Chambre 428

*L'elfe noir la regarde avec le sourire, mais lorsqu'elle commence à jouer avec l'objet. Il lui fait parfaitement confiance et sait pertinemment qu'elle joue avec lui. Il ne peut étouffer un rire lorsqu'il voit la conclusion de l'histoire, le tout par le tuyau. Sa douleur baisse, il sait qu'il va encore bien somnoler, mais à cet instant précis il s'en moque, il est près d'Arfel, un chat est de nouveau en boule contre sa jambe et même l'endroit dans lequel ils sont l'enchante presque à présent. Lorsqu'Elevân rentre dans la pièce, il se raidit sur le coup, peur et réflexe tout de suite enrayés par le calmant.*

Euh... oui... il est comme ça depuis qu'je suis ici...

*Arfel regarde toujours en direction de la porte, il semble qu'elle ne pige rien.*

Vr... vraiment...

*Elle remarque ensuite qu'il s'enlise dans une sorte de sommeil a cause du calment, et la jeune femme se met a rire, pensant qu'il n'est finalement pas très résistant. Elle décide d'aller un peu parler a son père avant qu'il ne commence a être en fonction. Se tournant et fessant une espèce de courbette, elle dit a la chimère et a son maitre.*

Je me retire encore chers amis... je m'en vais de ce pas discuter avec mon père le médecin, de cette situation.

*Puis elle repart encore, comme s'il lui était impossible de rester plus de 10min dans la même sale, excité comme une puce.*

*Environ une vingtaine de minutes plus tard, Elevân reviens avec sa fille, et commence a regardé l'état de l'elfe noir sans trop rien dire. Puis recommence a se concentrer sur son bras pour au moins reconstruire l'os. D'un ton calme, il lui explique ce qu'il va faire, et demande a l'elfe noir d'agir de la même façon que la dernière foi.*

... ensuite je vais restructurer le dessus de ton os, ce qui va me demander beaucoup d'énergie, de calme, et de temps. Il sera encore très fragile pendant quelques jours, et il ne te faudra pas porter des choses lourdes. Ça va pas être une partie de plaisir, mais le calment qu'Arfel t'a mi devrait t'aider pas mal. Tu es près ?

*La chose va lui être tout de même assez désagréable, forcent le corps a ce régénérer plus vite. Arfel lui chope la main valide et lui sourit, même si elle semble inquiète.*

*Elevân hoche la tête : ça ne va pas être une partie de joie. De grandes flammes bleu et vives sortent de la main de l'elfe blond. Lentement il enlève attèle et bandes au bras de Rödschrek, y allant le plus doucement possible. Une foi fait, il pause directement ses mains a l'endroit de la fracture et sert un peu. On peu voir qu'il concentre les flammes en un seul point pour qu'elles rentrent dans la chair, jusqu'à l'os... ce qui est déjà bien difficile. L'elfe noir peut sentir alors comme mille et une piqures imprégner son bras de l'intérieur. Même avec des médoc, la douleur est durement soutenable : sans ça, il en aurait eux pour 1 bon mois entier dans le plâtre... mais voyant que s'était un "bouge tout le temps", sont bras aurait douillé encore plus a la longue.

Les yeux fermé, Elevân se concentre. De son coté, Arfel est prés de l'elfe bleu tenant fermement sa main, lui apportant le soutien qu'elle peut puisque qu'elle ne soufre pas... pourtant elle se fait beaucoup de mourront et ressent qu'il souffre. En une dizaine de minutes, son bras retrouve un aspect potable et redevient fonctionnelle (même si encore fragile). Elevân ne pensait pas que ça lui prendrai autant d'énergie... se stoppant presque de façon brutal, il va s'assoir pour ne pas perdre connaissance.*

*Arfel de son coté est un peu en panique : les "deux hommes de sa vie" sont dans un sale état... l'un assommé par la douleur, l'autre par un manque manifeste d'énergie. Sa main écrasé est le cadé de ses soucis, alors que malgré elle, des larmes cour encore sur ses joues. La jeune femme saute au coup de l'elfe noir et lui dit tout bas a l'oreille complètement perdu.*

Si tu as besoin... je peux t'aider...

*Sous entendu lui passer directement de son énergie a elle. Puis d'un seul coup, se reprenant un peu, elle passe une main chaleureuse dans ses cheveux, disant.*

#Non j'ai rien dit... excuse moi... ça va aller... ça va aller... #

*C'est le moment précis que choisit Nashinka pour débarquer dans la pièce, habillée de vêtement d'hopital, visiblement pas très en forme. Elle fracasse presque la porte tant elle l'ouvre fort.*

C'est pas fini ce barouf? On égorge quelqu'un ou quoi?

C'est fini, retournes te coucher...

*L'elfe noir a enfin réussi à se remettre, mais il est encore secoué. Cela dit il est visiblement assez conscient de ce qui se passe autour pour avoir réussi à "rembarrer' Nashinka, d'une voix assez "douce".

Il se retourne ensuite vers Elevân, l'observe un moment et se rassoit doucement, sans oser utiliser réellement son bras.*

Arfel... tu peux l'aider à se rapprocher s'il te plaît?

*Arfel sursaute en voyant la tornade Nashinka sévir une autre foi. De suite elle va chercher son père, qui courbe le dos comme un p'tit vieux quand la jeune femme essaye de le relever. Pour le booster lui aussi un peu elle lui sort.*

Bas alors papi barbe rose... un peu de tenu devant tout ce beau monde ^^ !

*Elle ne se serait jamais permis de dire ça, si elle savait pas que son père prend bien ce genre de petites insultes, qui sont dites avec t'en de douceur qu'au final c'est plutôt une marque d'affection, dites a sa manière. Elevân a tout de même une sacré capacité pour retrouver ses forces : t'en qu'il y a de la lumière et de la chaleur, ça va vite. Se remettant plus noblement il lui sourit avec un "Non mais je ne vous permets pas jeune fille"... et pour Nashinka "Mettez vous au lit et que ça saute !", montrant du doigt le lit voisin de Rödschrek. Doucement il vient vers l'elfe noir, attendant de voir ce qu'il allait faire.*

*Nashinka vint se poser juste au dessus du lit de Rödschrek, tenant en parfait équilibre. une légère douleur lui tenaillait encore le ventre, mais rien de vraiment gênant. Elle s'était déjà retrouvée dans pire état. Elle avait une expression bizarre toutefois, l'expression qu'aurait eue une personne à la fois en colère et complètement bourrée, malgré le fait qu'elle soit tout à fait sobre.*

Dis donc le schtroumpf! On t'entends gueuler à l'autre bout de l'hopital et tu voudrais que j'retourne me coucher?!

*Elle ignorait parfaitemet Elevân tout comme le lit qu'il lui avait indiqué, se concentrant juste sur Rödschrek. pour d'obscures raisons, elle voulait le faire chier...*

*L'elfe noir lui envoya un sourire froid, mais aucune réponse, puis se plaça sur le bord du lit, plaça une main d'Elevân dans la main de son bras fragile, puis pris l'autre main avec sa main libre. Elevân sentit alors de nouveau cette honde d'énergie si spécifique à l'elfe noir rentrer en lui et le "revigorer". Le tout fut très rapide. Il s'était amusé à prendre son temps avec Arfel, mais ici il ne s'agissait pas d'elle.*

Un prêté pour un rendu, voilà.

*Pour Nasinka*

Et toi la bleue on t'as dit d'retourner te coucher.

*Première réaction d'Arfel, ricaner devant le nouveau surnom "made in Nashinka" pour Rod. Ensuite en voyant ce qu'a fait l'elfe noir, c'est plus une grande peur qui la transperce réellement, tétanisé, tenant toujours le bras de son père, et ne loupant pas le moins du monde ce qui est fait.
Pour Elevân, c'est l'insulte avec un grand "I" ! D'un seul coup il se redresse et s'éloigne, marchant sans faire exprès sur le pied de sa fille. Il sait que c'est la façon a Rödschrek de lui dire "merci"... mais c'est aussi pour lui un affront total disant :"t'a vue ce que je fais, et j'ai t'a fille". L'idée même qu'elle traine avec un nécromancien alors qu'elle ne supporte pas les morts lui es déjà pénible... la c'est la total : si il avait voulu faire ami ami avec le père d'Arfel, la il venait de geler la situation.

Elevan secoue la tête déçu, hésitant a le blâmer ou laisser passer. Il décide de régler cette histoire plus tard, quand sa fille ne serai pas a coté... quoi que, l'elfe noir étant un sacré têtue... ça ne changerais pas grand chose. Droit et assez froid, il dit tout simplement.*

Je ne sais pas comment prendre ton geste Rödschrek... qu'espères tu que j'en conclu ?

*Il sonde particulièrement ses pensées... et t'en pis qu'il n'en a pas l'autorisation. Fixant de façon autoritaire la femme elfe, il lui dit.*

Et vous reposez vous c'est un ordre de votre médecin !

*Toujours avec son air groggy à souhait, Nashinka tourna la tête vers Elevân.*

J'ai d'ordres à recevoir de personne. Même Nescronm ne me donnait pas d'ordres.

*Elle sauta du lit, venant vers Elevân. Kiss jaillit alors de sa ceinture, et sa tête vint heurter directement celle de l'elfe aux cheveux bleus. Elle émit une puissante onde soporifique, qui endormit nashinka aussitôt. Elle tomba sur le sol, dormant comme une masse, un léger sourire aux lèvres.*

#Il a perdu toute son énergie pour moi, je lui ai rendu c'est un moindre mal ! et il se vexe tsss tsss...#

Beaucoup des vôtres prennent cela pour de la nécromancie car cette manière d'agir ressemble à celle des sacromanciens qui raniment les morts. Maintenant si c'est de là que vient votre colère je vous arrête tout de suite.

C'est en copiant des elfes adeptes de magie pure que j'ai appris à faire ça. Pour preuve, je n'ai utilisé aucun signe nécromant, je n'ai pas ouvert nos cercle de vie ni d'âme, simplement renvoyé de la magie brute. Et de toute manière je n'aurais certainement pas partagé ma vie avec quelqu'un en qui je n'ai pas confiance!

#trop personnel... trop d'honneur surtout!#

Et même si on nomme cette forme littéralement nécromancie blanche dans votre langue, cela signifie guérison dans la notre, il n'y a aucune différence hormis le nom. Vos propres formes de soin sont nommées ainsi!

#Et quand l'un des nôtres use des pouvoirs de la Terre Mère pour en aider un autre, l'autre se doit de rendre la pareille ou au moins de dire merci!#

Peuh et j'ai pas à m'justifier! j'suis ftigué, j'vais dormir...

*A son ton froid et assez cinglant on pouvait en conclure que l'elfe noir lui aussi était vexé.*

*Elevân l'ai tout autant, et aurait bien répondu a cet elfe a sa manière. Mais voila, le dialogue n'est pas ouvert et il le revoit dans ses lauriers. Serrant les dents, il dit tout bah tout aussi sèchement.*

On en reparlera...

*Il quitte la sale laissant un grand froid derrière lui, demandant a un autre infirmier de s'occuper de Nashinka, ne voulant plus avoir a faire avec cette marginale aussi têtu qu'un âne triplement borné. En faite ce qui vexe le plus Elevân, est qu'il est l'impression que par ce geste il ne l'ai pas respecté comme il le devrais... ok, Rödschrek l'a fait dans un geste de remerciement, mais sachant de par Arfel, ce qui est pensé de tout ça... il aurait du ce retenir. Il lui aurait rie au nez que ça lui aurait fait le même coup. Ça lui gâche ça journée... de voir qu'il est totalement abandonné de sa fille, son soutien, ses croyance, sont camp.

De son coté Arfel est déçu du revirement de situation : ce qui aurait pu les réunir un peu, les on encore plus dispersé. Elle ne dit rien, mais elle penses que l'elfe noir a été maladroit... et s'en veut aussi a elle même de ne pas l'avoir plus avertie sur ce sujet.*

Tsss...

*L'elfe noir se tourne sur le côté, son bras fragile au dessus du corps, il tourne le dos à Arfel également. A vrai dire il n'a pas envie de parler, dégoûté de ne pas être compris. Elevân aurait au minimum pu le remercier, selon lui sa magie n'était même pas elfe noire, et il était certain de montrer sa bonne volonté de cette manière. Il ferme les yeux, garde les mâchoires serrées, se laissant aller au sommeil, dont il commence vraiment à avoir besoin à présent.*

*Qu'il se retourne lui fait encore plus mal : pourquoi elle devrait prendre pour les deux ?! Peut être un jour arrivera t'il a surmonter cette manie pour enfin s'ouvrir a un dialogue afin de mieux ce faire comprendre. Pour le moment ça lui file un sacré coup : elle était resté prés de lui, et lui semblait la rejeter. Doucement sans un bruit elle se lève, hésite, puis finalement se rapproche de lui, étouffant son amour propre. La jeune femme le prend dans ses bras du peu qu'elle puise, et l'embrasse sur la joue, toujours derrière, avec un petit "j't'aime" mental.
Elle veut s'aérer l'esprit un peu, et la pression qui semble encore stagner dans la pièce, la pouce a sortir prendre l'air dans l'un des parcs en face de la chambre. La, elle y fait pousser des plantes, assise par terre, les yeux tristes.*

*La jeune femme détestait pas mal les hôpitaux, aussi accueillant soit ils. C'est limite en courant pour ne pas croiser un malade dans un sale état, qu'Arfel se précipite de nouveau dans la chambre. Elle avait toujours été craintive de toutes ses choses, et ça ne changeait pas trop, malgré sont grand age. Dans la pièce ou dort l'elfe noir, elle y trouve a sa place habituel, un petit chat qui pionce tout autant. La jeune femme souffle et s'ennuie, et pourtant maintenant qu'elle est prés deux, pour rien au monde elle partirait.

Elle s'installe prés du lit et regarde de façon insistante le dormeur, avec un petit sourire : avant leur dispute, Elevân avait expliqué a sa fille ce qu'il voulait dire par "éclaircir la situation"... Trop impatiente, elle se relève d'un seul coup, allant demander a son père si elle pouvait embarquer l'elfe noir et sa chimère, loin de cet endroit qui pu le désinfectant. Son père n'y voyant aucune objection s'il restait couché encore une journée au moins, Arfel demande alors a une sorte d'ambulance de les ramener chez elle : elle pourrait bosser et garder un œil sur lui s'il avait besoin de quelque chose.

Une demi heure plus tard, le pionsseur invétéré dort toujours, mais cette foi sur le lit de la jeune femme, avec un petit verre d'eau sur le coté. Arfel fait pas mal de bruit malgré elle : le ménage, ça fessait perpètre qu'elle ne l'avait pas fait. En montant sur une chaise non loin du lit, pour enlever une belle toile d'araignée dans un lustre, qu'Arfel manque de tomber sur le lit. Se rattrapent au lustre, celui ci ne tien que 3 secondes avant de la laisser tomber... résultat : Elle s'écrase sur l'endormit, un lustre dans les mains, le verre d'eau virvoltant dans les airs... et atterrissant sur le lit en les mouillant bien.*

Waaaaa!

*L'elfe noir se réveille d'un coup, et ne comprends absolument pas ce qu'il se passe. Le chat noir a sauté du lit, trempé et vexé va s'asseoir sur la table de nuit ou reposait le verre.
Il voit Arfel et son lustre et la regarde bouche bée.*

Euh...

*Puis avant que sa vue ne lui fasse prendre conscience de la chose, ce sont des bruits familiers et des odeurs familières, celles de plantes, de bois et plus généralement de la jeune femme qui embaument la pièce qui lui font comprendre ou il se trouve.*

Tu fous quoi? Euh... et moi?

*ça ne va pas beaucoup plus loin, il a la parole difficile en ce moment. Il regarde également son bras valide et se rend compte que plus aucun tuyau n'y est branché. Ses yeux se tournent de nouveau vers Arfel. Il n'a même pas le courage d'en déduire quoi que ce soit.*

*La jeune femme est plus malaise que jamais : ses bêtises devenant de plus en plus énormes. Tentent de s'assoir et de s'écarter au plus vite, elle bascule et tombe au sol, se fessant encore plus mal. Un bras dépasse de l'horizon du lit, puis un autre avec le lustre qu'elle envoie valsé, trop énervé. Arfel se relève maladroitement, le regarde avec un air énervé et triste a la foi contre elle même. Ses mots sont bredouillé, ne sachant pas trop quoi lui dire : en ayant l'idée de le ramener chez elle, la jeune femme était toute contente... mais a présent devant lui, les arguments lui manque. Se grattant les coudes...*

Euuf... je... j'ai fais une bêtise de plus... excuse moi de t'avoir réveillé... je... c'est bête... j'aurais pas du te ramener ici...

*Se dégonflant, se frottant les yeux comme fatigué, elle fini par un.*

Je te ramène une serviette pour t'essuyer... et tu pourra dormir tranquille... plus de ménage dans cette pièce.

*L'elfe noir doit reconnaître que l'expérience lui aura coûté un bon mal de ventre, mais la voir se démener de la sorte le fait sourire. Il se pince les lèvres afin de ne pas avoir l'air de se moquer, mais le sourire au coin reste apparent malgré tout.
Elle bredouille, tente de se démener du mieux qu'il peu et lorsque la conclusion en vient au ménage il comprend et fini par se laisser aller à éclater de rire.*

*Afin de ne pas la froisser, il tente de se calmer, mais c'est trop pour lui.*

Ah,ah c'était donc ça?
Et tu veux que je t'en veuille de m'héberger de nouveau, tu es bête je pense. Tu m'aide, on ne refoule pas quelqu'un qui aide! et... euh... j'ai dormi tout le long du voyage?

#J'ai le sommeil trop lourd...#

Et mon manteau? Tu l'as ramené?

*Elle le pointe du doigt, prenant mal sont fou rire et ce qu'il dit, n'ayant pas vue la chose sous cette angle.*

T'a de la chance d'être mal en point !!! sinon j't'aurais fait passer un sale quart d'heure avec des chatouilles particulièrement tordant !!! NON mééé... et....

*Manteau ? de quoi parlait il ? La jeune femme garde le doigt vers lui, et semble réellement réfléchir. Puis sont visage se décompose... et oui... le manteau et aussi les vêtements qu'il devait porter, pas ses espèce d'habit informe remplie de fermetures éclair. Elle baisse la main, puis la porte a son front.*

Et... je suis pas bête... juste tête en l'air et maladroite... c'est tout...

*Puis elle se frotte le bas du dos, ayant encore mal d'être tombé aussi bêtement.*

Toi t'es pas mieux !!! t'es une grosse marmotte, alors ! oui... t'a dormit tout le temps... efficace ses calmants. Marmotte !

*La Arfel gamine et mauvaise joueuse revient en force. On peut pas dire qu'elle lui en veuille réellement, c'est encore un moyen d'évacuer cette péripétie. Abandonnant l'affaire, elle capitule par un*

J'irais te le chercher... c'est pas loin...

Oui... supporte pas bien ces trucs, mais au moins ça marchait...

#Bah au moins ça va m'obliger à me sevrer un peu qu'elle l'ai oublié... mais j'veux pas arrêter moi!#

Et... euh... rien.
Si comment t'as fait? Encore une machine ou une technologie qui t'as permis d'me ramener? Et Elevân il a dit quoi?

...