Une histoire d'âmes...

*Quand a Elevân, il souffle en montant sont visage vers le soleil, les yeux fermé.*

C'est fini... enfin fini...

*Il s'assoit a coté de l'elfe noir qui ne tenait plus sur ses jambes et regarde le décors : Tout les autres sont aussi bien affecté par cette attaque fulgurante. Cette forêt hanté semble avoir réussi a dévoiler la véritable personnalité de chacun... certain monstre, certain faible, d'autres entêté mais toujours une part de grand courage pour chacun. Elevân va avoir de quoi faire, remettre d'aplomb tout le petit groupe sera bien difficile. Il repense au pourquoi de leur venu ici... des assassins au trousse de Rödschrek et aussi la volonté de l'éloigner de ses corbeaux. Il y a au moins a présent l'un des problèmes résolut. Remettant sa main sur l'épaule de l'elfe noir, il lui donne du feu bleu avant de se relever et voir dans le détail l'état des autres.

Il s'avance d'abord vers l'enfant qu'il trouve dans le coma... Il espère qu'il va se réveiller, et sans doute a t'il besoin de soins et rapidement. Mais une chimère ne fonctionne pas vraiment comme un humain, alors tout ce qu'il trouve est de l'enflammer de feu bleu et de l'approcher de son maitre. Puis il s'approche de sa fille, qu'il trouve particulièrement violâtre de peau.

La jeune femme est toute ensanglanté au visage et au bras, elle ne bouge pas, elle ne respire pas. Elevân prend alors panique, et l'enveloppent de feu bleu elle aussi, il commence a lui faire un massage cardiaque, comme on le lui avait appris a l'hôpital. Il se met a crier un "non, ARFEL !!!" énervé... commençant a s'en vouloir de ne pas l'avoir mieux protégé vue ce qu'il y avait en face d'elle. Tout aussi rapidement il la recouvre de feuille et terre ce qui étouffe le feu et laisse échapper une lourde fumé blanche, tout en continuant sont p'tit spectacle alors que des larmes s'invite sur son visage. Il s'évertue a l'appeler mais rien, pas de changement.*

*L'elfe noir souffle, la chose ne va pas être une masse à faire. <Le temps et l'énergie manque, cette chose la bloque, la dévore. Mais l'elfe noir reste un manipulateur de chair. Il la lâche d'une main, les yeux toujours fermés, et arrache en partie ses vêtements au niveau de la marque. La main posée à ce niveau l'elfe noir psalmodie. Jamais il n'aurait tenté cette opération avant. A présent il n'a plus rien à perdre, c'est ça ou la mort pour la jeune femme. Il manque de paniquer en ressentant aussi l'état de sa chimère mais se pousse à ne se concentrer que sur elle. Une autre perte d'attention de ce type et l'issue sera fatale.*

Elevân débrouillez vous comme vous voulez mais j'ai besoin d'énergie, et vite.

*Le ton n'est ni méprisant ni hâtif, juste parfaitement neutre. Sans attendre de réponse il psalmodie, concentrant ce qu'il a appris de la lance et de ses arts noirs pour le rappliquer sur une créature vivante. La marque ne peut être repoussée, elle est évolutive, en revanche la couper potentiellement de la colonne, au moins temporairement en tout cas est possible. C'est un véritable remodelage qui se crée autour de la colonne de la jeune femme, tandis que toute l'énergie du drow se bat pour tout simplement recréer les tissus endomagerés. Cette refabrication vise à couper les liens qu'a cette chose, ce parasite aux parties dangereuses de la jeune femme. Le tut semble se passer bien, mais l'elfe noir commence à déchanter. Il fatigue, et ce sont ses propres blessures qui commencent à avoir raison de lui. Trop de sang perdu, trop d'énergie utilisée.*

*L'elfe noir n'a pas attendu vraiment l'indication d'Elevân pour se vautrer. Il observe les marques, une noire et une rouge vif, semblant comme... mortes?

Il ne comprend pas grand chose à tout ça, à vrai dire il est trop fatigué, à un tel point que malgré le soulagement qu'il éprouve il n'arrive même pas à éprouver de joie. Peut être est ce aussi à cause de l'état de Maïtaga. Il tourne la tête dans sa direction.*

'Taga...

*Mais arrivé à bout de force il ne pourra pas s'occuper de lui, il n'arrive même plus à bouger. Épuisé, il se laisse aller en arrière, ses blessures commencent seulement à se refermer, une chance qu'aucune n'ait été en contact avec un nerf vital. Puis il y a toujours cette douleur, cette plaie récente qu'il ne parvient pas à cerner non plus. Ainsi allongé sur le dos, il garde les yeux fermés puis passe son bras sur le visage, comme quelqu'un dormant voulant se cacher du soleil. Le revoici encore en train de se laisser aller à pleurer.*

*Elevân était réveillé depuis pas mal de temps, mais il avait envie de rien faire et regarder le temps passer. Le froid commence déjà a être bien installé, et la manipulatrice de la terre se met en boule. Toujours un peu souriant, Elevân examine sont cas : elle ressemble reprendre du poil de la bête, sa couleur n'étant plus bleu... et sont dos n'est plus noir... mais arborant de belles cernes violettes. Quelque chose même l'interpelle, sa tache noire semble avoir disparue, il ne reste plus qu'un tout petit point aussi gros qu'un grain de beauté. Il semblerait que Rödschrek est réussi a le lui enlever !

Il la prend dans ses bras doucement et la pause elle aussi a coté de son cher elfe noir, pour qu'elle est moins froid. S'étirant le dos, il se rapproche de la dragonne, et lui pique quelques fruit, avec un petit merci pour le tout. Arrivant sur son coté il remarque sont mal et s'agenouille en disant.*

Tu ne t'es pas complètement régénéré... je peux t'aider ?

*La dragonne acquiesce timidement d'un hochement de tête.*

Je suis désolée pour tout ça. Je pensais vous éloigner de tout ça et finalement tout vous est tombé en masse dessus. En plus j'ai l'impression que le climat est rude pour vous. La nuit vous êtes frigorifiés, la journée l'elfe noir a si chaud qu'il tourne au ralenti.

Maintenant que c'est fini je vais vous ramener vite à la civilisation. Si vous allez à Emagos Raîm ou même à Hizaduür, je pense que les assassins de la citadelle n'oseront pas s'approcher.

Au fait, en parlant de Rödschrek, vous avez vu son bras, il a une salle couleur...

*Elevân utilise donc sa technique favorite au feu pour la soigner de son mieux, tout en ayant une oreille attentive. Il lui répond rapidement qu'elle n'y est pour rien... que l'on ne peut pas prévoir tout a l'avance et que c'est la faute a pas de chance.*

Oui le climat est rude... la nuit est mon pire ennemi a ce niveau. Pour Rödschrek c'est l'inverse. Oui tu as raison, rentrons au plus vite... a présent plus de corbeaux suivront nos pas.

*Puis il se retourne vers les endormit. Non il n'avait pas vue sont bras en partie caché par la chimère. Étonné il se lève alors pour voir ce que la couleur de son bras lui dévoilera.*

Je vais voir...

*Le bras présente une sorte d'infection dans la zone ou se sont rencontrées les deux marques. Deux hématomes peu ragoutants ressemblant à des cicatrices infectées se sont formés. Mais l'elfe noir est inconscient pour en ressentir la douleur. C'est cependant ce qui expliquait qu'il se soit tenu le bras tout à l'heure.

La dragonne quand à elle observe, un léger sourire au coin. En se rapprochant elle trébuche sur un bout de bois tenant une courte lame. Elle l'observe de plus près, un oeil fermé est gravé dessus.

Étonnée elle l'observe de plus près. La lance n'a plus rien de majestueux ou dégoutant. Le manche de chair surmonté d'une riche et impressionnante lance spectrale n'est plus qu'un simple bout de bois.
Elle le ramène à Elevân et lui montre.*

On dirait que la lance est morte regardez... ?
Je ne l'ai jamais vu comme ça. Elle avait toujours des apparences plutôt recherchées. Et surtout on ne pouvait pas la prendre comme je la prends. Un piège?

*Lui dépliant le bras de sous la chimère, il remarque qu'en effet, en plus de l'ouverture faite par la lance, la plaie commence a s'infecter. De plus il y a des espèce de tache rouge qui ne sont pas du sang. Prennent de l'eau d'une des gourde, il lui nettoie bien l'avant bras avant de pauser sa main dessus d'un feu violet : a la foi désinfectant et régénérateur, ce qui est douloureux par rapport au feu bleu. Il dit avec un petit sourire narquois.*

Bon et bien le docteur dit qu'il n'a aucune chance de s'en sortir : il faut lui couper le bras... et puis tiens la jambe avec, en solde.

*Puis la dragonne lui apporte un bâton avec un sale œil sculpté dessus. Il grimasse et prend l'objet.*

Humm... oui en effet. Il n'y a plus d'énergie dans cette chose, aussi morte qu'un bois sec ! Ce n'est pas plus mal, c'est même une très bonne chose ! J'ai l'impression que ça a un lien avec la tache d'Arfel... elle aussi a disparu. Les deux parasites ont du s'annuler mutuellement, leur mal a chacun s'est envolé.

*A ce moment la, la manipulatrice de la terre ouvre ses yeux, fixe les personnes présente éveillé, puis les deux endormit. Quand elle remarque qu'elle dort contre un "elfe noir", elle prend peur en fessant de gros yeux, et s'écarte t'en bien que mal, toujours couché. A a peine 1m des deux bleu, a fatigue la reprend. Cette réaction fait rire son père qui a le morceau de bois en main.*

Ahaha... celle la alors ! elle reprend vite, c'est bien... mais il lui manque encore la mémoire apparemment.

*Il lui soulève les épaules et la replace, la recouvrant de feuilles. Puis il s'éloigne vers le feu pour mieux examiner la chose qu'il tient. Il demande a la dragonne.*

Toi qui l'a vue petit, tu te souviens s'il avait cette lance ? sais-tu comment il aurait pu la recevoir ? Par nescromn ?

*La dragonne observe Elevân faire, sans rien dire. Elle semble réfléchir un peu avant de parler. L'elfe noir dort là bas, et ne semble pas prêt de se réveiller.
Il s'est laissé faire quand Elevân s'est occupé de lui et malgré la douleur n'a pas bronché, à vrai dire il semblerait que son sommeil ait été trop lourd pour qu'il puisse sentir quoi que ce soit.*

Je sais pas...

*Fura se retourne doucement vers le feu, un peu rêveuse.*

Il était tout petit, elle a grandit avec lui. Peut être l'âge physique de Maïtaga voir plus jeune...

Hum...

*Il repenses a la façon barbare comment cet armes de malheur lui sortait du bras. Oui sans doute petit, pour l'habituer à la douleur, un cadeau bien empoisonné qui lui a été fait. Il relève le nez et lui demande.*

Est ce que tu sera assez en forme pour que nous partions demain ? Je penses que revenir en capitale Elfienne ne sera pas un mal. Mais cela dépendra avant tout de comment tu te sentira et aussi s'il daigne se lever un jour^^ !

*Ce qu'il ne dit pas est qu'il a hâte de revoir sa chère elfette Jujoss, qu'il n'a pas vue depuis au moins 2 semaines. Elle doit s'inquiéter pense t'il.*

Il faudra le temps d'enterrer le cadavre. Ou l'emmener en territoire elfe noir je ne sais pas. Pour Rödschrek je pense qu'il vaut mieux prendre une journée pour lui permettre de récupérer. J'ai le sentiment que sinon nous allons devoir le porter... j'ai beaucoup ressenti de magie venant de lui. Il en a usé trop encore.

D'aussi loin que je me souvienne, il a toujours eu ce problème. C'est marrant... Mais je veux rentrer vite aussi. Il faudra repartir en marchant. Je ne veux pas sortir de nouveau ma bête...

*Il porte ses yeux au restes du frère, le dure a cuir. Oui, même s'il ne mettrais pas de nom a cette tombe, il faudrait que Rödschrek dise quelques mots. Sans doute se demandera t'il si au final, ce n'est pas l'un de ses proche qu'il a vue flamber sous les asseau de Fura et d'Elevân, mais qu'importe du moment que pour l'instant il ne sache pas qui.*

Oui tu as raison... je me précipite un peu trop, et une ou deux journée de plus de repos ne sera pas un luxe pour chacun. Son problème doit venir soit du faite qu'il n'est pas bien appris a doser, soit c'est un problème que l'on peut retrouver dans la ligné des Nakaam.
J'ai déjà observé ce genre de phénomène chez certain de mes contemporain... le problème était d'ordre génétique : souvent des sang mêlés, même de lointaine parenté.

*Elevân connaissait tout particulièrement ce genre de phénomène, étant celui qui gardait les arbres généalogique de chaque famille de son peuple. Sa fille adoptive a d'ailleurs ce problème, utilisant la force de la terre sans pincettes, et pour s'arrêter il lui est plus dure ensuite.*

As-tu vue ses parents ? comment étaient ils ?

Ses parents? Euh... j'ai déjà vu son père, c'est lui qui donnait des ordres directs à Ares. Mais... c'est un peu gênant à décrire...
En fait je ne sais même pas comment vous le prendriez si je vous le disais...

Sa mère par contre je ne sais pas à quoi elle ressemble. Je ne l'ai jamais vu, elle s'occupait des affaires internes au château et je n'avais même pas le droit de m'en approcher.

C'est intéressant cette notion. Mais c'est bizarre, on pourrait dire que je suis un sang mêlé quelque part pourtant je n'ait pas ce problème. Peut être que ça marche différemment pour moi... remarquez je ne suis pas une elfe non plus.

*La dragonne bâilla nonchalamment puis attrapa un petit animal qu'elle avait mis à cuir. Si la peau était noire, la chair était plutôt tendre. Elle se mit à manger doucement.*

Je me demande quand même parfois en le regardant, surtout avec Arfel... non... en le regardant faire avec vous... comment il voit la famille. Je suis sure qu'il y a déjà réfléchi un jour.

*Il se demande bien pourquoi la dragonne lui fait des cachoteries a propos de son père... mais qu'importe pour l'heure, il le saura bien un jour. Puis il apprend qu'elle est elle aussi une sang mêlé. Les problèmes ne sont pas systématique car il sautes des générations. Enfin elle parle de... famille.*

Famille ?

*La il se redresse et regarde la troupe endormit. Oui, on dirait bien qu'a présent, l'elfe noir qui n'en a jamais vraiment eut, s'en ai reconstitué une. Mais la question l'étonne, ne se l'étant jamais posé pour lui même. La famille étant quelque chose de naturel chez lui, un orphelin devait toujours être élevé par deux elfes qui le prendrait a sa charge (donc pas d'orphelinat).*

Jeeeum... a quoi penses tu exactement ?

Je ne sais pas vraiment...
Il a eu un père et une mère, mais du peu que je sais c'était son frère qui l'élevait.
Quand j'imagine les conditions dans lesquelles il a vécues et la manière dont il a toujours tout vu de travers, je me demande comment est sa notion de famille. Comment serait son idéal...
c'est de la curiosité je pense, rien de plus... ou un peu de pitié peut être aussi.

*Elle semble très intéressée par la question, mais n'en dit pas plus.*

*Il décide de se faire cuire aussi quelque chose. Il observa la dragonne... si elle se posait cette question a propos de l'elfe noir, c'est qu'elle devait être sensible au sujet. C'était peut être même de l'ordre de l'inconscient, mais le maitre flamme pense que la dragonne devait souffrir un peu de ce coté. Il développe l'idée.*

Hum... et bien il est certain que s'y n'a pas eut bonne exemple, avec ce qui tourne autour de lui, il a du forcement ce poser cette question.

*A ses dernier mots, il sourit, repensant a la foi ou il avait trouvé un Rödschrek avachi sur une chaise complètement a l'ouest, et sa fille rouge betterave. Il lui avait balancé un "tu désire ma fille, il faut que l'on parle". Il avait plus ou moins abordé le sujet de la famille avec l'elfe bleu... qui ne savait pas vraiment ou se positionner. Sans doute qu'entre temps il y a pensé. Il continue.*

Mais on trouve dans ce genre de cas, soit des enfants qui font exactement pareil que leur parent, en battent et maltraitent leur propres enfant car ils n'ont pas eut d'autres modèles. Mais il y en a d'autre qui prennent leur destin en main, et qui se disent "Non ! je ne ferais pas comme eux". Ceux la sont souvent de très bon parents pour la meilleur entente familiale que l'on peut trouver... car, il n'ont eu que ce modèle, mais ils sont plus malin et savent corriger les erreurs... sans suivre bêtement comme des montons.

J'espère que c'est ce qu'il fera, avec Maïtaga... Arfel...et qui sait, des p'tits nouveaux...

*Elevân éclate de rire dans son coin, tout seul : il sait combien cette réplique aurait déplu aux concerné, la gène qu'elle aurait causé. Mais il se demande bien comment ça se passerait de chaque coté, Röd Arfel Taga, si ça arrivait... sans doute ce serait un véritable enfer. Il se reprend.*

Mais bon... pour le moment ça a l'air d'aller. Arfel me l'aurait dit s'il agissait violemment avec elle ou sa chimère. Hum... sont père était violant avec lui ? froid ?

Eh,eh connaissant Arfel, je pense qu'elle aurait fuit loin de lui s'il avait été violent. Et il a toujours traité noblement sa chimère je crois. Quoi que j'ai entendu dire d'Arfel qu'il avait eu une période durant son amnésie, à ses débuts ou Maïtaga s'était senti rejeté. Il l'ignorait complètement. Mais Röd a toujours eu des périodes de laisser aller ou il baissait les bras, ne parlait plus à personne. Il se contentait d'excecuter les ordres qu'on lui donnait, puis durant ses rares loisirs de rester dans un coin, sans bouger.

Et son père... j'ai... j'ai entendu des rumeurs selon lesquelles ses parents étaient fous.

*Elle baissa la voix, par crainte.*

Ares a plusieurs fois été les rechercher dans les cachots. Il paraît qu'ils y étaient souvent enfermés.
Ou alors ils erraient dehors. Ils n'allaient au château que pour recevoir des ordres.

*Il baisse lui aussi la voix, il semblerait que quelque chose cloche dans les dire de la dragonne : des rois et reines en cage ?! On aura tout vue... et recevoir des ordres ?... ainsi les parents étaient t'il logé a la même enseigne que les enfants, et de plus de véritable pantin ?!
Le " rester dans un coin, sans bouger" lui glace le dos. Il était tellement formaté qu'il n'y avait pas de place a autre chose ? la créativité ? l'amusement ? il semblerait qu'il ne se soit jamais amusé comme n'importe qu'elle gamin. L'elfe aura donc beaucoup d'effort a fournir pour ne pas retomber dans son chaos et démolir ce qui l'entour. Il s'éclaircit la voix et dit tout bas en retournant la broche improvisé.*

C'est étrange ce que tu me dis la... il n'y avait pas de rébellions ? ils étaient tout de même roi et reine... S'ils avaient été fou, ils auraient tout simplement été destitué. Il étaient que des figures, des silhouette pour cacher la pourriture qui rongeaient leur royaume ! je ne vois que ça... ce n'est pas logique... il manque quelque chose.