par *Luderik, après les événements un peu durs dans la Citadelle, avait décidé d'emmener son fils et Rödschrek manger un morceau, histoire de se détendre et de digérer un peu les nouvelles. Sven était déchu de son titre, et Rödschrek se retrouvait de nouveau pieds et poings liés, mais dans une meilleure passe qu'il ne voulait le faire croire.
Ils prirent le gros véhicule Zohokan, resté sur le parking, et partirent en ville. Une fois passé les quartiers riches aux abords de la Citadelle, on arrivait très vite dans la ville civile, qui se trouvait juste en dessous des points d'entrée principaux d'Imvar, à savoir des plateformes flottantes, soutenues pas des esprits tourbillonnant en dessous, qui montaient et descendaient par les orifices du plafond lointain et transparent de la caverne.
Quelques rayons de soleil filtraient dans le ciel nuageux, projetant leurs faisceaux à travers le nuage de brume qui recouvrait la surface, avant de traverser miraculeusement la roche et poser leur regard chaud sur les bâtisses d'Imvar. Un temps assez beau dans le nord, en fait.
En ville, on trouvait nettement plus de morts que dans l'Elysée, mais contrairement à une certaine époque, les cadavres ambulants étaient habillés et entretenus, afin de ne gêner ni par la vue, ni par l'odeur. Dépourvu de parole, ils travaillaient tranquillement sans gêner les vivants. D'ailleurs, on avait l'impression que personne ne prêtait attention à eux.
Luderik les emmena dans un petit restaurant rapide portant le nom de M'cg'oul, qui proposait une grande variété de sandwiches chauds et particulièrement gras, mais qui semblaient appréciés des personnes s'y trouvant, des adolescents et de jeunes gens, pour la plupart.
Ils entrèrent, firent la queue pendant bien dix minutes, et commandèrent. luderik se contenta d'une salade de composition incertaine et d'un cheeseburger, alors que Sven s'offrit un impressionnant sandwich de trois étages avec d'énormes frites et un soda à l'orange.
Lorsqu'ils furent servis, tous trois s'installèrent à une table, à l'intérieur, et commencèrent à manger. Désireux de lancer un peu la conversation, Luderik tâcha de lancer Rödschrek sur un sujet qu'il aimait bien.*
Alors, il paraît que tu t'es attelé à la construction d'une nef ? C'est pas une mince affaire, dis-moi. Qu'est-ce qui t'a poussé à faire ça ?
Ils prirent le gros véhicule Zohokan, resté sur le parking, et partirent en ville. Une fois passé les quartiers riches aux abords de la Citadelle, on arrivait très vite dans la ville civile, qui se trouvait juste en dessous des points d'entrée principaux d'Imvar, à savoir des plateformes flottantes, soutenues pas des esprits tourbillonnant en dessous, qui montaient et descendaient par les orifices du plafond lointain et transparent de la caverne.
Quelques rayons de soleil filtraient dans le ciel nuageux, projetant leurs faisceaux à travers le nuage de brume qui recouvrait la surface, avant de traverser miraculeusement la roche et poser leur regard chaud sur les bâtisses d'Imvar. Un temps assez beau dans le nord, en fait.
En ville, on trouvait nettement plus de morts que dans l'Elysée, mais contrairement à une certaine époque, les cadavres ambulants étaient habillés et entretenus, afin de ne gêner ni par la vue, ni par l'odeur. Dépourvu de parole, ils travaillaient tranquillement sans gêner les vivants. D'ailleurs, on avait l'impression que personne ne prêtait attention à eux.
Luderik les emmena dans un petit restaurant rapide portant le nom de M'cg'oul, qui proposait une grande variété de sandwiches chauds et particulièrement gras, mais qui semblaient appréciés des personnes s'y trouvant, des adolescents et de jeunes gens, pour la plupart.
Ils entrèrent, firent la queue pendant bien dix minutes, et commandèrent. luderik se contenta d'une salade de composition incertaine et d'un cheeseburger, alors que Sven s'offrit un impressionnant sandwich de trois étages avec d'énormes frites et un soda à l'orange.
Lorsqu'ils furent servis, tous trois s'installèrent à une table, à l'intérieur, et commencèrent à manger. Désireux de lancer un peu la conversation, Luderik tâcha de lancer Rödschrek sur un sujet qu'il aimait bien.*
Alors, il paraît que tu t'es attelé à la construction d'une nef ? C'est pas une mince affaire, dis-moi. Qu'est-ce qui t'a poussé à faire ça ?
