son assiette plus vide que de coutume. Elle le sait très bien capable de beaucoup d'autres choses, mais qu'importe... si c'est ce qu'il veut. Elle s'assoit et détaille un peu plus son travail.*

La boulangerie ou j'ai acheté ce morceau de pain la... il avaient besoin d'une vendeuse, et je suis tombé sur l'annonce accroché sur la vitre, pile au moment ou je pensais justement que je pourrais recommencer a travailler avant que tu ne sorte. Hehe... c'est comme une sorte de signe il faut croire.

*La bouche un peu remplie elle reprend, mordant dans sa nourriture avec détermination du a sa faim, contrairement aux bouchées de mouches de l'elfe noir.*

J'en ai parlé a la vendeuse, et c'est elle que je remplacerais pendant un temps, et comme s'était urgent pour eux, il m'ont pris d'office pour demain.

*Elle a a présent un grand sourire, un brin blasé de la façon dont elle a trouvé aussi rapidement ce travail, comme si quelque chose clochait. Mais après tout elle ne va pas cracher dessus.*

Et toi... ton travail consisterais en quoi ?

*Il prend un ton enjoué d'abord, fier de ce qu'il fait, fervent comme le serait un Aërs blanc pour Âr.*

Oh eh bien c'est simple, mon rôle est de répondre à des alertes, des fais étranges, des voix entendues, et je me rends sur place pour enquêter...

*Il change de ton se rendant soudain compte que le problème de vision de cet univers existe toujours pour Arfel. Il se frotte la nuque mais continue, vu qu'il a commencé.*

Et j'envoie les âmes dans le royaume des morts afin qu'elles puissent y trouver la paix, et qu'elles ne dégénèrent pas en monstres astrals meurtriers, ou en esprits frappeur...

Et.... dans les cas ou j'arrive trop tard, mon rôle est de prévenir la Citadelle que d'autres nécromant viennent en renfort et qu'on puisse leur faire se rappeler de leur apparence d'origine, et trouver l'origine de leurs maux avant de les emmener à leur tour dans le royaume des morts.

Et comme ça le cycle est bouclé, et les naissances peuvent reprendre du côté vie.