par Arfel Alcali Lun 24 Aoû - 15:53
*Elevân attrape l'enfant chimérique et le sert dans ses bras comme s'il avait été son propre fils. Il espère qu'il a raison, et qu'Arfel ne s'est pas refermé sur elle même au point de ne plus écouter même celui dont elle est lié.
La porte devant l'elfe noir s'ouvre, à la prononciation de "Shaân". De l'autre coté, une pièce de néants, immense et noir. Quelques miroirs sont malgré tout sur son passage, et ce font de plus en plus nombreux au fur et a mesure qu'il avance. S'il s'y attarde devant, il pourra remarquer qu'ils sont tous fissurés, cassé et parfois éparpillé au sol. Dans chacun des reflet en arrière fond, il n'y a pas le reflet de la sale noir, mais en boucle les évènements de leur rencontre, de leur vie passé ensemble.
Il y a quelque chose qui guète dans cette pièce, une sorte de gardien, mais Rödschrek ne peut que sentir sa présence pour le moment. Ce gardien semble être partout, il fissure les vitres des miroirs, les rayes, les écrases. Mais parfois ce gardien recolle aussi les morceaux, mais les actions positives sont en moins grand nombre en se moment, que les actions négatives. L'esprit d'Arfel semble devenir une vrai ruine.
Ce gardien est aussi particulièrement présent derrière l'elfe noir, mais se cache toujours de lui, l'observant sans l'attaquer réellement, mais fessant en sorte qu'il ne se sente pas bien en ses lieux.*