Lune contre soleil.

*La jeune femme le fixe, les larmes défilant toutes seule sur son visage. Ce ne sont ni des larmes de souffrance, ni des larmes de joie personnelles, mais une grande peine partagé. Ces vœux, elle le sait bien que c'est contre sa nature et ce en quoi il croit... mais il semble résolut a faire ainsi malgré tout.
C'est une grande peur alors qui la prend... celle de ne plus être aimé à la longue, s'il ne réussi a tenir cette promesse intimement lié a son aimé. Être délaissé par lui, haï comme certain humain dont les sentiments s'érodent avec le temps.

Elle allait lui dire quelque chose quand les lèvres du drow effleurent son coup comme pour lui enlever cette idée de la tête, amer mais rempli d'attention. Elle se laisse emporter et ferme les yeux, le corps frissonnant, et le serrant d'avantage. La réponse a son embrassade se fait encore plus humide : elle a l'impression de le manger, d'empiéter sur ce qu'il est pour la protéger... alors qu'elle rêvait d'un statue co... d'une union équilibré.

Arfel en a un spasme désagréable, et alors qu'elle stoppe son baissé, elle se blottie contre lui très fort, disant a mi voix.*

Je n'veux pas que mon bonheur ce fasse au dépend du tiens... ce n'est pas bon... le temps te séparera de moi... tu ne m'aimera plus...

Peut être que je finirais par aimer votre vie... il paraît que ça fonctionne comme ça il faut se faire force au début. Et puis même si ce n'est pas le cas, ça ne m'empêchera pas de vivre.

Sinon : que dois-je faire d'autre? Je ne peux pas t'obliger à t'approcher de ce qui te fait horreur.

Je ne sais pas ce qu'il faut faire... je suis désolé...

*La jeune femme n'arrive toujours pas a retenir ses larmes, et commence a sniffer pour ne pas lui en mettre partout. Les muscles assez tendu, lentement elle se met a caresser sont dos, ne sachant pas quoi dire. Elle se dit que c'est la fatigue qui la pousse à bout. Arfel est consciente du sacrifice qu'il fait... mais a peine a croire qu'il y arrivera, comme pour la cigarette et ce liquide qu'il doit toujours prendre. Elle fini par dire.*

C'est le temps qui nous le dira... En attendant, je ne veux plus y penser... ça fait mal.

*Dessinant amoureusement le contour de son visage, elle se met a repenser a sa journée. Les innombrables petits pains, les tonnes de baguette et les brioches entassé. Il y a aussi une autre peur, ou plutôt inquiétude qui se li a présent dans ses yeux. Elle ne veut pas parler pour ne rien dire et l'embêter... mais un client bien étrange lui génère cette peur.
Elle allait presque lui demander s'il ne connaissait pas une prise de combat qui immobilise sont adversaire sans lui faire mal, mais se tait finalement, lui souriant timidement.*

Oui...

*Il la serre de nouveau puis recule pour essuyer ses propres larmes, puis celle d'Arfel.*

Et si je n'arrête pas de pleurer je n'aurais pas l'apétit de manger ce que tu m'as rammené eh,eh. Je sais que ça en ferait plus pour 'Taga même s'il fait mine de les ignorer mais ça ne se refuse pas.

*Il prend énormément sur lui, tentant au maximum de changer de sujet.*

Et si je veux sortir vite c'est pas en me lamentant que j'y arriverais. Tiens un peu de place pour que tu puisse t'asseoir à côté de moi.

*C'est avec le sourire qu'elle s'assoit a coté de lui. Elle distribue a chacun un petit pain qui n'est plus vraiment chaud, et en entame un en pausant sa tête sur l'épaule de l'adulte. Elle se met enfin a parler de sa journée, et cet homme étrange qu'elle avait vue.*

Hum... c'est étrange aujourd'hui, un client est venu, tout souriant... le genre de personne qui prennent une baguette avec politesse et bonne tenu. Mais... sont visage je l'ai déjà vue quelque par, je ne me souvient pas ou. Quand il est arrivé pourtant j'ai eu un mauvais sentiment, un frison de peur... comme si s'était mon corps qui réagissait de mémoire.

Il est repartie, mais il est revenu passer a plusieurs reprise devant la boutique... j'ai fait comme si je ne voyais rien, mais avoir ce regard dans mon dos m'a fichu la chair de poule. Même en venant ici, j'avais l'impression d'être suivit. Je dois délirer de fatigue.

*L'elfe noir fronça les sourcils.*

Attention à toi alors, même si ce n'est qu'une impression, ce genre de ressentis ne se prends pas à la légère, crois moi je sais de quoi je parle. Si tu veux, Maïtaga t'accompagnera demain près tout contrairement à moi il n'est pas cantonné à l'hôpital lui.

'Taga arrête de faire la tête.

*Le chat crache, s'asseoit et reprend la forme d'un gamin.*

ouais! en puce j'me mets!!!

*Que la chimère fasse la tête, est le véritable reflet de l'elfe noir. Son visage devient triste : si lui commence a faire la moue, alors qu'il est d'habitude celui qui est le plus positif des deux, ça n'annonce rien de bon.
Que celui-ci la suive, la rassure, mais elle ne veut pas obliger la l'enfant a rester toute la journée en puce... et on ne sait ce qu'il pourrait lui arriver : tomber dans de la farine et s'étouffer vue sa taille, ou encore être écrasé. Cette vision la fait se redresser et réagir d'une façon qui peut être mal pris sans connaitre son raisonnement.*

Oh non... tu... il faut pas ! enfin je... ça me rassurerait mais je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose !!!

Ce... c'est peut être juste une impression...

*Elle ne veut pas les alerter surtout. Et puis après tout ce n'est pas comme si elle ne savait pas se défendre. A plusieurs reprise quand elle était ivre, la terre l'avait protégé sans qu'elle ne s'en rende compte.*

Boh... t'as peur des puces... Okay mais j'suis sure que je peux trouver un animal que tu aimeras plus et qui passe sans être remarqué, parce que je pense que dans une boulangerie c'est surveillé.

Et comme ça en plus ça me changera de l'hôpital, j'm'ennuiiiiiie ici!

*Il envoie un coup d'oeil à son roi qui vient de lui envoyer ce type de regard qui signifie "à qui le dis tu".*

Bon d'accord vous aussi mais même à deux on s'ennuie autant alors...

*La semi elfe se gratte la nuque... oui en effet il y avait de ça, les puces n'étaient pas les être du règne animal qu'elle préférait le plus. Elle lui répond par un signe de la tête pour lui confirmer que les animaux ne sont pas autorisée. La chimère viendrait donc avec elle le lendemain.
Ce qu'elle ne sait pas, c'est qu'elle n'échapperait pas aux grilles de gel de cet étrange homme a la chevelure de neige. Il avait déjà tout planifié depuis des années, et elle ne serait pas la seule a subir ses agissements trouble. Arfel sourit, prend du bon temps avec ceux qu'elle aime, et peut être que jamais ces moment ne reviendraient.

Le ciel est d'encre depuis maintenant plusieurs heures, et la fatigue la reprenant de plus belle, elle leur dit.*

Hum... cette nuit je vais aller dormir chez moi. Je n'ai pas envie de déranger les infirmiers avec leur idée de sécurité a la noie !

*Sauf un simple et même faible contre ordre de Rödschrek la ferrait changer d'avis... elle attend alors sa réaction.*

T'as qu'à dormir avec moi...
J'ai pas envie qu'tu partes, surtout pas aujourd'hui...

*Il l'attrape par l'épaule, et la rapproche, un petit jeu qu'il commence à trouver amusant ces derniers temps.*

si tu t'en vas en plus je vais encore penser à des choses sombres...

*S'était la réponse qu'elle voulait entendre de sa bouche. Un sourire presque niais tellement elle est gaga de lui, elle fait signe de la tête qu'elle est entièrement d'accord, le yeux obnubilé par les siens.
La jeune femme se laisse entrainer en un rire amusé, et passe un bras autour de sa taille dans le dos, avant de répondre.*

D'accord chef ! c'est un ordre. J'essayerais de par trop empiéter sur votre territoire cette nuit, pour que vous puisiez étendre vos grandes pattes. Par contre, il est possible que je vienne envahir votre bouche par moment, ou bien promener mes mains dans la foret qui orne votre crâne... mais je serais une assaillante docile... pas la peine d'avoir peur de moi cette nuit^^ ! Mon programme vous plait il ?

*L'elfe noir se déride totalement, aux anges et complètement charmé.*

Je crois effectivement que cette perspective me plaît bien. Mais pour commencer il faut payer le droit de passage.

*Il l'embrasse plutôt langoureusement puis recule légèrement, posant son front contre celui de la jeune femme.*

Uhm ça peut aller, passage accordé. Ce soir la nuit sera douce.

*La chimère lève les yeux au ciel.*

#Qu'est ce qu'ils peuvent être nian nian#

*L'elfe noir la tient contre lui, et éprouve une certaine difficulté à calmer ses ardeurs. Il se fait calme mais la jeune femme peut sentir son désir croitre. Il soupire, fait le vide en lui pour se calmer au mieux.

A côté la chimère essaie de dormir.*

*L'elfe noir se réveille en sursaut, l'appelle, mais la jeune femme reste plongé dans son rêve. Il faut qu'il utilise toute sa force pour la bloquer complètement, il crie alors.*

ARFEL CALME TOI!!!
Y'a rien, rien de dangereux ici!!!

*Il a manqué de tomber, mais par chance, même actuellement, il reste plus fort qu'elle physiquement ce qui lui a permit de la coincer pour ne pas qu'elle ne lui fasse mal. Il est plutôt stressé par ce cauchemar violent. Jursqu' à présent, la seule personne qu'il connaissait capable d'en avoir de tels c'était lui, en le voyant par les yeux de Maïtaga.*

*Arfel tremble de tout ses membres, tendu au point de se rompre. C'est le faite qu'elle soit "harnaché" et immobilisé par l'elfe noir, qui la réveille. Elle ouvre les yeux en grand, fixe, de la sueur perlant sur son visage et haletante.

Dans le couloir, les lumières qui était un peu baissé pour facilité le sommeil des personnes hospitalisé, sont ravivés. Mais personne n'entre dans la chambre : les infirmiers sont arrivé quand la crise d'Arfel s'est arrêté, et chercher d'où venait ses cri parmi une bonne vingtaine de chambre ne les enchantent pas. Il mettent ça sur le conte d'un des patients un peu turbulent la nuit.

Arfel se détend petit a petit : elle a encore mal de ce cauchemar, comme si on lui avait forcé a l'avoir... ça ne venait pas d'elle. Pour le moment, elle n'a aucune idée de pourquoi son drow favori la tien aussi fermement, ses gestes n'étant que du dommaine de la pensée pour elle. D'une voix incertaine et abimé par ses précédent cris, mêlé a des pleures encore présent.*

Qu'est... ce qui ... qu'est ce qui se passe ? Je... je t'ai fait mal ?...

*L'elfe noir la tient moins fermement, mais la garde malgré tout maintenue au cas où dans un premier temps, ces liens devenant de nouveau protecteurs.*

C'est à toi que tu faisais mal. Désolé ma méthode est peut être brusque j'ai rien trouvé d'autre, calme toi maintenant.

*A côté Maïtaga s'est assis et observe la semi-elfe plutôt sérieusement par rapport à son habitude. L'elfe noir continue.*

Je confirme, 'Taga va t'accompagner. Et il ne te lâchera pas d'une semelle, que tu te retrouves dans cet état ce n'est pas le fruit du hasard.

*Encore accroché a lui, Arfel baisse le regard. Le problème est que si elle ne vient pas déjà dés le 3ème jour, elle va sans doute perdre cet emploie. Et puis, elle travail pour leur avenir alors un jour en moins est égal a un jour en moins vers leur but commun. La semi elfe ne se rend pas compte du danger qui l'attend, et lui sourit pour le rassurer.*

Ne t'inquiète pas... cette nuit était sans doute une crise de fatigue passagère. Et puis je ne peux pas rêver meilleur gardien aujourd'hui que Maïtaga en puce ! Je resterais bien prés de toi toute la journée si je m'écoutais... mais... je ne peux pas me permettre de ne pas y aller juste a cause d'une mauvaise sensation.

*Ou du moins c'est ce qu'elle se force de croire, pour rester droite devant ses peurs, les narguer et leur montrer qu'elle est plus forte. Elle remonte ensuite un peu et laisse ses mains se promener dans la forêt noir de ses cheveux.*

Je reviendrais ce soir, et je t'apporterais d'autres croissants s'ils t'ont plus...

*Puis elle l'embrasse, pour le remercier en partie d'être aussi attentionné avec elle, mais aussi pour en profiter.*

*IL l'embrasse à son tour, et se décolle d'elle très difficilement, comme s'il le faisait à contre cœur. Mais après tout, peut être a t'elle raison, et puis... Maïtaga est avec elle, il a déjà pris forme d'ailleurs.*

D'accord... à ce soir...

*Il a déjà l'air d'un gamin perdu et sur le qui vive.*

*Son corps s'était enfoncé, se confondent avec la vase en suspension, tombant si profondément que les oreilles saignerait a cause de la pression. Ce lac est bien plus profond qu'il n'en à l'air. Une des collèges de la jeune femme vient a passer et remarque l'enfant dans l'eau. Elle s'approche et lui cri.*

Mais que fais tu ici... ce n'est pas une piscine sort d'ici !!!