* Mac Mac…
Un requiem tragique qui bouleverse même les cœurs les plus braves !
Je viens faire un don vous y trouvez quelques inconvénients ?
# Ah ces internes ! #
* Avec un sourire carnassier Zahara continua sa route tout en fredonnant une vieille comptine :*
[ HRP ]Je ne savais où poster puisqu'il n' y' a aucun topic Hopital ! ah et la comptine est de Jacques Prévert
Un requiem tragique qui bouleverse même les cœurs les plus braves !
Jamais le commerce de Zahara n’a autant fleuri que lors de ces derniers temps et pour cause ! En ces temps incertains où la mort à l’affût peut en un clin d’œil emporter les pauvres êtres chétifs, une malédiction terrible règne en maître dans cette ville qui était jadis si accueillante !
Une malédiction baptisée « bourreaux » ! Un nom criant de vérité qui la fait frissonner malgré elle ! Désormais, ils sont semblables à des condamnés terrifiés qui attendent dans le couloir de la mort la terrible sentence !
Qui donc enclenchera le fatal coup de grâce ? cette longue attente commence à peser lourd sur les esprits inquiets et certains même viennent à espérer qu’il arrive maintenant ! pourvu qu’ils soient fixé sur leur sort ! *
* Tenant fermement les journaux qu’elle a pu acquérir, elle épluchait avec hâte les différents articles qui y figuraient à la recherche d’informations qui lui permettront d’assouvir sa curiosité. Oh ! ne croyez pas qu’elle était insouciante puisque elle faisait fi des recommandations du roi en déambulant seule dans les ruelles désertes ! non, soyez certain qu’elle avait toutes ses facultés mentales, cependant un désir plus fort qu’elle la pousse vers cette inconnue qu’on surnomme faucheuse, un réflexe logique puisque elle l’avait côtoyé lorsqu’elle reçut son premier souffle de vie. Dés lors elle est devenue sa compagne de route…
C’est ainsi que plongée dans ses pensées, Zahara arriva enfin à sa destination ; l’Hôpital ! elle prit le temps d’admirer l’imposant bâtiment objet de toutes ses convoitises avant d’y pénétrer comme dans un territoire conquis. Sa tenue qui ne passait pas inaperçue était en total décalage avec les austères murs blancs,
Des regards moitiés curieux moitié choqués affluaient de partout !*Une malédiction baptisée « bourreaux » ! Un nom criant de vérité qui la fait frissonner malgré elle ! Désormais, ils sont semblables à des condamnés terrifiés qui attendent dans le couloir de la mort la terrible sentence !
Qui donc enclenchera le fatal coup de grâce ? cette longue attente commence à peser lourd sur les esprits inquiets et certains même viennent à espérer qu’il arrive maintenant ! pourvu qu’ils soient fixé sur leur sort ! *
* Tenant fermement les journaux qu’elle a pu acquérir, elle épluchait avec hâte les différents articles qui y figuraient à la recherche d’informations qui lui permettront d’assouvir sa curiosité. Oh ! ne croyez pas qu’elle était insouciante puisque elle faisait fi des recommandations du roi en déambulant seule dans les ruelles désertes ! non, soyez certain qu’elle avait toutes ses facultés mentales, cependant un désir plus fort qu’elle la pousse vers cette inconnue qu’on surnomme faucheuse, un réflexe logique puisque elle l’avait côtoyé lorsqu’elle reçut son premier souffle de vie. Dés lors elle est devenue sa compagne de route…
C’est ainsi que plongée dans ses pensées, Zahara arriva enfin à sa destination ; l’Hôpital ! elle prit le temps d’admirer l’imposant bâtiment objet de toutes ses convoitises avant d’y pénétrer comme dans un territoire conquis. Sa tenue qui ne passait pas inaperçue était en total décalage avec les austères murs blancs,
Je viens faire un don vous y trouvez quelques inconvénients ?
* Un jeune homme en blouse blanche secoua énergiquement sa tête avant de s’enfuir les joues en feu.*
# Ah ces internes ! #
* Avec un sourire carnassier Zahara continua sa route tout en fredonnant une vieille comptine :*
Un village écoute désolé
Le chant d’un oiseau blessé
C’est le seul oiseau du village
Et c’est le seul chat du village
Qui l’a à moitié dévoré
Et l’oiseau cesse de chanter
Le chat cesse de ronronner
Et de se lécher le museau
Et le village fait à l’oiseau
De merveilleuses funérailles
Et le chat qui est invité
Marche derrière le petit cercueil de paille
Où l’oiseau mort est allongé
Porté par une petite fille
Qui n’arrête pas de pleurer
Si j’avais su que cela te fasse tant de peine
Lui dit le chat
Je l’aurais mangé tout entier
Et puis je t’aurais raconté
Que je l’avais vu s’envoler
S’envoler jusqu’au bout du monde
Là-bas c’est tellement loin
Que jamais on n’en revient
Tu aurais eu moins de chagrin
Simplement de la tristesse et des regrets
Il ne faut jamais faire les choses à moitié
Le chant d’un oiseau blessé
C’est le seul oiseau du village
Et c’est le seul chat du village
Qui l’a à moitié dévoré
Et l’oiseau cesse de chanter
Le chat cesse de ronronner
Et de se lécher le museau
Et le village fait à l’oiseau
De merveilleuses funérailles
Et le chat qui est invité
Marche derrière le petit cercueil de paille
Où l’oiseau mort est allongé
Porté par une petite fille
Qui n’arrête pas de pleurer
Si j’avais su que cela te fasse tant de peine
Lui dit le chat
Je l’aurais mangé tout entier
Et puis je t’aurais raconté
Que je l’avais vu s’envoler
S’envoler jusqu’au bout du monde
Là-bas c’est tellement loin
Que jamais on n’en revient
Tu aurais eu moins de chagrin
Simplement de la tristesse et des regrets
Il ne faut jamais faire les choses à moitié
[ HRP ]Je ne savais où poster puisqu'il n' y' a aucun topic Hopital ! ah et la comptine est de Jacques Prévert