Chambre 428

*Arfel est revenue, comme elle l'avait dit a son père. La jeune femme n'a pas dormit de la nuit, réfléchissant a toute la situation. Elle se doutait que Rödschrek allait retomber dans les pratiques d'antan s'il se retrouvait une foi de plus seul. La semi elfe n'est pas le moins du monde au courant de ce que son père a dit a l'elfe noir, concernant le faite qu'il l'autorise a être plus proche de sa fille.

Elle va mieux, sont visage est moins marqué par le manque de la présence de l'elfe bleu, mais de belle cernes a sont tour marque ses yeux, bien fatigué. Ne trouvant donc pas le sommeil, c'est a une heure matinal qu'elle entre dans les locaux de l'hôpital, et qu'elle rendre dans la chambre 428. Là, elle regarde souriante le petit chat qui dort contre son maitre, le caresse doucement et s'assoit sur une chaise a proximité. Elle se sent mieux, et pressent qu'il va mieux que la veille. En le regardant dormir, la fatigue l'assaille cette foi, et l'emporte... se blottissant comme a son habitude sur sa chaise.

Dans son sac posé sur une table de chevet, une boite de chocolat fort agréablement odorante, et des fleurs fraichement coupé de son jardin. Un silence de plomb reviens. Des infirmiers passent, quelques personnes arrivent en urgence... la petite vie de l'hôpital ce fait a par de cette pièce bien calme.*

*La jeune femme est réveillé un peu en sursaut, même si ce sommeil n'était pas profond. Elle sent de petits bras l'entourer, et elle sait de suite qui c'est. Un doux sourire s'affiche sur son visage et elle le sert a son tour, le blottissant contre elle. L'enfant lui avait beaucoup manqué, et s'était dans un triste état qu'elle l'avait vue quand alors Rödschrek était a l'hôpital.

Pendant leur séparation, elle avait repensé a leur première rencontre : Maïtaga, elle l'avait adoré dés le début contrairement a son maitre. La jeune femme le sert encore plus en disant tout bas.*

Raconte moi ce qui te chagrine... ce n'est pas bon que tu garde ça en toi.

*Elle laisse trainer sa mains dans ses cheveux, se demandant si cette séparation avait été aussi éprouvante pour lui, qu'elle n'avait été pour elle.*

*Il faut énormément d'efforts à Maïtaga pour qu'il puisse enfin s'exprimer. Il dit alors.*

Repars pas s'il te plaît...

*Lui aussi semble fatigué.*

J'en ai marre d'aider, je suis pu capable... à quoi je sers si j'arrive même plus à assumer mon rôle moi?

*Il le lui avait déjà dit cela. L'enfant ce dévalorise alors qu'il a toujours eux un rôle très important pour son roi. Arfel le détache un peu d'elle et le regarde en souriant.*

Non... maintenant que je vous ai attrapé, j'vais pas vous laisser repartir hein ?

*Son visage redevenant d'un seul coup, remplit d'une grande tristesse.*

Ca fait bien trop mal de ne... de n'être pas très de vous deux... j'vous adore...

*Posant son front contre le sien, fixant son regard dans ses deux petits yeux brillant comme des olives noires. Son sourire reviens... beaucoup trop contente de pouvoir enfin profiter de leur présence qui l'apaise.*

Et bien ne me dit pas que tu jette l'éponge ! Je veux bien d'aider car en se moment tu as sans doute besoin de repos, mais n'abandonne pas... tu as sans doute vue pires situation non ? comment fessait tu alors ?

Nan il n'y a jamais eu pire ... car avant, même si mon roi était au plus bas et que je souffrais pour lui ... il ... je le voyais et lui aussi ... il me voyait, m'entendait, me souriait ...

Mais là... même s'il me voit un peu il a complètement laissé tomber parce que... par ce que c'était la fois de trop pour lui... alors il est resté sans bouger, allongé à regarder le plafond pendant des jours, sans vraiment manger...

Et après il n'était jamais là, sous prétexte que c'était pour le travail... Et à la Citadelle les chimères n'étaient pas tolérées, alors... J'étais obligé de l'attendre, et il ne me regardait pas quand il rentrait. J'ai l'impression qu'il m'oublie!

*Les larmes lui tombes du visage toute seule. Ce que lui dit l'enfant la bouleverse au point d'en trembler, et de ne pas savoir quoi lui dire pendant plus de 10min. Elle avait été a coté de la plaque, tentent de lui remonter un peu le moral... mais il s'avère qu'elle aussi tombe dedans. Une crise la prend, serrant fort l'enfant et en sanglotant, elle lui dit.*

J'aurais jamais du attendre... pas te laisser... lui non plus... je pensais pas... non... excuse moi Maïti... j'aurais pas du... le laisser partir...

*Ses pleures sont plutôt brouillant par rapport a d'habitude, alors qu'elle avait toujours pleuré en silence. Elle reste contre l'enfant, incapable de le regarder en face.*

*La chimère la sert dans ses bras, et s'excuse très vite.*

Moi aussi j'suis désolé, j'aurais pas dû te dire ça, pardon!

*Il sanglote aussi plutôt fort, mais ce sont bien les larmes d'Arfel qui réveillent l'adulte. Il s'assoit bien vite, quoi qu'encore difficilement à cause de son bras, et ne peut sur le coup rien faire d'autre que lui demander ce qui se passe, d'une voix ensommeillée, le regard encore vague, mais réellement inquiet. Il comprend que le problème doit se situer au niveau de l'enfant vu que c'est lui qu'Arfel sert dans ses bras, mais il n'en comprend vraiment pas d'avantage. Il s'asseoit au bord du lit pour se rapprocher mais c'est tout ce qu'il peut faire.*

*Il avait délaissé Maïtaga... c'est comme se délaissé lui même. Les choses dites par la chimère avait été dites causant la douleur, mais il valait mieux que ses choses sortent de lui. Sentant que l'elfe noir se réveille, elle calme un peu son brouha, et sèche ses larmes en gardant les yeux fermés. Arfel prend l'enfant dans ses bras, et va s'assoir prés du réveillé. Elle semble en colère qu'il est aussi mal traité la chimère, et s'en veut a elle de n'avoir pas été la. Arfel souffle pour évacuer et dit enfin... sans encore le regarder... parlant comme dans le vide, pourtant la jeune femme lui transmet quelque chose, une chose pas descriptible, comme une sorte d'aura positive, contente comme c'est pas permit de le revoir lui aussi : elle n'est comme pas présente physiquement.*

Je... parles avec Maïtaga... du vide qu'il a ressentie... et je... je... même si je n'ai pas été la pour voir, même si je ne peux pas être a ta place... je trouve que tu as été mauvais avec lui !

*Elle peut bien parler de sont coté : il lui était arrivé la même chose, même si ce n'était pas a la même échelle, son chat et ses plantes avait été abandonné a leur sort. Son ton est calme, en opposition avec ses paroles : il semble qu'elle veut ce faire l'avocat des douleurs de la chimère. Puis tournant la tête a l'opposé, dépité, elle rajoute tout bas. Elle n'est pas en colère et pourtant devrais l'être, disons qu'elle est a un stade ou même rouspéter lui demande trop d'efforts, et la volonté n'y ai pas.*

Promet moi de ne jamais le laisser lui... il est toi... ça fait trop mal...

*L'elfe noir baisse les oreilles. Pour cela aussi il s'en veut. A vouloir essayer d'arranger les choses, en voulant se remotiver pour faire malgré tout quelque chose de sa vie, il en a laissé tomber Maïtaga. Il le ressentait mais n'allait pas réellement chercher plus loin. A ce moment cette douleur n'en était qu'une parmi tant d'autres, et le fait que de vue, l'enfant ne soit plus guère qu'une forme lumineuse qu'il voit parfois lui a fait oublier en quoi il était important. Il acquiece d'un simple hochement de tête, en ressentant les sentiments d'Arfel il a plutôt compris, mais son état actuel et l'aura de la jeune femme le calment un peu.*

#Il est moi?#

*Il ne comprend pas cette partie là, et n'a à ce moment qu'une envie la serrer contre lui. Mais il y a aussi l'enfant. L'enfant qu'il a parfaitement vu sous forme de chat contre lui, il en est certain. Il lui ébouriffe les cheveux et tente d'alléger un peu la situation.*

J'me suis mal comporté, c'est vrai... Mais c'est fini maintenant!... Je crois... que c'est fini...

*Il la regarde, puis fini par s'excuser de nouveau.*

Je sais... Je ... je ne suis vraiment pas doué pour... enfin... J'ai rien fait comme il aurait fallu...

*Tout en disant cela une grosse vague de remord commençait à l'assaillir. Il était certain d'avoir fait ce qu'il fallait faire à ce moment, et se rendait compte à quel point il s'était trompé.*

*Rien n'échappe a Arfel de ce que pense et ressent le grand elfe bleu. Elle se rapproche encore plus de lui, et passe un bras jusqu'à son autre épaule, tout en le regardant intensément.*

#On n'oublie rien pour ne pas refaire les mêmes erreurs... mais passons... jamais personne ne m'avais mi dans cette état... *sourire intérieur*... c'est que tu en vaut la peine.#

Et... je ne partirais pas... je me grefferais a toi s'il faut cela pour rester près de toi... je m'en fiche de savoir si ça te plait ou non... je te veux toi, et Maïtaga... prés de moi... c'est un ordre !

*Des larmes s'était remise a couler alors qu'elle lui sourit, et lui tournant le visage, elle l'embrasse aussi timidement que la première foi, comme si elle avait a coté d'elle un être en porcelaine voir verre très fin. Elle s'écarte, comme si elle avait honte d'une maladresse, d'un ordre qui venait du cœur... mais et lui ?*

Tu... tu... en penses quoi ?...

*L'elfe noir écarquille les yeux, et se laisse faire, complètement submergé par un réel bonheur. Lorsqu'elle vient l'embrasser, doucement, timidement, il se laisse faire sans insister sur le coup profitant juste du moment. On peut dire que les paroles de la jeune femme lui ont fait beaucoup d'effet. Maïtaga à côté en est aussi tout déridé et prend la forme d'un chat, afin de pouvoir se coller entre eux deux sans trop les gêner en se mettant de nouveau contre son roi. Celui-ci une fois qu'Arfel s'est reculée, prend un temps pour le câliner, arborant sur son visage un grand sourire; parfaitement aux anges.*

#Moi que dois je rajouter? Après ce que je t'ai fait tu reviens! ALors... rah et pourquoi je chercher à donner des mots? Je suis simplement stupide parfois...#

*Sa réponse se révèle être un retour de baiser. Il se rapproche, se mettant presque debout, au grand damn du chat près de lui, puis embrasse Arfel. D'abord doucement, afin de ne pas l'intimider, puis fougueusement, gardant malgré tout une sorte de contrôle de lui même pour ne pas l'effrayer.*

ça te suffit comme pensée, ou il te faut un dessin?

*Sa phrase est ironique, il a presque l'impression de rêver, étrangement libéré d'un grand poids, il ne parles plus de peur de lui faire mal ou de son problème de mortalité. Comme si à ce moment rien ne lui posait plus de problème.*

#J'espère qu'Elevân ne va pas encore me prendre en flagrant délit de lever, il va vraiment finir par devenir gênant sinon...#

*Sa dernière phrase aussi a un brun d'ironie.*

*En effet, en le voyant ce lever, Arfel allait lui faire remarquer qu'il devait tout de suite rejoindre son lit. Mais elle n'en a pas le temps, et oubli tout alors qu'il l'embrasse a son tour, étrange ballais qu'elle tente de suivre de son mieux. Comme si elle avait encore oublié l'effet que de ce genre de marque d'affection fessait sur elle, la jeune femme rougit complètement une foi de plus, étourdit, planant sur une autre planète. Arfel bredouille alors un "oui", trouvant la réponse plutôt affirmative.
Quand alors il parle de son père, elle écarquille les yeux lui demandant.*

Qu'est ce qui c'est passé ? il a été dure avec toi ?... si tu veux je vais lui parler...

*Elle prend la chimère a son tour qu'elle caresse affectueusement en fixant son maitre, les yeux effaré. Son sourire et son ironie lui fait pourtant beaucoup de bien, il semble être heureux... et elle l'es tout autant.*

*L'elfe noir se rassoit et l'observe d'un air étonné.*

A vrai dire je ne sais pas trop... il a été plutôt... enfin pas si mauvais que ça justement, s'en est déroutant.
J'arrive toujours pas à le cerner... J'espère juste qu'il ne se fiche pas réellement de moi. Et même si c'est le cas, j'ai envie d'y croire.
Il ne t'as rien dit à toi?

*Arfel ne comprend rien. La veille, elle avait parlé avec son père, lui disant qu'elle aurait besoin d'un moment de réflexion. Jamais il n'avait fait allusion a sa fille, ce qu'il allait dévoiler a l'elfe noir. A vrai dire, Elevân n'est pas le genre grand parleur... il pose des questions, raconte ses petites histoires, mais s'il juge qu'une personne n'a pas besoin de savoir quelque chose, il ne le dira pas a moins que le sujet ne soit abordé. Son père aussi de son coté avait réfléchi, et la balance est tombé du coté de l'elfe noir après les dires de Fura, la situation dans laquelle se trouvait sa fille, et la cerise, le rêve de Rödschrek.

Il avait juste recommandé a sa fille de réfléchir calmement chez elle. La jeune femme revisionne tout ce que son père lui avait dit et lui demande.*

Mon... mon père t'a dis des choses ?... je le sens... des choses qu'il ne m'a pas dites a moi...

*Elle s'assit ensuite pleinement au fond du lit, en tailleur, et attend impatiente d'en savoir plus sur cette réaction étrange.*

Euh...

*L'elfe noir ne sais pas trop comment aborder la chose. Parler n'est pas son fort. Parle de choses qui lui tiennent à cœur encore moins. Arfel est sans doute la seule à pouvoir se vanter de lui faire réaliser cet exploit. Il évite de lui parler du dil qu'il a eut avec Elevân. Il est plus qu'honnête, et c'est en partie ce qui a changé en partie la vision que l'elfe noir avait de l'elfe blond. Mais voilà... il a trop pris le drow aux tripes, et il serait simplement incapable de lui en parler*

Disons... que ... il a dit qu'il fallait qu'on... clarifie la situation.
Voilà...

*L'elfe noir se gratte la tête, il est assez indécis, mais sa bonne humeur reste. Il n'arrive simplement pas à s'exprimer mieux.*

*Arfel sens qu'il n'arrive pas a tout dire, et a vrai dire sa réponse la laisse perplexe, mais au lieux et lui chercher les poux, elle se met a sourire en le regardant mielleusement. C'est un coté qu'elle aime bien de lui, ça le rend plus attachant son coté coincé.*

D'accord... je verrais avec lui ce que veut dire "éclaircir la situation". La comme ça, je me demande ce qu'il avait derrière la tête.

*Le sourire ne se détache pas ce sont visage. Elle le regarde dans le détaille, vêtement, blessure et état général.*

Ton bras, il te fais encore mal ?... et t'a jambe... qu'est ce qui c'est passé ? elle semble presque guérie ?

Oui... la jambe c'est bientôt fini... Elevân a travaillé avec acharnement dessus... et le bras, lui... je sais pas, c'est le plus douloureux, mais bon au final c'est plus impressionnant que réellement douloureux. Regarde, même mon œil est réparé!

*Il lui sourit de bon cœur, mais en repensant au médecin qui lui a remis la fracture en place il pâlit. Il avait souvent été attaqué physiquement, mais ses blessures n'avaient jamais vraiment atteint l'os. Cette douleur était nouvelle et particulièrement désagréable. Cela dit il est bien heureux qu'elle ait changé de sujet en cours de route.*

J'aurais du t'écouter... et rester chez moi pendant mes crises. Je crois que je me suis à moitié endormi au mauvais moment maintenant que j'y réfléchis. Sinon je ne sais pas comment ça aurait pu se produire. Enfin j'suis sure de rien à vrai dire... Parce que... parce que j'me souviens pu trop du reste....

*La jeune femme se rapproche a quatre patte sur le lit, et lui souffle a l'oreille en déposant un baisé sur sa joue.*

Le principal est de ne pas t'avoir retrouvé en morceau plus éparpillé !

*Puis elle saute de sur le lit, s'imaginant Elevân en médecin folle dingue, s'acharner sur le cas Nakaam. Ses techniques de guérison a elle sont bien différentes de celle par le feu. Beaucoup plus lente, mais qui avait le mérite de réparer entièrement et complètement les blessures, elle avait pour habitude confectionner des remèdes par le moyen de plantes. Si elle avait tout eux sur place, pour qu'il n'ai de trace a la jambe et au bras, elle l'aurais recouvert de ses mixtures. Donc Arfel souffle, un peu déçu de ne pouvoir l'aider plus, tout en regardent l'état de son pied. *

Mais il n'en pêche que tu ne peux pas vivre indéfiniment avec tes crises et pertes d'énergie... sur Avelis Maïtaga pouvait bien veiller sur toi quand ça t'arrivais... mais ici, avec tout ses machins qui parcours les rues a grande vitesse, ce n'ai pas possible !

*En même temps... pour le moment la solution ne se présente pas vraiment.*

On trouvera bien une solution, chaque problème en a une... et Argh... tsss tsss..

*En voulant jouer au "fort" il en avait oublié son bras et haussé les épaules. Ce geste anodin mais violent pour la fracture vint lui réveiller une fulgurante et vive douleur. Il en pâlit et baissa les oreilles.*

#Le crétin!#

ça fait mal c'te connerie! Je déteste les routes d'ici!

*Quand il eux cette douleur, un mauvais frison parcourue Arfel : des bras cassé ou autres membres, ça lui était arrivé plus d'une foi, vue le garçon manqué qu'elle est parfois. Lorsqu'il se traite de crétin, elle a envie de rire, voulant rajouter ce nouveau nom dans la liste de ceux qu'elle lui donne... mais dit de façon affectueuse. Elle aurait voulu abréger ses souffrances, mais elle ne maitrise pas encore le feu au stade guérison, et risquerait plutôt de le cramer sur place. Lui passant la main dans les cheveux, elle le force un peu a s'allonger et lui dit doucement.*

Je vais quêter de quoi t'aider a supporter, il est assez tôt mais j'ai vue du personnel en fonction, donc... et qui sait... je vais peux être trouver l'étrange docteur blond^^ que tu adore ! Je reviens tout de suite...

*Elle lui vole un baisé au passage et commence a sortir de la pièce.*

A tout de suite mon adorable crétin !

Hey!

*Il s'est rassi mais son tin a bien rougit. Un peu gêné par cette attention particulière qui lui est offerte il regarde la chimère assise à côté qui a reprit une forme d'enfant et qui ricane. Maïtaga se relève et s'empresse de rejoindre Arfel pour l'aider.*

*On peu entendre une Arfel contente que la chimère vient avec elle dans le couloir, avant que sa voix ne s'efface entre les murs épais de la battisse. L'endroit ne ressemble pas vraiment d'ailleurs a un hôpital. C'est plutôt une sorte de grand parc, avec des pièces sur pilotis, sur des racines qui cours partout, et très lumineux... de grandes baie vitré laissant la lumière pénétrer. Ici les cristaux servent a tout : utilisé pour la médecine, la technologie, comme lampadaire... il semble que ses choses soit une réelle source d'énergie pour les elfes. Pourtant elle n'est utilisé sous autant de formes que depuis peu.

Ses choses sorties de terre, de sous les grottes les plus humides au plus bouillantes prés du centre de la planète, sont un élément a par entière qu'Arfel n'a pas encore appris a maitrisé, tout simplement parce que la planète d'Avelis n'avais pas une aussi grande variété de pierres, utilisé bien souvent pour la joaillerie. C'est en passant a coté d'une lumière cristal, tout en pensant a son chouchou de chamalow, que la lumière ce fait encore plus intense, comme un flash. Sur le coup elle regarde l'enfant ébahi ... puis test la chose, et effectivement, elle arrive a influer sur la puissance de l'engin. Elle chope la chose et la cache dans sa poche, pensant jouer un peu avec et le remettre en place.

Elle trouve un médecin, qui est trop occupé, mais il lui explique comment rajouter une dose d'anti douleur au blessé. Elle se répète tout discrètement pour ne rien oublier, et souriant a l'enfant, ils repartant en sens arrière. Elle revient alors, avec un petit air moquesement sadique et lui demande.*

As tu peur des piqures ?

*Maïtaga à côté sourit encore plus, il adore les petits jeux d'Arfel de ce type. L'adulte quand à lui reste de marbre.*

Non... non je ne crains pas vraiment...

*Les traces des blessures qu'il avaient eu ne lui donnaient en aucun cas le moindre frisson dû à des piqûres...*

*Arfel relève un sourcil et prend un air inoffensif, et sort une espèce de seringue minuscule, que le médecin lui avait donné. Il lui avait donné sans problème car son père a venté ses mérites de guérisseuse par les plantes, et elle était déjà venu a plusieurs reprises. Elle commence un délire avec un petit air de chipie, le cherchant une nouvelle foi pour changer.*

Hien... je vois... le grand Rödschrek n'a pas peur des seringue... wow... il est fort ! inébranlable face a la torture... que je vais lui faire subir.

*La chose est une véritable torture, tel qu'elle ne touche pas d'un poil l'elfe noir, mais met directement le contenue de la seringue dans l'un des petit tuyau accroché a sont bras. De suite il commence a sentir la douleur partir de son bras.Elle fini par lui donner un tendre baisé sur la joue et rajoute.*

Voila ! je suis fière de toi !!! tu as été très courageux. Même pas peur^^ !

*Au même moment, un Elevân encore avec son manteau arrive dans la chambre. Il les regarde un a un, et fini par leur dire un bonjour rapide, en partant de la pièce, disant qu'il s'occupe de lui dans quelques minutes. Arfel écarquille les yeux qu'il ne les ai pas fusillé des yeux en la voyant lui donner le p'tit bisous. Elle se gratte la tête dépassé.*

Et bien... il doit être de bonne humeur...