Les poches du manteau noir ! toute une histoire ![fini]

Mieux ?...

*La jeune femme n'est pas au courant des résultats de ses analyses, alors tout ce qu'elle trouve a faire est d'encore lui sourire et dire que tout va bien. Puis elle regarde la chimère en se mordent légèrement la chimère : elle l'envi d'être ainsi contre son maitre, mais elle ne le lui volera pas se moment. Elle retire tout les trucs bidules qui sont accroché a ses tempes et ses bras et saute a terre. Elle se frotte rapidement les mains et se rapproche de Rödschrek en demandant.*

On peut retourner a la maison si toi aussi tu te sens mieux... Il ne faut plus que je traine. Je vais avoir du mal a payer mon loyer ce mois y.

*Elevân secoue un peu négativement la tête en disant qu'ils n'y retourneront pas. Persuadé que son père a changé d'avis sur le faite que l'elfe bleu vienne chez elle, Arfel pique en se collant un peu aussi celui ci.*

Mais pourquoi donc ?!

*L'elfe noir se frotte les tempes, pour calmer un mal de crâne naissant et une nouvelle envie de dormir.*

Comme je le disais tout à l'heure, je peux vous héberger. Je suis assez loin de la ville pour qu'Arfel ne risque rien. Il y a un téléporteur non loin de chez moi et les voix que l'on entend sont des artifices, normalement vous ne les entendrez plus... sauf votre femme au début Elevân.

Maïtaga peut retourner chercher Patache afin qu'il ne souffre pas de notre absence. Et quelques cristaux aussi pour avoir un lit de plus.
Je sais que la solution n'est peut être pas la meilleure, mais c'est la seule qui se présente pour le moment. Ce sera mieux que rien... et j'ai assez de place pour tout le monde...

*C'est plus Elevân qu'il regarde à présent droit dans les yeux.*

*Pivotant de sa chaise vers celui qui parle, Elevân regarde a présent le trio en fronçant un peu des sourcils.*

Arfel fait ce qu'elle veut elle est assez grande. Moi il faut que je vois Jujoss et que je lui en parle. Je ne prendrais pas la décision tout seule.

*De son coté Arfel est complètement largué, et tente de comprendre au travers de ce qui transparait de l'elfe noir. Son père lui explique alors la situation rapidement, sans lui parler de son problème de cervelle. Elle embrasse la chimère avec un petit sourire comme pour leur dire qu'elle leur fait confiance a tout deux. Mais de son coté Elevân est loin d'être convaincu... et il n'a pas spécialement envie de laisser "seule" sa fille avec ce jeune homme.

C'est alors que le neurologue revient et leur sort un joyeux "Aaaaah ! tout le monde se réveille enfin !!!". Elevân le fusil tellement des yeux qu'il repart sans avoir fait ce qu'il voulait faire. Se relevant, l'elfe blond se dirige vers la sortie et rajoute.*

Je vais aller voir ma Femme rapidement, et toi Rödschrek veille a ce que cet elfe médecin ne s'approche pas de ma fille... j'aime pas ce qu'il a dans la tête.

Oui Elevân...
Pas d'inquiétude à avoir pour ça... moi aussi je le surveille...

*Il reste cantonné à ses seules paroles, gardant sa chimère toujours dans ses bras. Un sourire est apparu sur le visage de l'enfant triste lorsqu'Arfel y a posé un doux baisé. Il se sent heureux avec eux deux malgré l'avenir incertain qui approche à grands pas. Rödschrek observe Elevân s'éloigner. Il lutte contre les médicaments assez férocement. Il se serait déjà rendormi depuis longtemps sinon. Il espère seulement qu'Arfel ne va pas venir se coller à lui de suite. Sinon le bien être va l'emmener retourner dans un profond et doux néant, ce qui serait à présent la pire des erreurs à comettre.*

*Arfel se met a sourire en regardant son père partir. Puis se tournant vers Rödschrek avec un air filou elle lui sort.*

Alors comme ça je vais loger cher toi ? t'a pas peur d'être envahi par les plantes vertes ?

*Puis sans attendre de réponse, voyant qu'il fatigue pas mal, elle se planque derrière lui, le forcent a s'avancer un petit peu pour lui laisser de la place entre l'oreiller et lui. Elle s'y assoit rangeant ses longs cheveux sur le coté, et pausant les mains sur ses épaules elle lui sort, d'une voix excessivement douce et mielleuse.*

Alors on a un envie de dormir mon cher grand guerrier, alors que de l'autre coté de cette muraille de porte, se cache le docteur fou qui veut je ne sais pas trop quoi a la princesse ?! Et bien alors je vais remédier a tout ça ! avec quelque chose que je n'ai pas fait depuis longtemps...

*Elle se redresse un peu et commence a lui pincer doucement les épaules, mais assez fermement : Elle commence a lui faire un massage spécial Arfel, tout en prennent en compte son bras douloureux. La semi elfe y met de l'énergie et au bout d'une minute,elle lui demande en gardant son sourire de chipie.*

Alors comment tu trouves ça ? ça t'aide ? t'es tout tendu...

Eh,eh au contraire, ça ne me dérangerait pas le moins du monde, même s'il me faudrait un temps pour m'y habituer, je crois... En fait je crois que c'est surtout ton père qui risq...

waaah....

*L'elfe noir parlait doucement mais le masage d'Arfel l'avait semblait-il littéralement calmé. Les sensations étaient plus qu'agréables, c'était le genre de luxe auquel il n'avait jamais eu le plaisir de goûter et il se sentait absolument bien à présent. La fatigue l'assaillait de nouveau mais c'était trop agréable. Lorsqu'elle s'arrêta pour lui demander ce qu'il en pensait, tout ce qu'il trouva à dire fut : *

-Continue!

*Le tout en un soupir de lassitude et de bonheur.*

Oh mais c'est que tu donne des ordres maintenant ? C'est moi qui en donne d'habitude^^ ! t'a l'air d'aimer ça dit donc...

*Elle passe en revue tout son dos, appliquant un massage approprié, a la foi vif et doux. Oui... cela fait bien longtemps qu'elle n'a point fait ceci. Le dernier en date avait été fait a l'un de ses demi frères, avec qui elle jouait beaucoup petite. Lui et sa sœur jumelle l'avait totalement adopté et lui avait appris ce drôle de geste pour amadouer les animaux. La petite Arfel avait testé sur Elevân pour l'amadouer lors d'une de ses bêtises... et ça avait marché ! depuis s'était devenu un jeu entre gamin.

Arfel en rigole rien que d'y penser. Elle cajole comme ça l'elfe noir pendant un bon moment, mais ses petites mains fines fatigues, alors doucement elle arrête et souffle.*

Piouuu j'ai plus le coup de main moi... faudrait que je teste sur des plus petites épaules comme celle de Maïtaga, ça me casserait moins.

*Elle n'ose pas trop se retirer, pour le voir s'écrasser de fatigue juste aprés : elle voulait le détendre et le calmer... mais le faite qu'il reste assit l'aide a rester éveiller. Elle ne s'est pas rendu compte qu'ils sont observé.*

*La chimère ricanne en entendant son nom. Elle lâche alors le sourire aux lèvres :*

Mais j'ai pas envie d'avoir le sourire béa d'mon roi!!! eh,eh!

*L'elfe noir sursaute en entendant ça. Cette fois c'est un sourire franc qu'il adopte et il chatouille la petite teigne pour lui faire entendre "raison".*

Eh,eh ça c'est de la part du béa!

*L'elfe noir nage en plein bonheur, et ne se rend pas compte non plus de qui les regarde. Il est trop à l'ouest, ses sens guerriers semblent l'avoir abandonné.*

*Arfel est aussi contente, entourant l'elfe noir de ses bras et participant au chatouillage pour Maïtaga. C'est Elevân qui est les regarde discrètement, voyant comment sa non présence révèle leur attitudes de façon naturel. Sa fille est heureuse, Rödschrek est heureux, et même la chimère qui se prête volontiers au rôle de l'enfant chouchouté, est heureux. Il ressemble a une petite famille penses t'il, malgré les craintes et inquiétudes qui vont revenir, il est certain.

Il revient finalement dans la salle en soufflant : il n'a pas pu en tirer un seul mot a Jujoss car elle est en train de se concentrer sur une opération pointilleuse. Arfel se retourne vers son père étonné de le voir déjà la, et se trouvant bête d'être ainsi installé devant lui. Gêné, elle tente de partir de sur le lit mais son père lui fait signe de ne pas bouger et d'écouter.*

Bon... Jujoss en a encore pour un bout de temps. Je préfère qu'Arfel parte assez vite d'ici et qu'elle évite si possible d'y remettre les pieds. Je vais chercher quelques affaires chez toi Arfel et dire au propriétaire que tu es en vacances pendant quelques temps... je te ramènerais ton Patache. Y'a intérêt a ce que cette maison ne recèle rien de pouvoirs noirs !!! sinon je nous payes l'hôtel !!!
Et je parlerais ensuite a Jujoss quand elle sera libre.

*L'elfe noir se raidit aussi par peur de ce qui risque de se produire par la suite, mais Elevân ne se fâche pas comme il l'aurait pensé. Rödschrek le regarde avec étonnement et acquiesce.*

Prenez bien garde de ne pas être suivi Elevân. Et si un esprit y rôde, cachez votre visage cette fois. J'aimerai au moins pouvoir garder mon logis... Et vous avez intérêt à ne pas avoir été suivi!

*Son ton n'est pas froid, il en serait presque amical. L'elfe noir commence doucement à s'habituer à l'elfe blond.*

Je ne le serais pas, il est certain.

*Elevân est aussi sur que tout les jour le soleil reviens, comme si être suivit était impossible pour lui. Il n'aime pas ce qu'il a dit, penser sa fille dans un endroit aussi sombre ne l'amuse pas le moins du monde. Puis il repenses a la taille de la maison de celui si... vraiment petite, ce serai du m'importe quoi que d'y vivre a 5. Il souffle encore ennuyé, et fait signe a sa fille de se bougé, la voir ainsi l'énervant pas mal.

La jeune femme s'exécute, prête a partir. Elevân met a la corbeille les radios et y met le feu en le contrôlant bien (pour éviter de cramer le bâtiments entier^^).*

Je ferais au plus vite.

Détendez vous, la situation est temporaire. Je vous l'ai dit.

*Il se relève à son tour, encore engourdi mais déjà sur ses gardes. La tension qu'il y a entre lui et Elevân reste.*

Vous êtes certes puissant, mais faites attention malgré tout. Je m'inquiète aussi pour vous.

Arfel, 'Taga on sort, maintenant, il vaut mieux.
Elevân... tsss... merci...

*Il baisse de nouveau la tête, et passe en premier*

*Elevân avait détourné la tête comme s'il avait marre de les voir, mais quand alors Rödschrek sort a la foi "Je m'inquiète aussi pour vous" et un "merci" pour couronner le tout, il baisse les bras, tombant des nues. Arfel tout en suivent l'elfe noir, serre son père rapidement avec un tendre sourire, puis elle va de suite l'aider a marcher, regardant que la chimère les suivent bien. Elevân rajoute un léger "faites attentions a vous...".

Le mot" temporaire" lui trotte dans la tête a en devenir une obsession. Il quitte rapidement la sale, voyant encore Arfel masser celui qu'elle a choisit, en fermant la porte comme voulant la condamner. Il irait faire comme il a dit, et tenterais aussi de rassurer les voisins qui ont vue la scène avec le corbeau.*