Désespoir, incompréhension et désillusions [fini]

*Arfel le sert dans ses bras, et rit un peu a sa dernière phrase. Puis de sombres nuages reviennent. La chimère est remise dans son lit par Elevân, puis la chaise écarté de la porte, l'un des infirmier revient. Voyant qu'il embraque son beau fils, il referme la porte derrière en disant a Arfel et la chimère un rapide "je reviens". Il demande inquiet au personnel.*

Dites moi ce que vous pensez qu'il a ?

*L'infirmier hocha négativement de la tête, puis chercha ses mots.*

Ceci est visiblement un contre coup de sort dû certainement à un transfert de corps, pur et simple. Je n'avais jamais vu cette technique de nécromancie noire appliquée avant. Je m'étais dit que mon esprit s'égarait car cela était tout bonnement impossible mais il semblerait que ce jeune drow ait... ait fait de lui une chimère. Une chimère crée à partir d'un corps vivant... je ne sais pas ce qui a bien pu lui passer par la tête, sauf votre respect seul un fou ou un homme désespéré a pu commettre un tel acte. Comme une sorte de semi-sacrifice peut être?

Dans l'absolu un corps vivant peut résister dans cet état quelques jours, à vivre comme un mort animé par magie. Mais... il semblerait que tout du transfert ne se soit pas vraiment passé comme prévu. Nous aimerions confirmation, mais il montre des signes d'épuisement plus anormal encore que cela devrait reproduire. Aucune régénération d'énergie depuis qu'il est arrivé, réaction violente face à toute forme de magie de soin, fréquence cardiaque faible, faible oxygénation du corps... et pourtant son taux d'adrénaline est très élevé.

Nous allons essayer d'en déterminer la cause. Nous avons une hypothèse, et prévoyons une intervention chirurgicale si cela peut le sauver. Nous allons appeler également des scientifiques de l'hôpital d'Imvar. Des nécromanciens blancs pourront peut être nous éclairer sur ce qui a pu le mettre dans cet état. Voulez vous des bilans complets de ses analyses, ou préférez vous simplement que quelqu'un vienne vous tenir au courant régulièrement?.

*Elevân fait de gros yeux... il ne faut pas qu'Arfel le sache pour le moment, ou il craint une autre crise de panique de sa par. Les choses ont l'air de très mal s'annoncer. Il répond alors.*

Et bien... venez vous même m'informer dés que vous avez du nouveau... cogner deux foi rapidement a la porte, je saurais que c'est vous. Je... je ne veux pas que ma fille s'inquiète de trop. Elle vient de se réveiller, et je ne veux pas lui causer de trop grandes émotions.

*Il se passe ensuite une main sur le front : non les soucis ne sont pas terminées. Il fini par un.*

Faite ce qu'il y a de mieux pour lui... c'est vitale ! Je vous remercie beaucoup...

*Il rentre ensuite et arbore un léger sourire pour rassurer sa fille. Elle fronce ses sourcils : ce n'est pas pour rien qu'il l'ont embarqué ! Le maitre flamme l'embrasse sur le front et lui conseil de dormir encore un peu, puis rejoint la chimère pour discuter mentalement un peu avec lui, le temps qu'Arfel rejoint le monde des rêves.*

#Que penses tu Maïtaga... tu crois qu'il y a un moyen de le sauver ? Il est devenu en grande partie chimère, et sont corps ne tient plus.#

HRP : hop, je m'incruste...


* Après le coup de téléphone de Fura, Sorwin mit un moment à réagir. Beaucoup de choses tourbillonnaient dans sa tête, et dans son coeur. Il passa les mains dans ses cheveux et resta assis devant son bureau un long moment avec la tête dans ses mains, avant de se lever d'un bond, de fixer son épée à sa ceinture, d'attraper un manteau, et de partir précipitamment de sa maison, comme s'il avait éprouvé un besoin pressant de partir.
Il courut à toute allure jusqu'au téléporteur, puis jusqu'à l'hôpital elfien, et ne s'arrêta qu'une fois à l'intérieur.
Parce qu'il savait bien que s'il s'arrêtait en cours de route, s'il prenait ne serait-ce qu'une minute pour réfléchir, il ferait demi-tour.

Une fois dans l'hôpital, il ne prit pas la peine de s'adresser à l'accueil, préférant chercher lui-même les personnes qu'il se devait se trouver, redoutant ce qu'il allait voir... *

*La chimère se recoucha répondant un simple :*

#Je sais pas... je sais même pas ce qu'il a...#

*Il ferme les yeux comme pour dormir de nouveau, le temps passe longuement, trop longuement. Les heures commencent à défiler, rien.

A côté de Sorwin, un homme elfe noir en blouse blanche passe en trombe, frappant deux fois à une porte au fond du couloir...*

*C'est bien entendu Elevân qui ouvre et sort du couloir pour avoir des nouvelles. Il semble véritablement inquiet.*

Alors... quelles sont les nouvelles ?

*Le médecin hésita un peu en voyant l'intrus mais au vu de leur regard les deux elfes semblaient se connaître aussi continua t'il :*

Eh bien certains de ses organes semblent s'être arrêtés c'est pour cela que nous le gardons en salle de réanimation. S'il... s'il tient la nuit, cela permettrait que nous puissions annuler l'opération de nécromancie dont il est victime. Disons qu'il sera au moins hors de danger.

Mais pour le moment rien n'est sur. Il est vraiment à bout. Étant vous même assistant vous pouvez aller le voir en suivant bien sur les conseils de sécurité. et d"hygiène mis en vigueur, mais comme vous le savez les particuliers ne sont pas admis là bas. Si vous voulez bien m'excuser, je dois y retourner, et...
Je suis désolé.

*Elevân fait un signe de la tête qui se résumerait a un bonjour amical. Il sent que l'elfe noir est pas vraiment heureux de le revoir, mais il n'en a cure : ce qu'il veut pour le moment, c'est le résultat des analyses sur son beau fils.

Et... comme il le présentait, elles ne sont pas bonne du tout. Sont visage se décompose encore plus en entendant l'infirmier. Il savait bien qu'a jouer avec ses sciences noirs, il allait encore le payer bien trop cher, même si c'est pour une "bonne action". Il répond dans le flou, a son interlocuteur.*

B... bien merci... de votre travail... surtout ne lésiner pas sur les soins apporté !!! Peut importe le prix, nous aurons moyen de payer. Il faut absolument qu'il passe la nuit...

*Puis il souffle, désespéré. *

Je viendrais moi même lui donner quelques soin que j'ai rapporté de ma tribu, pour garder quelqu'un en stase. Je... j'aimerais aussi que ma fille puisse le voir, je suis persuadé que sa présence l'aidera... et aussi sa chimère pour qui il a... donné sa vie...

*Puis il se tourne pensivement vers Sorwin.*

Tu... as reçu le message a ce que je vois. J'espère que tu te porte bien toi au moins.

* Sorwin écouta attentivement les paroles des deux soigneurs, et sentit son cœur se vider petit à petit.
Rödschrek était donc dans un état critique... "s'il passait la nuit" ?
L'elfe noir n'arrivait plus à penser correctement, ni à savoir quels sentiments éprouver. Il ressentit tout de même un infime soulagement quand Elevân demanda si sa fille pourrait le voir... Si elle pouvait lui rendre visite, c'est que son état à elle n'était pas trop grave... Mais que s'était-il donc passé ?
Sorwin poussa un profond soupir, se passa la main dans les cheveux et répondit d'une voix éteinte : *

J'allais très bien avant que Fura m'appelle...
Bon...

* Nouveau soupir comme pour se donner du courage, et il fixa Elevân dans les yeux pour demander enfin : *

Que s'est-il passé ?

Non ils ne pourront pas et ce pour plusieurs raisons. La première est que la salle n'est pas faite pour accueillir beaucoup de personnes, si elle est interdite au public c'est car elle peut être utilisée en cas d'urgence, et la moindre bactérie peut être fatale pour les patients qui sont là bas. La seconde est que les états et les machines gardant en vie des personnes dans cet état, qui sont normalement uniquement réservées au réveil post opératoire sont plutôt impressionnante, et mieux vaut ils pour eux qu'ils gardent un souvenir de la dernière fois ou ils l'ont vraiment vu... sous un bon jour plutôt que là bas... dans le cas ou... ou cela tournait mal. De plus une bonne équipe de soigneurs sont à son chevet, les emmener là bas ne ferait que créer une tension qui risquerait de compromettre ses chances actuelles de survie.
Je sais que c'est difficile mais votre propre droit de passage est un manquement aux règles déjà...

*Le médecin parut réellement triste pour "Elevân" et préféra rapidement tourner les talons afin de repartir à ses propres affaires. Il n'était pas dans une section où les sentiments étaient permis.*

*Ainsi il l'on mit dans la pièce fermé a toute personne sauf le personnel expérimenté. La il a de quoi tirer une tronche de déglutie total. Il bégaye un "Bien, je viens dés que possible", puis se pause contre le mur, ce disant que c'est vraiment un abrutie fini, sous la colère (le mur tremble même un peu sous sont point).

Il se retourne vers Sorwin pour lui répondre.*

Hum... et... et bien... dans la tropicale nous avons eux l'asseau du frère de Rödschrek. Nous avons tous eux beaucoup de mal a nous en remettre... mais... a ce que je vois le pire était a prévoir. Arfel a eut un problème la bas... je te passerais les détails, mais elle a perdu la mémoire.

En revenant ici, elle ne l'avait pas recouvert complètement, et Rödschrek s'est persuadé qu'elle ne l'aimait plus. A moiter fou, et sans avoir récupérer sa trop grande fatigue... il a voulu sauver sa chimère qui était resté dans le coma. Mais... apparemment... il n'a pas fait que de la sauver, mais surtout de lui donner une partie de lui même.

*La voix de l'elfe blond tremble, montrant qu'il commence a réellement fatigué de tous ses évènements négatifs.*

S'il... meurt... elle le suivra... et Maïtaga aussi... tout ça a cause d'une mésentente... quel stupidité !

* Dès les premiers mots d'Elevân, Sorwin ferma les yeux pour tenter de contrôler la colère qui montait en lui.
C'était arrivé. Le lasar les avait attaqués, et il n'avait pas été là pour les aider. Il avait failli à sa promesse. Et c'était là la pire chose qui pouvait lui arriver.
A présent, et par sa faute il en était convaincu, les personnes qui comptaient le plus pour lui risquaient de mourir...
Sa respiration se fit de plus en plus forte, de plus en plus rapide au fil du discours sinistre de l'elfe, tout son corps se crispait... Sa haine contre lui-même devenait si incontrôlable qu'il lança soudainement et violemment son poing dans le mur le plus proche, en poussant un cri de rage déchirant.

Lorsqu'il retira sa main du mur, ses phalanges étaient ensanglantées, et de petits morceaux du mur tombèrent à l'endroit de la fissure qu'il avait provoquée. La respiration toujours forte, une expression de haine intense sur le visage, il ne prononça qu'une phrase alors qu'il fixait le mur qu'il avait abimé, une seule phrase chargée d'une colère difficilement contenue :

Où sont-ils ?

* Son attitude et le ton de sa voix laissaient clairement entendre qu'il valait mieux le conduire immédiatement à Rödschrek et Arfel, ou il risquait de disjoncter complètement. *

*Elevân sursauta quand la décharge du poing Sorwinien vient a toucher le mur ou il trouvait appui. Il l'avait sentir bien bouillir intérieurement, mais delà se faire mal... Quand il lui demande ou il sont, il répond de suite.*

Et bien, Rödschrek est a un endroit particulier ou tu ne pourra le voir que de loin... comme l'a expliquer l'infirmier. Mais Arfel et Maïtaga son dans cette chambre. Tu... tu peux rentrer.

*Il le devance en ouvrant la porte et ne parlant plus pour ne pas réveiller les endormis. Arfel a toujours sont tin pale, quelques coupure sur les bras et le visage, mais rien de bien inquiétant. Elle s'est rendormit il y a peut, mais celui-ci est mouvementé. Il va sans dire qu'elle sent fortement le mal de son compagnon et que ça n'arrenge pas les choses.*

* Quand Elevân lui ouvre la porte de la chambre, Sorwin se précipite à l'intérieur, et s'arrête net en voyant les deux endormis. Il jette un regard à l'enfant, en plissant les yeux, puis vient se placer devant le lit d'Arfel.
La souffrance que ressent Rödschrek et qui passe à travers Arfel lui passe dans le cœur comme un gros coup de poing.
Fixant la semi-elfe d'un visage de marbre, il demande à Elevân d'une voix froide : *

Que faut-il faire pour qu'ils aillent mieux ?

*Elevân s'assoit déconfit. Puis lui dit enfin, le regard fixé sur le sol, perdu dans le vague.*

Pas grand chose... malheureusement. Rödschrek a réussi a sortir ma fille de son mutisme après leur dispute, mais... la voila qui souffre encore. Lui... il... sont corps le lâche de partout car il a échangé une partie de lui avec sa chimère. Il est devenu un hybride qui ne peut vivre... il...

*Elevân souffle et s'arrète, se penchant en avant. Au même moment il y a un Tisden qui arrive en trombe avec une tonne de livre en main. Et il les pause sur un lit vaquant en marmonnent des chose dans son coin. Le petit elfe scalde aurait bien trouvé une solution pour Rödschrek, mais il le déteste particulièrement, alors ne dit rien. Il ne sait seulement pas que le sort de son élève Arfel, dépend étroitement de celui de l'elfe noir.
Il s'installe non loin de la jeune femme et potasse un livre sur les cristaux et leur pouvoirs sur le corps.*

* Sorwin laisse échapper un nouveau soupir de colère, mais son visage reste de marbre, et il garde les yeux fixés sur Arfel. *

Mauvaise réponse Elevân.
Est-ce que vous savez ce qui se passera si mon roi meure ?

* Il observe l'elfe qui vient de débouler dans la chambre et qui s'installe avec des bouquins sans dire mot. Son visage lui semble familier, comme s'il l'avait déjà vu quelque part, mais il ne saurait dire où.
Sorwin le fusille du regard, pas tout à fait intentionnellement, puis repose ses yeux sur Arfel, et son esprit sur Elevân. *

Vous êtes un elfe millénaire, vous êtes mage, faites quelque chose.

* Cette phrase tient beaucoup plus d'un ordre que d'une supplication dans son ton. *

*Elevân sait que les choses ne sont pas facile, mais le ton que prend Sorwin commence sérieusement a l'énerver. Il se relève et lui dit d'une traite.*

Je suis peut être un elfe millénaire, mais il y a des choses en se monde qui est plus fort que notre volonté même. On a beau vouloir une certaines de ses choses, elle nous sont inaccessibles.
Si ton roi meurt, Arfel meurt aussi c'est certain, ou deviendra tellement folle qu'on se demandera si un jour elle a été saine d'esprit. C'est son lien avec lui, qu'elle partage pour le meilleur comme pour le pire. A présent je vais te laisser avec elle et Maïtaga... j'ai des choses urgentes a propos de notre elfe noir, qu'il faut que je fasse.

A plus tard !

*Su ceux, il claque la porte a bout de nerf pour maintenir en vie l'ancien roi avec la technique des pierres bleu de feu. Tisden regarde par dessus sont livre la scène, puis reprend sa lecture en disent.*

A... tu es Sorwin... Arfel m'a beaucoup parlé de toi.

* Sur le coup, Sorwin ne prête aucune attention à Tisden. Il fixe toujours Arfel, mais sans vraiment la fixer, et avec une expression crispée et bizarre sur le visage, comme s'il essayait de retenir quelque chose.
Il ne cherche pas à suivre Elevân, cela ne ferait que l'énerver d'avantage. Il attend qu'il soit parti, pour dire entre ses dents : *

Saloperie de lien à la con...

* Puis il secoue la tête, et relève enfin le visage, pour regarder l'elfe blanc et lui répondre un simple "ah bon" désintéressé. *

*L'elfe scientifique remonte ses lunettes a la vue de l'énervement de Sorwin, concernant le lien qu'Arfel avait avec cet autre elfe noir de malheur. Alors comme ça lui aussi semblait trouver cette histoire de lien "énervante". Il secoue positivement la tête, puis rajoute.*

Oui... comme quoi vous avez beaucoup en commun, même si elle n'est pas trop rentré dans les détails... ça semblait beaucoup l'attrister.

*C'est a peu prés a ce moment qu'il se souvient de la discussion qu'avait eux cet elfe noir avec Asriel, Tisden l'ayant écouté d'une oreille attentive. Il était jaloux de sont ancien roi. Et vue sont agressivité, il valait mieux ne pas l'énerver s'il n'avait pas envi de se retrouver sur le lit a coté de l'elfette. Alors il reprend sa lecture de façon plus hardie.

Arfel se met a gémir et se tordre de douleur, les mains sur le ventre, et a suer a grosses gouttes. Il relève alors sont nez et dis hâtivement.*

Eh dis donc qu'est ce qu'elle nous fait ?!

*Il appui sur un bouton pour appeler une infirmière. De l'autre coté, il y a un elfe bleu qui lui aussi fait un sacré malaise.*

* Les paroles de l'elfe lui rappellent sa première rencontre sur Ekoï avec Arfel sur la plage, et ces souvenirs le font sourire amèrement un instant. Tout était si simple à cette époque... Comme il aurait voulu pouvoir y retourner !
Mais la soudaine crise d'Arfel, et de Maïtaga, le font revenir soudainement à la réalité. En bon empathe, Sorwin n'était déjà pas du tout à l'aise à cause de cette souffrance qui passait via la semi-elfe, mais cette douleur soudaine lui fait plus mal que jamais. L'elfe noir se tord en deux, ferme les yeux et serre les mains si fort sur les barreaux du lit que les jointures de sa main déjà bien amochée se remet à saigner. Des gouttes de sueur perlent également sur son front, tandis qu'il parvient à murmurer, au bord du malaise aussi : *

Arfel... Que t'a-t-il fait ?

*Tisden se sent d'un seul coup incapable de faire quoi que ce soit. Tout bouge et gesticule autour de lui, lui de nature assez calme voir lente, tout le dépasse. Il n'est vraiment pas fait pour réagir dans la précipitation. Il aide tout de même quand l'infirmier s'occupe de mettre Sorwin sur un lit.

De son coté Arfel tente de bredouiller qu'elle doit le voir, être a coté de lui, mais elle n'arrive pas a préciser qui, ses douleurs étant trop vives. Un bon médicament assommoir réussi presque a la calmer. A présent elle pleure, couché sur le coté en agrippent fermement le bord du lit, un profond malêtre lisible. Elle tente comme l'enfant de se lever un moment, mais les drogues donnés et un infirmier on calmé cette envie.

L'elfe scientifique est tout chamboulé aussi en voyant que tout peu basculer pour tous. Il repense alors a sont frère, celui qui avait trait pour trait le même visage que lui... le voir se noyer fut sa plus dure épreuve. Et voir le malêtre de Sorwin lui réveille ce souvenir. Il demande a l'un des infirmier.*

Vous... vous pouvez me ramener des nouvelles de... Rödschrek Nakaam, sous la surveillance d'Elevân Aldian... je... voudrais vérifier quelque chose... # a propo de ce fameux lien#

* Quand l'infirmière et Tisden tentent de prendre Sorwin pour l'emmener vers le lit d'à côté, il les repousse d'un geste de la main. *

Non ! Non, vous occupez pas de moi... Occupez vous d'elle !

* Les mains crispées sur les barreaux du lit d'Arfel, il s'efforce de ne pas lui tomber dessus, mais il est penché si près d'elle que son visage touche presque sa poitrine.
Quand il entend la supplication de Maïtaga, Sorwin traduit pour les infirmiers sur un ton exaspéré : *

Il arrive quelque chose à Rödschrek, la chambre d'à côté, bougez vous !

* Puis il se redresse et dans un élan se rue vers la porte de la chambre, pour tenter d'aller dans celle de son roi. *