[fini]Fuite vers le Rien

*Elevân avait joué un peu a la police depuis le début de leur voyage, a regarder sa fille et ce nouveau fils adopté sans vraiment le choix. Il ne s'arrète pas pour autant de l'aider pendant les pauses, continuent des cures au feu vert réparateur. Le dos du drow se portait de mieux en mieux, la peau retrouvant a peu prés une texture tendu et "lisse". Quand il était sur le dos de "sa" dragonne, il passait le plus clair de son temps a dormir pour récupérer.

Arfel les regardait tout les deux, aussi assommé l'un que l'autre. Lors des marches a pieds, elle tentait de faire de grandes enjambé pour ne pas les ralentir. Même si le temps devenait de plus en plus insupportables, le petit sourire de la dernière foi restait... tout irais mieux, elle en est certaine, dans cette foret qu'Asriel lui avait présenté au début de son arrivé. Puis elle repense a ce qu'il avait dit, ce que ferais l'elfe noir devant le panoramique de celle ci. Oui vraiment, un sentiment serin la prenait au fur et a mesure qu'elle s'en rapproche.

Contrairement ou elle cachait son affection pour les deux elfes noirs, a présent elle n'y penses même plus et tout devient naturel. Mais elle se calme parfois en voyant qu'elle "énerve" sont père, qui n'est vraisemblablement pas encore tout a fait prés de la voir ainsi avec Rödschrek. Pendant le chemin, elle questionne aussi Fura sur cette forêt.*

Alors, qu'est ce qu'il faut savoir sur cette forêt ?

*La dragonne grogne doucement. Il lui est difficile de parler sous forme draconnique, ausi ellr demande à Maïtaga de reprendre le relais. La chimère gromelle, les deux assommés se réveillent vraiment, et Röd profite enfin de l'un des rares moments où il peut enfin poser un pied peu assuré sur le sol. Bien vite la dragonne sous forme humaine l'attrae et le^pose sur le dos du dragon chimère, parfaite réplique de la forme draconnique de Fura. Elle aide également Elevân au passage au cas où il aurait besoin. La route reprend, elle répond enfin.*

Il y a plein de choses, plein de mythes qui viennent de cette jungle...

*Elle s'arrête un moment et envoie un regard blasé à Röd et à la chimère qui se disputent dans leur langue. L'un d'une voix parfaitement neutre particulièrement stressante, l'autre d'une voix caverneuse et gutturale.*

Hey les mômes, c'est fini oui?

*L'elfe noir se stoppe un moment, puis reprend. Visiblement toujours la même phrase. La dragonne décide donc de les ignorer au mieux.*

Oui je disais plein de mythes. C'est le territoire des dragons, nous sommes très peu à avoir reprs à nous repérer, et l'humidité et le nombre d'animaux énormes à l'intérieur camoufflent les odeurs et les traces de pas en quelques minutes à peine.
Par contre le centre est interdit. Car il y a l'entrée de la plus grande prison qui n'ait jamais existé sur cette terre... euh... et c'est accessoirement aussi la proximité avec cette chose qui risque de dérégler vos pouvoirs. Alors prenez garde quand vous les utiliserez...

*Arfel bascule l'air ronchon a plusieurs reprises vers les deux drows colérique, et allait sortir quelque chose de similaire a Fura, mais elle la précède. Quand ils recommencent, elle a aussi la même réaction : ça va bien leur passer, et s'il continue, elle irait le chatouiller a son point sensible. Puis elle écoute la dragonne avec ses explications.*

Hummm je vois. Et il y a quoi comme danger principal dans ce genre de forêt ? des plantes carnivore géantes ? de mouches gobeuse d'homme ? ou encore des sanglier végétarien ?

*Elle s'était mi un peu a mimer les choses dont elle parle, essayent de parler plus fort que Rödschrek pour lui faire comprendre de se taire.*

Et... euum... qu'est ce qui pourrait arriver a nos pouvoir au centre ?

Il y a des félins primate. Je dirais que ce sont les plus dangreux. Mais en règle générale, il n'y a rien qui puisse rivaliser avec un dragon...

*Rödschrek continue, il veut obtenir raison mais visiblement la chimère est plus têtue.*

Quand à vos pouvoirs, rassurez vous, nous n'iront pas au centre. Mais ils risquent de beaucoup augmenter. Le Dédale est un lieu runique très puissant, qui a échappé au contrôle du maître des destinées lui même...

Hum ! d'accord. Nous avons les meilleurs gardiens avec nous alors ! Je te remercie Fura...

Raaa zon pas fini les deux la ?... bon je reviens !

*Alors que l'elfe bleu continue son charabia, elle décide d'agir et de te taquiner, ça fessait longtemps. Sans se faire trop repérer mentalement et physiquement, elle grimpe sur Maïtaga par l'arrière. Il lui est difficile de grimper sur la chimère draconique en mouvement, mais après quelques efforts, elle arrive en haut et se tapis pour rester discrète. Alors que Rödschrek continue de piailler, elle lui saute dessus et se met a le chatouiller, en évitant de lui faire mal, disant d'une voix faussement sadique.*

T'a pas fini d'harceler ce pauvre Maïtaga ?! j'vais te faire changer de langage moi.

*Etonné, l'elfe noir a le réflexe débile de se coller contre Arfel, se triturant le dos au passage. Mais la jeune femme sait être habile quand elle veut. L'elfe noir se retient, mais fini par pouffer. Il se débât comme il peut, mais il y a des choses qu'il ne supporte vraiment pas. Tout en gesticulant, son pied va heurter le dos d'Elevân.
Il rit encore à cause de ces foutues chatouilles mais sa parole mentale vers Arfel est sans appel.*

#Aïe on est mal!!!#

*Fura quand à elle observe d'en bas avec un sourire au coin. La situation risque d'être pimentée.. donc plus intéressante que prévue.*

*Avec ce coup, il manque de tomber de Maïtaga, mais se rattrape avant. Se retournant les cheveux mal coiffé, et les yeux fusiller d'un gars qui se réveille du pied gauche, il dit sèchement.*

Je peux savoir ce que vous fessiez ?

*On voit qu'il n'est vraiment pas dans son assiette, et malgré la nouvelle force de Fura en lui, le lazard avait laissé en lui une blessure mentale profonde. Arfel s'arrête, le regarde, bredouille un pardon : encore une foi elle a agit avant de réfléchir. Elevân souffle bougon et se repositionne pour dormir. Rien de plus apparemment.
De son coté Arfel, continue de le chatouiller doucement, ce qui revient plus a une sorte de petit massage, en lui disant tout bas.*

Avoue... tu voulais le jarter de l'expédition hein ? C'est ça que tu mijotais avec Taga^^ ? Rooo le méchant Rödschrek !

*De son coté Elevân baisse les oreilles : il ne sait pas combien de temps il pourra supporter ce genre de comportement. Certaine situation lui rappelle alors sa jeunesse ou il fessait lui aussi le foufou... il se calme alors.*

Nan même pas ah,ah. Et puis je n'ai pas envie d'avoir le retour de bâton!

*Tout bas :*

Il est fort ton père, bien plus que moi!

*Profitant qu'elevan ait le dos tourné il embrasse Arfel, puis se redresse soudain en écarquillant les yeux. S'il ne le dit pas, Arfel entend très bien un woah mental. Ils sont aux bords d'une falaise, l'endroit même ou l'a ammenée Asriel il y a presque un an.*

'Taga, j'ai besoin de descendre lo maintenant!

*Pour une fois la chimère cède, baissant une voilure, pour laisser son roi descendre et aller voir de lui même le panorama. Fura se rapproche pour le rattraper s'il venait à vaciller.*

*Elle déclare alors :
*
Nous y voici, bienvenue dans la tropicale Nikono...

*La jeune femme réplique a ses premier dire avec un ton humoristique.*

Tu veux que j'organise un duel pour en être certain ?

*Après qu'il l'embrasse, elle sourit face a sa réaction : Asriel ne s'était pas trompé. Elle pause une main sur l'épaule d'Elevân pour attirer son attention vers le panorama, puis suit l'elfe noir, se collant un peu a lui pour l'aider a ne pas vaciller aussi. Ce n'est pas vraiment le panorama qu'elle admire en se moment, c'est plutôt l'elfe noir qu'elle regarde avec un large sourire.

Elevân se retourne doucement, et admire lui aussi le paysage avec un grand sourire, mais qui retombe d'inquiétude : que se passera t'il après cette fuite ? La semi elfe ne dit rien, comme pour ne pas gâcher le spectacle.*

*L'elfe noir est aux anges. Il observe la tropicale, luxuriante, ébahi par le spectacle. Un léger sourire s'affiche sur son visage plutôt fatigué. Il se retourne vers Arfel.*

Alors c'est là bas...

*Son sourire disparait mais il n'exprime rien de ses angoisses. Il vacille, se rattrape un peu, ou plutôt se fait rattraper par Arfel. Fura ajoute avec un petit sourire :*

Voilà ce qui arrive quand on ne mange pas. Même les valeureux guerriers finissent avec la force d'un bambin quand ils sont sous nourris!

*Elle lui indique le dos de Maïtaga*

Tu sais ce qu'il te reste à faire... de toute manière, 'Taga,, on va descendre direct, faudra que tu t'envoles. Si on peut se faire un p'tit camp avant la nuit ce sera nickel.

*Elle hoche fièrement la tête quand il lui pose la question, puis manque d'être emporté dans son moment de faiblesse. Heureusement qu'elle a plus ou moins sentie de coup venir, sinon elle aurait chaviré avec. De suite elle le force a le suivre, direction le sac avec la nourriture : il avait réussi a tromper sa vigilance concernant le mangé... mais ça n'allait pas se passer comme ça ! Quitte a lui mettre la nourriture elle même dans la bouche, il mangerait.

De son coté, Elevân sourit en voyant le spectacle. Il réussi a descendre sans trop de problème et va rejoindre Fura.*

J'espère que jusque la nous n'avons pas été suivit. J'ai... je n'arrive pas a détecter les possibles personnes au alentour... j'espère retrouver toutes mes forces rapidement.

*Se tournant légèrement vers le couple dans la cuisine "aménagé" pour le coup.*

Ses deux la pour le moment ne pourront pas vraiment se défendre en cas de casse. Nous continuerons a voyager comme des nomades, ou tu nous dirige vers un endroit particulier ?

*Alors que Rödschrek commence à essayer de rassurer Arfel par des tout va bien presque paniqués qu'elle s'inquiète comme ça, et plutôt gpené de ce qu'il considère comme une soudaine lubie , Fura répond à Elev^n d'une vois assez basse.*

Le mieux est de voyager. Ce sera votre meilleure chance de survie. Même si nous avons été suivis, ce qui pour moi ,n'est pas le cas, ils nous perdront très vite là dessous. et je compte sur la proximité du Dédale pour vous remettre plus vite de vos blessures que la normale.

*Puis se retournant elle s'adresse directement au couple.*

Eh vous deux, les guerres de ménage ce sera quand on sera arrivés à notre premier point de destination!

*Elle rajoute tout bas pour que seul Elevân l'entende :*

Des gamins... je n'avais jamais vu Röd agir ainsi... je l'avais toujours trouvé trop mure pour son âge, à tel point que j'en avais pitié de lui... je crois qu'il rattrape toutes ces années perdues d'un coup...

grimpez sur l'drag... la chimère, on décolle!

*La nouvelle lubie d'Arfel est stoppé par la dragonne qui donne un ordre sans détour. Elle envoie un regard a Rödschrek du genre "je t'oublie pas toi", puis elle l'aide a grimper sur la chimère. Se nourrir correctement est toute une tradition chez elle, sachant que le mangé est une parcelle Alique, qui aide le corps a fonctionner, et sans, il marche au ralentie : et vue ce qu'il a au dos ce n'est pas vraiment le moment. Sans doute cette peur vient aussi de quand elle était petite, a être resté plusieurs semaines sans rien manger avant qu'Elevân ne la retrouve dans un sale état. A chacun habitudes.

Elevân continue a sourire, de voir comment elle tente de mener l'elfe noir par le bout du nez. Il semble intéressé par ce que ce "Dédale" semble leur promettre... et il est presque impatient être sur place. Il répond a Fura.*

Hum oui sans doute... !

*Sur ses quelques mots, il grimpe lui aussi sur le dragon chimère.*

*La pauvre Arfel a la peur de sa vie ! Dés que Maïtaga décide de suivre Fura avec ses pirouette de cirque, s'en ai fini de l'Arfel autoritaire. Se recroquevillent sur elle même, s'accrochant a tout ce qu'elle trouve comme les écailles du dos et les habit de son cher et tendre, elle se met a crier... seule échappatoire pour évacuer ses émotions. De son coté Elevân s'amuse comme un vrai gosse, suivant les mouvements pour se fondre dans les airs comme s'il ne fessait qu'un avec le dragon.

Une foi arriver en bas, et que tout ce remue ménage se soit stoppé, la semi elfe est incapable de bouger, réellement tétanisé et dans tout ses états : l'air n'est vraiment pas encore son éléments... c'est trop soudain et sa bonne vieille terre est tout ce qu'elle connait. Son père l'incite donc a descendre, mais la pauvre en ai incapable, encore sous le choque. Elle aussi est trempé, et tremblote comme une feuille. Voyant qu'elle ne bouge pas, Elevân rejoint Maïtaga et Rödschrek en disant a la chimère.*

Euum... tu peux te retransformer... ?... elle... je crois qu'Arfel a le mal de l'air.

J'vais... m'asseoir moi...

#mal au dos, au c.... raaah#

J'reste de bout finalement.

*Un peu hésitant l'elfe noir adulte avance, et va s'appuyer contre un arbre. Il baisse les oreilles un moment*

#QUel vacarme ici...#

*La chimère quand à elle reprend lentement, très lentement sa forme de gamin, et reste allongé, il dort à point fermé. Celà fait peur à Röd sur le coup qui accourt vers lui. Mais la chimère relève la tête, quelques mots échangés, et le drow adulte puise dans ses faibles forces pour aider son gamin à s'allonger contre une racine. Arfel n'est pas tombée violemment, la transformation était très lente.

Fura quand à elle a déjà disparu de la circulation.*

*L'elfe noir s'éloigne un peu d'Arfel puis s'approche d'Elevân, un peu hésitant. D'une voix qui se veut neutre, il se teste à un :*

Besoin d'aide? je peux peut être essayer de trouver des fruits ou des baies pas loin.

*Sa voix est encore enrouée, il a beaucoup de mal à récupérer de la série d'Evênements qui a eu lieu ici.*

*Elevân sourit discrètement, puis il le regarde tardivement de la tête au pied comme pour regarder s'il est apte a faire ceci. Puis son sourire se fait un peu plus grand et il dit de façon détendu.*

Oui jeune homme... volontiers ! Mais ne force pas sinon ce n'est pas a ma fille, mais a moi que tu aura a faire. Je ne te soigne pas pour avoir a tout recommencer c'est compris ?

*Il se la joue un peu dure, mais ses expressions sont celle du gars sympa qui se la joue un peu. Il rajoute.*

Fait comme tu peux.

*L'elfe noir acquiece. Son expression n'a pas changé, pas de sourire, mais quelque chose dans son attitude, sa démarche peut être, ou simplement ses yeux, démontrent qu'il est réllement content qu'Elevân ne doute pas de ses capacités.*

Je reviens dans une heure au plus tard.

*Sans plus de serment, il commence à s'enfoncer lui aussi dans la jungle, sans bruit. Il revient plus tôt que prévu, des feuilles géantes roulées pour servir de sac de fortune. Il étale des racines essentiellement, coupées nettes, alors qu'il n'a aucune arme sur lui. Il y a également quelques agrumes. Fura quand à elle ne deigne pas rentrer, mais l'elfe noir ne s'en soucie pas. Il se rappelle que la chasse peut prendre une heure comme une nuit entière.*

ça et ça on peut les faire chauffer sous le sol en creusant un puit. Moi... j'vais là bas.

*Il désigne une branche de l'arbre géant qui surplombe le petit camp.*

Juste voir si on peut y grimper facilement. Si c'est la cas ce sera peut être mieux que le sol.

*L'elfe noir grimpe plutôt bien. La fracture de son bras a eu le temps de réellement se remettre depuis, et sa jambe ne lui fait plus trop mal. Il marche sur une branche faisant un mètre de large, intrigué qu'une telle plante existe puis s'accroupi, observant le paysage autour de lui. Des voix se font de nouveau entendre, lui cassant les oreilles, il grimace puis écarquille soudain les yeux. Ce sont des esprits, beaucoup d'esprits, ce qui signifie qu'Arfel va être en danger!

Pourtant il ne ressent pas leur présence. Il se relève, à l'affut. Ce sont des appels à l'aide, il en est certain, il devra aller vérifier. Mais Arfel? Il serre la mâchoire, ne faisant pas confiance à cette inconnue censée les guider. Il se retourne, les observe parler de loin. S'il les prévient, ils risquent de faire demi-tour et donc de s'éloigner d'eux. Mais la vie de sa compagne est en jeu, et de toute manière Elevân lit dans les pensées, mieux vaut il les prévenir.

Un hurlement qu'il est le seul à entendre lui déchire les tympans. Il se retourne en gtognant puis se rappelle soudain d'un de ses hurlements lorsqu'il était plus jeune. Il colle ses mains sur ses oreilles, ferme les yeux un moment, se concentrant sur ses sens, tentant désespérément de les "couper".*

#ASSEZ!!!#

*Il redescend, manquant de se votre avant même d'attraper le tronc, puis se dirige de nouveau vers le père et la fille, les pensées vagabondes, n'arrivant pas à enlever ce cri de sa tête. Sans vérifier si Elevân ou Arfel l'écoute, il lance d'une voix irritée :*

Va y'avoir des esprits!

*Étrangement, Arfel ne ressent pas la frayeur de l'elfe noir. Tout ce qu'elle voit, c'est l'orage et le ciel qui promet de la pluie, alors pour éviter ce se faire mouiller sans doute, elle s'aventure aveuglément dans cette foret en quête d'eau potable. Elle se met a courir et suis le bruit d'une source d'eau qu'elle croit entendre... sans regarder derrière elle, car de base sont pouvoir de la terre l'aidera sans problème a retrouver son chemin.

Lui Elevân capte les pensée catastrophes de Rödschrek, et se lève d'une traite : il sentait bien que ses pouvoirs psychiques diminué leur jouerais des tours. De suite il regarde autour de lui. Pas d'Arfel ! et au premier abord pas d'esprit non plus. Il s'avance vers lui et le prend par les épaules (pas brutalement^^), stressé a sont tour.*

Tu es sur ? dans quel direction ? de quel type ?!!!

*Il se retourne.*

ARFEL !!!

*Mais la jeune femme est a présent trop loin du camp pour les entendre. Arrivé dans une clairière, le temps autour d'elle s'éclaircit étrangement, un endroit baigné d'une petite lumière poussiéreuse, plongent dans la cuvette d'une petite cascade sauvage... un cadre magnifiquement idyllique. Arfel, vue que le temps ne semble plus se faire mauvais, reprend alors son temps, et admire un paysage irréelle.

Se penchant au dessus de l'eau, elle en prend dans la main pour le porter a la bouche et voir si l'eau est potable. Elle est parfaite ! fraiche et limpide. Mais quelque chose l'interpelle tout de même : tout est trop parfais... trop différent d'il y a quelques minutes. La jeune femme de vert vêtu se dit qu'elle doit devenir parano... et entreprend de remplir les deux bourdes qu'elle a avec elle.

C'est en repartent que ses doutes s'insinuent plus : Une goute tombe lourdement sur l'un de ses pieds, une goute rouge. Remarquant que son nez saigne, elle s'inquiète et un début de panique s'insinue en elle. Puis une voix se fait entendre... non pas celle de Rödschrek, mais une voix féminine douce et attentionné qui lui demande ce qu'elle fait ici. Sursautant elle se retourne et rien !
Expirant, elle embarque fermement les gourdes remplie et s'éloigne au plus vite, ne cherchant même pas d'où ça vient. La pluie revient, comme si elle l'attendait a quelques mettre de cette petite crique paradisiaque.*

#Tu rêve ma p'tite... tu n'as rien entendu... et... et ton nez c'est a cause de ce sal temps lourd... tu n'as rien entendu !#

*A chacun de ses pas, la boue devient plus attachante et ses gestes deviennent plus lourds. Des murmures se fond entendre ensuite, et elle tente de mettre ça sur le dos des oiseaux pour ne pas mourir de peur sur place, et revenir vers ses proches. Mais les voix se font de plus en plus proches, présente, et Arfel doit s'en rendre a l'évidence : Elle est perdu ! Son pouvoir ne marche étrangement pas alors que son nez et ses oreilles laissent échapper de pourpres cascades.

Vraiment en flippe cette foi, elle cri a l'aide, revient sur ses pas vers la crique accueillante. Ses forces sont encore la ! Non ! elle ne va pas y laisser sa carcasse.

De l'autre coté, Elevân commence a partir dans la direction ou sa fille a été sans même attendre une réelle réponse du drow... il fait retrouver sa fille et après on verra. Il l'appelle en vain, suis ses pas alors que la pluie se transforme en véritable torrent. Il commence s'égosiller la voix quand il voit l'une des gourdes vides au sol : la il panique.

De sont coté Arfel retrouve le camp, ou du moins le crois : ils sont la sous l'une des ailes de Fura qui pour l'occasion leur fait un abri... elle les rejoint soulagé, mais ils ne disent rien, la regardant tous étrangement.*

*L'elfe noir allait répondre quand l'Elevân part précipitemment.Il avance tout doucement se dirigeant droit vers les esprits en question. Sans ses oreilles pas de doute ce sont des appels à l'aide. Un certain nombrte d'âmes errantes sans réel danger physique, mais un esprit frappeur au centre, et dieu seul sait quelle est sa forme actuelle. Son oeil organique prend une couleur blanche, laiteuse, tandis qu'il avance comme un somnambule en direction de l'esprit qu'il sait être dangereu. Bientôt, tout ce qui se trouve autour de lui n'existe plus pour lui. Ilm a fermé les yeux, ne se fiant qu'à son ouîe. Il est aveugle dans le monde astral, il se rappelle s'être lui même arraché les yeux. Il se fait lent. Très vite il dépasse Elevân. Même les yeux fermés il semble voir, c'est la lance qui le conduit. Ou plutôt l'oeil de la lance voit, l'objet le possède.

Il dépasse Arfel, allongée au sol. Pour le moment il ne la voit même pas, trop concentré sur la créature astrale et les cris. Quelque chose sort du sol et le projette en l'air. Il s'écrase contre un tronc, sur le dos. Il hurle. Le choc a été moins violent que prévu, en revanche son dos, ses jambes brpulées on très mal supporté l'affaire. Il se relève, rouvre les yeux, un monstre informe, fait de bras et de jambes semblant cousus à un tronc d'arbre ornés d'un masque l'observent, pêts à frapper. L'elfe noir psalmodie, se rend impalpable et voit Arfel trop tard, par terre non loin.*

Merde!!!

*Il s'élance, espérerant repousser la créature à temps, mais il faut croire qu'il est trop faible. LOe coup de lance est stoppé net par un bras. L'elfe noir est ébahi. C'est la première fois qu'un esprit se fait plus puissant que lui... Un aidez moi se fait entendre, mais la voix n'a rien d'humain.*