par Elevan Aldian Sam 30 Jan - 1:02
*Elevân lui répond du taco-tac comme s'il avait suivit son cheminement de pensé, bien assit dans son canapé une bière a la main... comme devant un poste de télé.*
C'est certain... je commence a n'y faire mentalement.
*Il faut l'avouer, pour lui, passer les porte de la ville, c'est une entré direct en enfer : Pas ou peu de lumière solaire, esprit qui inonde de leur présence dégoutante les rues, esclaves ramené a la vie juste pour assouvir des besoin personnel et ainsi se la couler douce, et pratiques répugnantes comme les sciences des astres, des cartomanciennes et autres jeteur de sorts.
Pour lui, c'est une toile de foire, un amas de superstitions ridicules qui n'ont jamais été que pour amasser plus d'argent sur le compte de pauvre naïf, ou alors une recherche de pouvoir inassouvie.
Il se garde de dire tout ça, ne voulant pas attiser d'avantage le syndrome de persécution de son beau fils. C'est son peuple, et aussi méprisable soit il, c'est son peuple... c'est comme dire a un gosse de détester ses parents.
De son coté, s'il devait se battre, cela se fera avec difficulté, car la lune n'a jamais été son meilleur complice. On peut dire que sa puissance est divisé en deux lors de la nuit, et un peu moins quand la lune est pleine. Alors les boules de feu ça sera avec parcimonie.
Il envoie un regard a la chimère, puis a son maitre en rajoutant.*
L'idéal aurait été que l'on sache contre qui l'on se bat, et pourquoi tout ce cinéma. La, sans rien pour nous défendre a par notre cervelle, ce ne sera pas très aisé. Il nous faudra recouvrir l'habit de la nuit.