Rödschrek Nakaam a écrit:* Il relève le visage vers Arfel, lui envoie un pardon puis la lâche, et s'enfuit. Il n'y a pas de pensée logique, juste de la peur, et un besoin de s'éloigner un moment, de se retrouver seul, et ce quelque soit le froid. La seule qui pourra se rapprocher est Arfel. Les autres seront violemment rejetés.
Il ne cherche pas de direction précise, il file simplement tout droit, il n'y a pas de logique, juste un moyen d'extérioriser ses craintes sans les mettre en danger. Sa vue se trouble, il pleure.*
*Arfel en est que totalement bouleversé ! D'habitude il a besoin d'être seul pour se reconstituer... mais non, pas aujourd'hui ! pas a cette heure aussi décisive ! Alors quil se met a fuir, la jeune femme se met obstinément a le suivre. Elle ne veut pas l'arréter de marcher, ce qui est sans doute une sorte de défouloir, mais a n'importe quel signe, elle sera la pour le serrer. Donc elle reste derrière, a proximité, les yeux tout aussi entaché de sa souffrance qui émerge. La nature, les arbres pourraient être un obstacle... mais t'en qu'il ne sont pas loin de tous, tout seule, la fille de la terre écarte les végétaux de devant le fils du vent.
Elle est a coté de lui, imposant avec force sa présence dans ses pensées : il ne peut rester seul... elle est la... il ne sera plus jamais seul !*