Les poches du manteau noir ! toute une histoire ![fini]

*Elevân en est assez étonné, il pensait qu'il y avait au moins quelque chose pour "réglementer" les familles qui se crée. A moins que l'elfe noir n'est pas bien compris sa question, ce dont il doute fortement, il trouve ça bien triste. Mais bon, le point positif est qu'il parle un peu plus que d'habitude et semble vraiment vouloir s'ouvrir enfin un peu. Il entrecroise ses doigts et sort hésitant.*

Humm... je... je vois. Je me demande comment vos familles se crée alors... pas de festivités... pas de réunions de famille... ? il doit y avoir de nombreux problème de consanguinité si ce n'est pas un minimum organisé.

*Il se stoppe, réfléchi a sont lien avec Arfel, et dit finalement.*

Oui j'avais bien compris pour ton lien avec ma fille. Je ne sais pas trop comment ou ce que vous avez fabriqué pour, mais c'est votre problème a présent, et vous devez assumer vos sentiments a présent. Les fait sont la, et ce genre de lien est comme me l'a dit Fura, pas le genre de chose a prendre a la légère.

*Quand alors il parle d'un autre lien, il hoche la tête l'air de dire "oui ça aussi je sais". Il commence a se douter qui se cache a l'autre bout de ce lien, et a bien peur des conséquence du liens dans ce sens. S'il s'était lié a son frère d'esprit, et que ce lasard était de retour... ce ne pouvait être que cet être dégénéré qui lui inflige ses malaises. A présent c'est beaucoup plus clair, mais il ne le lui en parlera pas.*

Oui... je l'ai remarqué en te soignant. Tu as du te lier a une autre personne a qui tu tenais, ou alors tu as fait la même chose qu'avec ma fille... te lien sans en faire vraiment exprès. Je ne dois pas te dire qui c'est, puisque je n'en suis moi même pas complètement certain. Mais de gros problème vont se profiler.

Je ne sais pas comment les familles se créent vraiment...
Je... ne fais que regarder, et ça ne m'intéressais pas...

*Quand il entend parler d'un second lien, son remord d'avoir sûrement oublié cette personne revient à la charge. Il est forcément le fautif.*

*Il est de plus en plus étonné : il semblerais que l'elfe noir n'est jamais imaginé son futur. Il devait être plus occupé a soigner ses connaissances de la guerre et de sciences noirs, pour penser a ceux qui le suivront. Il trouve la situation de plus en plus triste. Il commence donc un blabla assez long et direct.*

Vois-tu, l'un de mes rôles parmi les miens, était de garder et mettre a jour le livre de "l'arbre de vie". Il y était inscrit tout les mariages et les naissances qui ont résulté de ses unions... un grand arbre généalogique. Cela est nécessaire ! Pour éviter de des frère et sœurs ne se marient... pour exagéré bien entendu : Si le souvenir des unions n'est pas entretenu, des demi-frère et sœurs peuvent s'unir sans le savoir, ou des cousins proche. Ce qui se résulte inévitablement par des problèmes de santé a cause de la consanguinité.

Puis lors de festivités, on se réjouis du bonheur de l'union de ses deux être. Ensuite peuvent venir des enfants si cela est souhaité. Et pour que l'enfant est de bon repère dans la vie, un père et une mère attentif sont tout autant nécessaire. Sans l'un des deux n'est pas la, l'enfant souffre inéluctablement car il a besoin de stabilité pour se construire solidement, sans ça il y aura toujours un manque. Voila pour résumer.

Je ne sais pas si c'est ton objectif avec ma fille, puisque apparemment tu ne t'es jamais posé la question. Seulement, il arrive a un moment ou c'est inévitable de se poser les bonnes questions. Si je n'étais pas venu, on ne sait ce qui se serait passé ! L'arbre de la connaissance d'ici réglemente les naissances de elfes blanc, mais au niveau de ça, je n'en sais rien si cela a une influence quelconque sur elle. Comprend bien que si vous aviez été plus loin, c'est sans doute un bébé qui vous serais tombé sur les bras ! Et quand on ne se pose même pas des questions sur son avenir, comment peut on élever un enfant dans de bonnes conditions ?!

Bon... bien sur je prend les extrêmes, mais Arfel doit elle y avoir réfléchi je penses... #j'espère...# Alors avant de vous emballer, je veux que vous y pensiez et que vous vous décidiez ! Si y'a besoin de conseil la dessus je suis la.

*Il remarque bien qu'il est inquiet pour son autre lien... une personne oublié pour éviter que la folie ne le reprennent encore une foi. Il ne le lui dit pas, mais trouve mieux la situation ainsi, car au final c'est pour son bien.*

#Un enfant? Je ne peux pas élever un enfant... Je ne peux pas, pas vu ce que je suis...#

*Il baissa le regard, dégoûté. Ecoeuré de lui même.*

#Et je ne peux pas être père. Les pères que je vois sont forts et protecteurs. Je suis faible, et je suis incapable...in... pas capable de... lui ... le mien n'était pas comme eux, qui sait comment je me comporterait avec un enfant...#

Je vous suis...

*Il allait ajouter encore quelque chose mais il se mordit la lèvre et se tut.*

*Elevân est étonné de voir comment il réagit mentalement a ce qu'il venait de dire, voyant le mot "père" comme une montagne impossible a gravir. Pendant une seconde, Elevân imagine une bande de marmaille bleu courir dans ses pattes. Ça le fait au moins rire, la situation est sérieuse mais ça le fait marrer, tellement ça lui semble bête.*

Et bien voila, sachant tout ça, je n'aurais jamais du permettre a ma fille de te laisser revenir chez elle. J'avais oublié que quand on est jeune et sans expérience, on avait tendance a oublier l'essentiel ! Tu as suivit ce que j'ai dit, mais je ne connais pas tes sentiments par rapport a cela. Qu'en penses tu ?

#Ce que j'en pense???#

*L'elfe noir sembla un moment dérouté. Cela lui semblait tout bonnement étrange qu'il lui demande ce qu'il en pensait. Il prit d'ailleurs cela pour un piège et chercha non pas ses propres mots, mais ce qu'il devait dire afin de contenter l'elfe blond.*

... j... j'sais pas...

*Il attendit de nouveau, visiblement perdu, le sujet n'était vraiment pas simple pour lui, et jamais il n'avait eu de telle discussion. Il baissa la tête, sembla regarder ses pieds.*

Je sais pas ce qu'il faut faire...

*Il s'agissait d'un réel aveu. Il repensa d'ailleurs à sa dernière rencontre avec Elevân, à comment sa tentative de remerciement s'était transformée en dispute, puis à l'explication d'Arfel. Il était "impur". Sa logique lui disait qu'il n'aurait simplement jamais dû s'approcher d'Arfel. Pourtant, il avait besoin d'elle. ça recommençait : il se décourageait, trouvant la tâche impossible pour un "membre de son espèce". Non... pour lui, le répugnant fils des morts. Comme pour justifier son existence même et sa présence ici, il lâcha un simple :*

Je suis désolé...

*L'elfe blond le regarde pendant quelques minutes.*

Cela est nouveau aussi pour toi, et je vois qu'il te faut du temps pour digérer. Ne soit pas désolé, et réfléchi s'y bien avec Arfel.Mais sache que c'est pour toi une occasion de mieux t'intégrer. La plupart des gens d'ici j'ai remarqué, voient la stabilité d'une personne si elle tient ses engagements d'union. Cela t'ouvrira de nouvelles portes, et je suis sur que toutes ses choses nouvelles peuvent te plaire, car après tout tu es vivant. Il y a de la réserve en toi et un manque de confiance, alors si tu n'es pas sur, demande a ma fille ou a moi même... pour éviter de faire des... bêtises au yeux des autres.

*Bêtise comme il avait fat avec lui. Certain s'en ficherais, mais Elevân est du genre observateur et pointilleux,sont grand age lui donnant du discernement. Et surtout, qu'il juge d'un mauvais œil certaines pratiques de l'elfe noir. Mais voila, maintenant qu'il y a ce lien, mieux vaut ne pas faire l'ours terrifiant.*

Bon et bien je crois que j'ai fini. On va pas parler de choses trop intime, car je suis sur que tu sais comment éviter le problème dont je t'ai parlé, hein ? Arfel... tu peux revenir... ARFEL ?

Pourquoi elle répond pas ?!

*Il se relève pour aller la voir. Elle n'a pas reconnu sont mon quand il l'a appeler, et continue de ne pas parler.*

*L'elfe noir acquiesce, indécis. Le "ne soit pas désolé' lui a fait un bien fou, il ne se sent pas pardonné, mais quelque chose le libère, ces simples paroles l'aident beaucoup. Mais cela ne règle pas réellement son problème. Dans ce monde il se sent comme un nouveau né, il est complètement paumé, et il aurait aimé qu'Elevân lui donne un minimum de règles, c'est comme ça qu'il a toujours fonctionné. L'avantage des règles c'est qu'elles donnent un chemin à suivre et au pire la possibilité de les enfreindre. Mais là rien. C'est à lui, à lui seul de faire ses choix... quels choix? Il bois malgré tout les paroles de l'elfe blanc avec beaucoup d'assiduité, et les garde dans son esprit, elles y sont encrées et il pourrait les ressortir n'importe quand.

La chimère saute sur ses genoux à ce moment. Il lui sourit et va pour la caresser, lorsqu'il entend Elevân appeler Arfel et pas de réponse. Il se remet à paniquer, mais tante de jouer franc jeu.*

Elle... elle m'a expliqué que c'était pas grave, mais je voulais vous la rammener, p... pour que vous puissiez me dire ce qui se passe. Elle... parle plus depuis tout à l'heure.

A vraiment ?!

*Elevân le dit sur un ton inquiet, ça fessait si longtemps qu'elle n'avait pas fait ça ! Il lui ouvre la bouche pour regarder si elle n'avait pas une quelconque infection... mais finalement non. Elevân pose des questions a sa fille, qui fait signe qu'elle entend, mais comprend rien. Au bout d'un moment Elevân voit de quoi il s'agit, ou presque, et dit d'une façon un brin énervé.*

Hum... la prochaine foi, si je peux me permettre, favoriser le dialogue avant de vous disputer. Et il faut dire les choses en tenant compte que vous pouvez blesser gravement, et cela en quelques mots, la personne en face de vous, même si vous l'aimez !!! l'art de parler pour vraiment ce faire comprendre vient avec le temps. Mais en voila les conséquence !!!

Tsss...

*Arfel s'était assise, encore trop fatigué. Elle les regardent toute innocente, complètement déphasé de ce qui ce dit.*

Avant je n'avais pas les connaissances en médecine que j'ai grâce a ce monde... et ça m'étais sortie de la tête. Il vaudrait mieux pour elle passer des examens, même si je sais que dans quelques heures ça ira mieux.

*La jeune femme se lève et baille, tout en rejoignant sa chambre pour aller dormir.*

Mais... mais qu'est ce qu'elle fait ?!!! Arfel... Arfel... je t'embraque pour des examens !!!

*Sa ne la stoppe pas, et a peine est t'elle couché qu'elle s'endort lourdement. Elevân maugréés, se souvenant comment ses pertes partiel pouvait lui être pénible avant... tout comme aujourd'hui. Se tournant vers Rödschrek, il lui dit.*

Bon ! elle va dormir pas mal de temps. Quand elle se réveille, est ce que tu pourra la mener jusqu'à l'hôpital pour lui faire faire des examens ? Si cela vient de son cerveau je n'aimes pas ça du tout !!!... et... et tu pourra me tenir au courant ?

Oui je le ferais!

*Il se relève vraiment cette fois, rattrapant le chat au passage.*

Je n'ai pas... j'ai essayé de me faire comprendre, mais je n'arrive pas, je ne pensais pas à mal Elevân. Je sais que... je sais que je suis dangereux pour elle, c'est pour ça que je suis parti la dernière fois.

*Il baisse de nouveau tête et oreille, commençant à tripatouiller le poil de sa chimère qui ne bouge pas.*

Vous ne me croirez sûrement pas, mais je veux faire de mon mieux vous savez? seulement j'ai l'impression...
Comme si tout ce que j'avais appris était faux. Alors j'ai du mal à faire la part des choses.

Je suis désolé pour euh. La dernière fois. Pour mon peuple c'est aussi une marque de respect, alors j'étais certain d'être dans mon droit, je n'aurais pas dû. Je n'avais pas vu les choses sous... euh du point de vue dont m'a parlé Arfel.
C'est tout.

*Il posa l'animal, et se dirigea vers la fenêtre. Comme la dernière fois le c'est tout était une sorte d'arrêt de ses efforts. C'est comme si l'elfe noir bloquait complètement sur tout ce qui touchait au monde vivant. A ce qui paraissait banal pour n'importe qui, mais qui ne l'était pas pour eux. Il avait encore de nombreuses question à poser à Elevân qu'il considérait comme assez "sage", mais trouvait s'être déjà trop ouvert et ne voulait pas le regretter plus tard.*

*L'elfe blanc l'écoute sans l'interrompre, et sourit doucement quand il a fini. Posant une main sur son épaule il lui répond.*

J'accepte tes excuses, et a vrai dire je m'en doutais. Le choc des cultures peut être parfois brutal et de l'incompréhension peu y naitre dedans.

Tu sais, Arfel avait tendance a toujours fuir pour tout : quand il s'agissait de se faire corriger pour une quelconque bêtise, assumer des responsabilités qui font grandir, même pour aller au bain, parfois il fallait lui courir après ! Elle détestait l'eau. Et cela toujours a cause de la peur, car au final, elle sait se montrer courageuse au fond.
Toi aussi tu fuis par crainte de lui faire du mal. Mais ce qu'il faut te dire, est qu'aujourd'hui et avec le liens que vous avez, c'est comme si tu te fuyait toi même... et Arfel se sent alors abandonné. Ce sentiment lui déclenche des réactions pas possible, comme la perte du langage ou de la vue, car elle a toujours vécu entouré pour se construire... même si pendant une grande période, elle était seule pour se prouver le contraire.

*Il s'assoit sur le bord de la fenêtre en croisant les bras et la regardant dormir un peu.*

Tout ça est encore nouveau pour elle comme pour toi. Arfel a du mal a jauger la valeur de ses sentiments qui lui font ses réactions excessives. Mais comme toi tu vas apprendre doucement a apprivoiser le monde que tu vois si négativement, elle va se stabiliser, et pouvoir enfin apprendre le maniements des autres éléments. Ça va venir, mais il faut pas s'attendre a des miracles au début... ce sera dure !

*Il se redresse et regarde la jambe de l'elfe noir.*

Et toi ! je te vois debout mais qu'est ce que j'avais dit !!! t'a vraiment envie de souffrir !!! attend au moins jusqu'à demain pour gambader !... bon... le mieux sera que je lui fasse faire ses examens quand elle sera réveiller, car toi il ne faut pas que tu marche de trop. Tu pourra m'appeler quand ce sera bon ? la je vais devoir pas trop tarder...

Oui...

#Je ne sais même pas si j'y arriverai... Je ferai de mon mieux, simplement...#

*L'elfe noir acquiesce à chacune de ses paroles, il y a une sorte de joie contenue dans son regard. Simplement heureux qu'Elevân ai passé sur le coup de la dernière fois, et rassuré par un type de paroles qu'il n'a pas l'habitude d'entendre. Puis revient la rouspetaille à propos de sa jambe. Il l'observe un moment, cachant un léger sourire.*

ça va ça va, je retourne m'asseoir, je n'ai pas mal mais je retourne m'asseoir, je voulais juste... enfin... j'avais des choses importantes à faire ce matin, et c'est fini je peux y retourner...

#Mais c'est Arfel qui a les livres...#

*Il s'accoude à la fenêtre un moment, et regarde dehors.*

'Vaudrait pas mieux l'emmener maintenant? Je paye l'ambulance si besoin, et puis... et p...

*Il semble buguer un moment, le visage tout à coup tendu, il fait signe à Elevân de ne rien dire un moment il écoute, et ouvre une partie de la fenêtre pour pouvoir y passer la tête et voir plus loin.*

Tssss...

Non non, je vais m'en occuper... elle dort mais peut être as tu raison. Il vaux mieux prévenir que guérir.

*Il s'approche d'Arfel et la réveille un peu, prenant le téléphone et appelant de quoi les remorquer a l'hôpital. La jeune femme maugréé et place un oreiller par dessus sa tête.*

Allez fait un effort...

*Elevân remarque tout de même la tension du jeune homme, et se tournant vers lui, il demande mentalement a l'elfe.*

#Qu'est ce qui se passe ?#

'Faut pas sortir Arfel tout d'suite! y'a danger dehors pour elle!

*Il s'éloigne de la fenêtre d'un pas rapide, et se recrée un autre masque temporaire en usant de la terre d'une des plantes d'Arfel et se le met sur le nez.*

Si vous le pouvez suivez moi et couvrez moi, mais surtout faites en sorte qu'il ne voit pas votre visage!

*Il parle d'un ton précipité et fonce vers la porte d'entrée, se guidant complètement à l'ouïe, et se fiant comme toujours à son instinct. La seule différence c'est qu'ici il est loin d'être au maximum de ses capacités. Et il doute encore d'Elevân, mais pour l'heure une seule chose compte, chaque problème en son temps.*

[hj : si elevan rattrape Rödschrek tu sens un truc que tu ne sentais pas tout à l'heure : un esprit]

*O ça non ! il n'allait pas sortir sa fille vue ce qu'il présent. Il se met a souffler, se demandant comment cela pouvait être possible, vue que les citées elfiennes sont dites "saines", et réputer pour ne pas attirer ce genre de phénomène. Elevân créé donc un petit oiseau de feu jeune-vert, qui se met a le suivre discrètement. Il ne se couvre pas du tout le visage, car si cette esprit lui fait des embrouilles, il se chargera de l'expédier autre par de façon radical ! Elevân sort donc a son tour, en prenant soin de bien fermer derrière lui.
Il reste un peu en retrait, attendant de voir ce qu'il allait se passer. De son coté, Arfel a ressentie l'ambiance étrange qui venait de saisir la pièce... et ne sachant rien du tout, elle se relève doucement et va a sa fenêtre les regarder : il sont la, mais ne font rien. Röd a repris l'un de ses masques, mais la jeune femme ne tilte pas sur le coup.*

*Elevân regarde avec dépit la lance sortir de son bras, vraiment navrer de le voir dans son plus piteux état a son gout. Puis le corbeau fonce vers lui ! Il ne se bouge pas beaucoup, et remarque que c'est le même genre de bêtes que dans les cauchemars de sa fille. Il laisse alors son oiseau de feu s'occuper de sa protection, et de son coté, bloque tout émissions psychiques qui pourrait l'atteindre.

De l'autre coté de la fenêtre, Arfel voit l'oiseau foncer sur Elevân, et un cris de peur se met a retentir depuis sa chambre. Bien vite, elle va se fourrer dans ses couvertures toute tremblante... ressentant partiellement la présence négative. La jeune femme en est terrifié.*

*Les deux oiseaux commencèrent à se battre, combat aérien qui dérouta assez l'esprit pour le faire se détourner d'Elevân. L'elfe noir ne bougeait pas, il ne pouvait pas voir l'animal mais l'entendait parfaitement. L'oeil de la lance s'ouvrit, il frappa. SI l'esprit fut touché, il n'en mourru pas pour autant, et les deux elfes purent entendre un cri de douleur suivi d'un cri de joie :*

Je l'ai trouvé! J'ai trouvé l'enfant!

*Ce fut à la chimère d'intervenir. Maïtaga sous la forme d'un aigle s'abatti sur le corbeau et le cloua au sol, comme s'il était physique. L'elfe noir s'avança, cette fois les yeux ouverts, sa chimère l'ayant aidé à le localiser.*

Tsss que fais un esprit ici???

*Ils n'étaient bien sur pas les seuls a assister a la scène... par exemple les voisins du dessus était a leur fenêtre, et des elfes trainaient eux aussi dans la rue. Rapidement Elevân envoi une boule de feu qui vient détruire l'animal spectral, en ordonnant sa destruction. Il ne cherche même pas a l'interroger, car ce n'est pas ainsi qu'il fonctionne. Maïtaga n'est pas touché, puisque ce feu assez spécial ne touche que ce genre de parasite. Elevân a tout capter, et trouve la situation plus que dangereuse pour chacun : a présent, cet chose immonde va rameuter ses petits amis, et personne n'est a l'abri ici. Il comprend aussi la signification de ses dires, fessant le lien entre ce qu'Arfel avait dans la tête et toutes les choses qu'il a appris. L'enfant c'est Rödschrek... et son frère qui le cherche vient de le trouver.

Rapidement il prend la chimère et l'elfe noir par le bras et les forcent a rentrer. Il rage intérieurement ! S'il n'avait pas sortie cette fichu lance, rien ne se serait sans doute passé ! Mais d'un autre, ses souvenirs perdu ne pouvait pas l'aider a éviter ça. Il lui en veut alors d'utiliser en plein air comme si il était chez lui, l'objet de mort. Il sert les dents et s'énerve contre le plancher en tapent du pied, en disant.*

BIEN ! maintenant que tu es repérer, on ne peut plus remettre les pieds ici s'il reviennent !!! Mais ce n'est pas possible !!! C'EST PAS POSSIBLE !!!

*Il disparait dans la chambre de sa fille pendant la seconde qui suitt.*

Tsss..

*L'elfe noir enlève son masque, l'éclate contre le mur et suit Elevân.*

Il ne rameutera rien du tout. S'il nous avait échappé oui, mais cet animal n'était relié à rien, il n'a donc rien transmit. Et si vous ne l'aviez pas brûlé, j'aurais au moins pu savoir ce qu'il foutait là!

*Il était assit a coté d'une boule qui tremble autant qu'un petit moteur, tentent de raisonner sa fille.*

Je peux t'assurer mon garçon que pour le bien être de ton esprit, j'ai fais ce qu'il fallait. Mais ce que tu n'as pas pensée, est que les esprits de ce genre sont plutôt bien organisé, ils doivent faire des rondes précises... et si l'un d'entre eux ne reviens pas au point de ralliement, tu peux être sur qu'ils n'auront pas de mal a cadrier la zone en abondance.

Et tu crois vraiment qu'un être qui ne souffre pas, ou justement souffre déjà beaucoup trop, t'aurais donné le moindre indice de sa présence ici ?! non ! le mieux est de l'amener a l'hôpital dans un premier temps, et ne plus rester dans les parages pendant au moins une bonne semaine !!!

*Il se tourne vers Arfel et soulève la couverture en ne disant rien, mais lui montrant par des pensée comme un film, ce qu'ils vont faire.*

Tsss...

#Un être qui souffre trop? c'est quoi cet histoire?...#

Soit allons y... Maïtaga reste près de moi, et garde ta forme d'enfant, évitons d'attirer d'autres regards.

*Il observa son bras, il saignait de nouveau.*

#Tss fichue lance.#

*Arfel décide enfin de se lever, toujours avec un regard flou et endormit. Elle remarque rapidement le bras trituré pour la énième foi de l'elfe noir. Alors prenant un paquet de mouchoir au passage, le long du chemin, elle l'aide a stopper l'écoulement du bras. Elevân les précède, et regarde du coin de l'oeil ce que sa fille fabrique.
Arfel a du mal a tenir debout, piquant du nez a plusieurs reprises, quand enfin l'ambulance qu'Elevân avait pris soin de téléphoner, arrive. Tout ce beau monde est embarqué vers l'hôpital. Elevân réfléchi ou les loger, l'enfant l'elfe noir et sa fille... ça fait beaucoup de monde, et ça l'énerve encore plus, légèrement sur les nerfs, même s'il se contrôle. De son coté, la jeune femme repionce encore profondément, ne semblant pas affecté par la situation.*

*On aurait put croire a un miroir opposé qui reflète le même genre de posture : Elevân bien blond bien blanc, Rödschrek bien brin foncé bien bleu... et pourtant tout deux les bras croisé, mordent leur rage et énervement visible seulement au bord des lèvres. Ils arrivent enfin, et le père de la jeune femme donne des instructions, recommandent de l'amener dans la sections des problèmes neuronal.

Regardant si l'elfe noir le suit, Elevân va se poser dans l'une des salles d'attentes. Il doit être environ 19h... il a fini le boulot depuis quelques heure, mais déjà il stresse pour le verdict de l'un de ses collège concernant Arfel. Alors il se met a tourner en rond comme un vrai hamster dans sa cage. Entre temps, il a aussi demandé a une infirmière de s'occuper du bras de l'elfe noir. Il ne sait pas trop quoi dire a l'elfe noir, et n'a vraiment pas envie de parler de ce qui venait de se dérouler. Il préfère positiver et réfléchir a comment régler cette histoire. Il pense aussi a comment il va annoncer cela a Jujoss : la pauvre dois elle aussi subir les déboires du couple interdit. D'un seul coup il se stoppe et demande a Rödschrek.*

N'as tu pas une planque... une cachette pour un peu de temps, ou un ami... de confiance, chez qui vous pourriez loger ?

*A vrai dire dans son "vous" il y a lui et l'enfant. Il ne met pas Arfel dans le paquet puisqu'il pense la garder un peu chez lui. Il habite pas très loin de chez Arfel, mais ne pense pas sur le coup que cela puise être dangereux : Après tout, ce n'est que Arfel qui est allergique a ça, si il la cache au yeux de ses animaux malsain... tout ira bien.*