par Rodschrek Nakaam Mar 7 Juin - 2:26
*Le drow se tait un moment, observant un moment Arfel comme s'il lui demandait de l'aide. Il ne sait pas ce qui le pousse à toujours répondre si justement à Elevân, ce qui le conduit toujours à des catastrophes. Mais aujourd'hui encore il s'entend lui répondre, tout bas pour ne pas être entendu de l'extérieur.*
Le roi... il a appris que j'avais crée un ... un lazard. Un créateur de lazard, c'est un potentiel lazard aussi, c'est inévitable, et pour cela la punition du créateur est le Néant. Un démentellement complet de... de l'âme, de l'esprit et du corps pour que le lazard ne renaisse pas dans la mort.
*Un long silence s'en suivit, Rödschrek prenait beaucoup sur lui.*
J'ai rencontré Svenhyr son fils avant d'aller délivrer Arfel. Quand on est sorti, il m'a proposé de m'héberger un moment avec elle, vu que mon ancienne maison était surveillée par le Nexus. J'y suis allé, car... bah... c'était aussi un moyen pour moi de voir... comment c'était.
*Il se mordit la lèvre.*
On a reçu tous les deux une lettre de la Citadelle car on a trahi un interdit en allant en dessous pour la sauver. Comme je n'en étais pas à ma première connerie, j'ai perdu mon travail. Les Zohokans sont chargés de me surveiller. Asriel a aussi fait en sorte que la rumeur sur le lazard ne s'ébruite pas. Je sais que le patriarche sait que le Néant est une épée de Damoclès au dessus de ma tête mais... il ne sait pas pourquoi, et il ne faut surtout pas qu'il le sache!
En attendant il m'apprend beaucoup, et il a réussi à... à me faire comprendre des choses que vous vouliez m'apprendre mais que je ne comprenais pas.
*Il soupira ensuite, les autres nouvelles étaient tout aussi difficiles à annoncer.*
Et si Isméas nous cherche c'est car... Arfel a... on a ...
bah...
gmmmnnn...
*Le drow voulait parler de l'enfant mais son courage sembla disparaître d'un coup. Il commençait à en être fier, mais il avait tellement peur du père indigne qu'il serait et tellement peur de la réaction de l'elfe qu'il considérait comme un père, qu'il ne pu aller plus loin.*