*Dans une étroite ruelle des agora, alors que la nuit commence a poindre son nez, entre les senteurs d'huile noire et d'eau usée, un petit groupe se forme. Ils sont tous très différents : nous avons un gros costaud, un tout petit bout d'elfe noir, une machine a deux tête fait de bous disparates, une humaine punk avec une grosse voix d'homme, et une semi-elfe maigre et lacéré aux poignets.
Ils se sont rassemblé dans le but d'attaquer une carriole de marchandise, réputé pour transporter des médicaments. Chacun a ses armes, ils ne sont pas très organisé mais chacun a son propre talent.
La semi-elfe c'est Arfel, obnubilé par un seul produit de cette marchandise. Sans ça, elle risque de retourner dans le trou noir... la torture... l'impossibilité de diriger son corps et son esprits. Elle est tombé bien bas. Trop bas pour se relever vraiment toute seule.
Mais elle a besoin de cette substance bleu, pour continuer a se battre, retrouver son aimé, son enfant soit disant mort... c'est tout ce qu'elle va en tête, plus rien ne compte. Tuer... elle en a été obligé, et pour une fois plus aucun remord ne l'assaille. Elle a perdu une bonne partie de son humanité.
C'est d’ailleurs les yeux veiné de bleu qu'elle s’approche de la carriole, symptôme visible de sa dépendance. Le bien dans tous ça ce sont ses pouvoirs, qui ont décuplé depuis ses pénibles moments. Sans concessions ni finesse, elle ouvre la danse en attaquant directement l’engin... valdinguant comme des insectes les conducteurs d'un seul geste, d'une seule bourrasque.*
Ils se sont rassemblé dans le but d'attaquer une carriole de marchandise, réputé pour transporter des médicaments. Chacun a ses armes, ils ne sont pas très organisé mais chacun a son propre talent.
La semi-elfe c'est Arfel, obnubilé par un seul produit de cette marchandise. Sans ça, elle risque de retourner dans le trou noir... la torture... l'impossibilité de diriger son corps et son esprits. Elle est tombé bien bas. Trop bas pour se relever vraiment toute seule.
Mais elle a besoin de cette substance bleu, pour continuer a se battre, retrouver son aimé, son enfant soit disant mort... c'est tout ce qu'elle va en tête, plus rien ne compte. Tuer... elle en a été obligé, et pour une fois plus aucun remord ne l'assaille. Elle a perdu une bonne partie de son humanité.
C'est d’ailleurs les yeux veiné de bleu qu'elle s’approche de la carriole, symptôme visible de sa dépendance. Le bien dans tous ça ce sont ses pouvoirs, qui ont décuplé depuis ses pénibles moments. Sans concessions ni finesse, elle ouvre la danse en attaquant directement l’engin... valdinguant comme des insectes les conducteurs d'un seul geste, d'une seule bourrasque.*