Le maître flammes et le prisonnier. [Fini]

*Il ne faut pas 2h a Elevân pour réagir. Aussitôt que le lasard touche son front, toute la lumière qui s'évadait des flammes, le feu lui même, les oiseaux et les flammèche bleu, sont littéralement englouties par le corps du maitre en a peine un clignement d'œil. Pendant quelques secondes qui parurent une éternité, l'obscurité autour d'eux était aussi grande que l'endroit le plus reculé dans l'espace, loin des étoiles... froid et vide.

Puis comme si le spectacle ne fessait que commencer, S'échappe de l'elfe blond, une énorme masse d'énergie vive, qui ballai tout ce qui a au environs, laissant derrière elle un sillon sphérique de poussière blanche. A présent, il n'y avait plus le petit maitre flamme avec ses murs blanc : de lui jaillissait un feu nacré de toutes les couleurs existantes... dansant comme des fumées cycloniques. Au delà du spectacle impressionnent, il avait les yeux fixe toujours sur la même personne, et lui répond d'une voix crépitante et profonde.*

Que jamais le mensonge ne frôle mes lèvres !!! Je t'ai dis ce qu'il en est... plus la peine de te cacher !

*Voyant le contrôle d'Elevân sur lui même ainsi que les barrières psychiques qu'il crée pour se protéger, il s'éloigne, profitant du changement de cible de se dernier pour se fondre dans la pénombre puis disparaître. Les morts tombent à même le sol, mais bourreaux et roi woold reste.

La boule de feu se dirige droit vers ce dernier, avant de simplement disparaître comme si elle n'avait jamais existé. Psychiquement le seigneur déchu répond alors :*

Ne tente pas de me détruire, avec des choses possiblement inexistantes.

*La voix du woold résonne droit dans la tête de l'elfe, brisant toutes ses barrières, comme si elles non plus n'avaient jamais existé. Ne reste alors que sa volonté pour faire face. La machine tend le bras, trace des cigles dans le vide, puis fait disparaître deux bourreaux, avant de s'arrêter immobile, statique comme une statue.*

*Il voulait avant tout savoir ce qu'était cet être étrange et sombre sur le coté, et bien maintenant il sait qui c'est ! Il va retenir la leçon... sont gros problème ici, est qu'il n'a pas tout ses pouvoirs, et qu'il n'a jamais fait face a des machines. Il ne bouge plus... car la, il est plutôt mal vue la magie étrangère qu'utilise le roi mécanique. Il lui demande alors.*

#Que pourrais-je vraiment contre toi, si même le feu ne t'atteins pas. Je voulais savoir si tu étais de son camp, et tu semble l'être. Mais qu'est ce qu'une machine peu bien faire des vivants... vous autres n'êtes pas physiquement fragile comme nous. #

*Il se redresse, essayant de trouver une sortie face au bourbier qui s'annonce.*

*Les bourreaux forment un cercle autour des deux participants. Ils tournent sans cesse, prêt à frapper dès que le moindre signal leur sera fait.*

#Je fus la balance, le juge woold, connu pour son âge et sa sagesse. J'ai appris à mon peuple à faire preuve d'humilité. Mais quelque chose m'a changé, profondément, en moi, dans mon âme. Quelque chose d'aussi puissant que moi, peut être une double personnalité qui sait? Je me suis désactivé le temps que l'on trouve la source du mal. Je me suis volontairement plongé dans un état similaire au coma pour les organique, mais cette chose a trouvé comment contrôler mon corps de métal, et mon esprit peine à rester en surface. Voilà tout ce que je peux te dire.#

*Le woold ne bougea pas d'un pouce, continuant simplement par :*

Mais ce que tous ont oublié est ma capacité à changer ce qui est possible. Je suis l'enfant du maître... Et mes connaissances sont enviées.

*Elevân est vraiment étonné de ce qu'est Mac en vérité. Il n'avait connu de lui, que des photos dans des articles de journaux. Et la il dit qu'il se fait manipuler alors qu'il est un maitre du psychisme, détruisent d'une simple pensée tout ce qu'il veut. L'hypothèse de la schizophrénie lui parait la chose la plus probable, lui même avait été touché par celle-ci.

Il se demande a présent ou est son vrai ennemi, puisque le roi Mac semble ici juste pour assister. Le fourbe se cache ! Il reste attentif au moindre mouvement de chaque chose autour d'eux. Il se met a taper la causette avec le woolds.*

#Enviées par qui ?#

#Le lasar... et d'autres créatures sombres qui ont pris possession de mon corps de métal...#

*Cinq bourreaux tournant autour du duo sautèrent sur Elevân, sans avant, avoir esquissé le moindre signe de brutalité.*

[passage rapide, action rapide :p]

*Elevân respire a grand souffle, comme s'il parcourait le cent mettre... ses forces diminues, il le sait bien, mais il doit ce défendre il n'a pas le choix. Rien que de maintenir le brasier lui consomme presque la moiter de son énergie. Lorsque qu'on l'attaque encore, il se défend, mais il garde un œil inquiet sur le roi mécanique. Il se met a s'énerver un peu.*

Maïtaga ! pourquoi te caches tu ?... tu veux ma mort a présent ? tu convoites mes pouvoirs ? SACHE que tu ne pourra pas les utiliser !!! il ne sont pas noir comme ton âme !

*Une seule réponse lui vient en parole mentale. Il reconnait la parole du lasar.*

#Les vivants doivent périr. Tu n'es pas parti lorsque tu en avais l'occasion, paye.#

*Deux bourreaux verts supplémentaires périrent, par le tapis de flammes, tandis que celui qui s'était fondu à l'intérieur, ressort pour attraper Elevân par le buste, et le faire basculer en arrière. Un dernier lui sauta dessus au moment moment, lui lacérant le bras droit.

*Elevân se retient de hurler, mais la douleur est tel qu'elle le fait vaciller quelques secondes. Il se défend comme il peut pour les attaques suivantes, des flammes jaillissant directement de lui comme une tempête solaire. Il chercher comment atteindre ce traitre, mais il est seul dans l'obscurité et il lui faut absolument la ressource bénéfique des rayons de soleil pour être a son maximum. Il rajoute.*

Que gagnera tu a me tuer hein ? je serais juste un de plus sur ta liste ! Et après tu veux qu'il te soit fait justice ! tu pèse mal les proportion de tes crimes ! tu es le déséquilibre ! ton poids dans la semi mort t'a a fait basculer ta balance du mauvais coté ! comment veux tu obtenir satisfaction ? Car même ton frère mort ou revenu a toi... jamais non jamais tu ne sera satisfait de ta soif de sang !!!

#Les vivants sont tous des monstres... je veux sauver le monde de cette infection.#

*Les bourreaux en avant furent très vite détruit mais l'animal à l'arrière tînt bon et mordit l'elfe à l'épaule.
Le roi se rapprocha, toujours bras croisés, quelque chose semblait clocher avec lui. Peut être réfléchissait-il. Il rugit, les bourreaux tournant autour du cercle se regroupèrent près de lui.*

*Elevân semble a bout de force, le loup agrippent sont épaule, le vident de son sang. A vrai dire, ses jambes ne le tiennent plus, et ce n'est que par cet espèce de sale créature qu'il semble rester debout. Il a la tête baissé, de grosses goutes de sueur perlant sur son visage. Mais il sourit, étrangement en lui disant.*

Hehe... une infection... ne croit tu pas que c'est l'image que tu leur donne qui génère leur pire vices ? tu n'es pas un reflet, tu es une éponge, comme tout être vivant... absorbant tout autant que les autres la peur, la tristesse et le vide. Une infection a besoin d'hôtes pour vivre... tout comme la peur... les vivants ne sont pas des montres ni eux même cette infection... ce sont juste des personnes aveugles qui marche dans la nuit.

*Puis il souffle, les paroles dites avec le peu de force qu'il lui restait.*

Mais ça ne sert a rien... en plus d'être aveugle... tu es sourd aussi...

#Tu ne comprends rien. Il semble que toi aussi tu sois sourd et aveugle.#

*Le bourreau referma sa mâchoire plus profondément, tira pour lui arracher un lambeau de chair mais n'eut pas le temps de terminer, et disparu subitement sous le coup d'une attaque invisible de la machine qui s'était rapprochée.*

Mais si la destinée existe c'est pour corriger les erreurs. Ce qui devra être sera, Maïtaga. Ni toi ni cet elfe, ni moi même ne pouvons proclamer savoir.

*Le woold traça de nouvelles runes.*

Ce qu'il te manque est la volonté. TU l'as perdue avec ton frère. Aimes le et peut être pourras t'on te sauver.

*Les symbôles entourèrent bientôt Elevân.*

Et vous, elfe, profitez du peu de volonté qu'il me reste encore.

*Tout ne fut que néant. Lorsqu'il se réveilla, des médecins Ekoïs pensaient ses blessures, à l'extérieur de l'aubergôbar.*

sujet terminé? je locke, pensez à le noter dans le titre, merci