Je dois les prévenir !

*Cette apparence adulte trouble toujours Arfel. Mais c'est la question de Fura qui la ramène sur terre. Hésitante elle dis.*

Dans un hôpital... ou il pourront bien s'occuper de lui.

*Elevân hausse un sourcil puis regarde Fura : il ne dit rien pour le moment. On ne peut pas vraiment savoir s'il est d'accord ou non, ou s'il ne dit rien pour ne pas influencer sa fille, affin qu'elle prenne elle même une décision pour celui qu'elle a choisit. Arfel renchérit face au silence qui l'entour, comme si personne ne comprenait ce qu'elle disait.*

L'ambulance n'a pas pu se déplacer... mais même avec les soin que nous avons pu lui apporter, il lui faut un lieu ou il pourra se reposer entre de bonnes mains.

*Réalisant que c'est déjà ou il est, elle fait une pause avec une mimique montrant qu'elle réfléchie, puis elle se tourne un peu perdu vers Maïtaga, osant a peine lui demander son avis.*

Qui était cet homme qui nous a attaqué... sera t'il mieux la bas ?...

*Le doute la reprend a cause de ses peurs, qu'elle avait réussi a mettre de coté un instant.*

*Maïtaga hausse les épaules il n'en sait rien.*

Je sais juste qu'il était elfe noir normal. SI mon roi s'est fait avoir c'est car il a utilisé une technologie qu'on ne connaissait pas. Heureusement d'ailleurs que tu étais partie Arfel, car il s'est fait surprendre, donc son bouclier intangible s'est rompu. ça veut dire que tu aurais autant été touchée que lui si tu étais restée.

Mais si on se fait attaquer par les bourreaux mon roi ne sera pas en mesure de s'en protéger. Pire, maintenant qu'il se rappelle de ces créatures, il risque de... de...

*La chimère s'arrêta.*

#En invoquer d'autres par inadvertance...#

*La solution parait simple alors pour Arfel, car elle préfère encore subir mille et une foudre que de le conduire a un endroit ou des créatures malfaisantes pourrait le découvrir : Il faut fuir, se cacher des bourreaux, du frère, et de ceux qui ont tenté de le détruire par la bombe, car si l'ennemie sait qu'il est blessé, il sait forcement ou le trouver. Mais le problème est qu'elle ne connait pas bien cette planète encore, il lui faut un endroit sur et secret.
Elle se tourne donc vers Fura, hésitante et presque a voix basse.*

Fura... connaitrais tu un endroit que personne ne connait ? il... il nous faut une cachette pendant que les choses se calmes... je ne vois que ça.

*Elle se mort la lèvre inférieur, espérant prendre la bonne décision pour lui.*

J'ai bien une petite idée oui. Je connais deux peuples susceptibles de vous protéger si on demande gentiment... En fait je pense surtout à un, plus proche de votre aspect physique, mais je ne sais pas si le climat là bas conviendra à un elfe noir habitué à des terres enneigées... Je ne sais pas non plus si ça conviendra à ses blessures, il risque de très mal supporter la zone. Cela dit, je crois me rappeler que Röd est un elfe noir habitué à des zones pleines d'arbres.

Quand à vous deux, les elfes. Vos pouvoirs seront à leur plein potentiel, vu que nous serons proches de la zone la plus emprunte de magie élémentaire de tout Ekoï... Je parle de la tropicale des dragons. Ce peuple composé de membres en général plutôt solitaires utilise cette tropicale pour ne pas se faire pister. A vrai dire seuls les dragons habitués depuis longtemps à vivre ou à se débrouiller là bas peuvent s'y repérer sans risque de se perdre.

Et je suis l'un de ces dragons. Mais il me faudra l'accord d'autres membres d'autres lignées. Les anciens savent que ma voix n'est pas d'or. Je ne suis pas "pure souche"...

*Arfel serait plutôt pour, quoi que si c'est une forêt trop humide, ce ne sera pas bon pour les brulures de Rödschrek. Elle envoi un regard a Maïtaga, puis a Elevân, comme pour trouver une réponse positive du petit groupe. Et puis vue la force qu'on les dragons, s'ils sont avec eux, il n'y aura pas meilleur défenseur. Après elle sait que la chimère fait moyennement confiance en la dragonne, alors elle attend sa réaction. De façon pausé, elle répond a Fura.*

Je pense oui... je l'ai vue de loin cette grande forêt. En plus d'être dans un élément plus familier, il nous sera possible de nous cacher facilement. Merci Fura.

*Mais l'avis des deux autre hommes l'intéressé vivement, alors comme ils se taisent, elle leur pause la question directement.*

Qu'en pensez vous tous les deux ? Maïti.... comment il supporterais ça ?

*Maïtaga sembla réfléchir un moment.*

Je connais mon roi mais pas la tropicale, je sais pas. on a vécu dans des villes en ruines et des forêts, je pense que ce sera pas pire.

*Pour lui tropicale n'apportait pas de notion de chaleur, aussi il prenait peut être le sujet trop à la légère*

*Arfel se gratte derrière la nuque. Elle non plus ne connait pas l'insupportable chaleur humide qu'il peut y avoir dans ce genre de forêt. Son père lui hausse toujours un sourcil : il connait ce genre d'endroit, et sait que même si c'est sans doute la plus sage décision pour eux, ça sera aussi la plus désagréable s'il ne se trouvent pas un point d'eau ou une grotte fraiche. Il souffle puis se rapproche de sa fille en mettant une main sur son épaule, en disant.*

Je viens avec vous alors. Ça ne sera pas une partie de plaisir pour lui, ni pour toi Arfel. Il faudra garder Rödschrek au maximum au sec ou loin d'une trop grande chaleur... sinon tu peux être sur que ses chairs mortes vont se mettre a pourrir, et c'est une bonne infection qui va l'achever.

*Il est direct, sans doute un peu trop... et continue.*

Mais si la magie la-bas est en concentration pure et naturellement plus élevé... je pourrais peut être faire des miracles pour son dos.

*Arfel dit oui de la tête, et se met a préparer leur départ, prennent nourriture, vêtements, draps, plantes médicinales et autres. Elle pense aussi a Sorwin : elle n'aura pas le temps de le prévenir, alors elle lui laisse quelque chose... des graines dans une assiette en terre, programmé par ses soins, pour mener l'elfe noir a eux comme elle le lui avait appris. Elle les laissent bien visibles sur la table pour qu'il comprennent a coté d'une feuille bleu et une autre verte.*

Laissons les animaux ici. J'essaierai de téléphoner à un ami en chemin pr qu'il vienne s'en occuper.

*La dragonne s'avança pr prendre rod et l'installer maiss'arrêta.*

Arfel couvre lui le bas du corps et prépare ses fringues pr le voyage, moi je vais chercher Lilith.
Le môme toi reprend ton apparence habituelle et ne te transforme plus. Vos pouvoirs à vous deux vont soit trop augmenter pr être contrôlables, soit trop diminuer. Je préfère que tu gardes te pouvoirs pr me calmer si besoin. Tu te serviras des souvenirs de ton roi pr ça.

*C'est Elevân, non loin qui lui répond, lui aussi les yeux fermé.*

Nashinka ? Alors comme ça cette jeune femme est venu vous voir. Elle a l'air de tenir a toi d'une quelconque façon, a moins que je ne me trompe.

*Elevân sent de suite que le regard étrange vers Arfel est en lien direct avec ce que Nashinka était venu faire ici. Sans doute y mettrais t'y son grain de sel pour en savoir d'avantage sur le sujet. Arfel est trop occupé pour vraiment faire attention a ce qui se passe, même si elle ressent quelque chose qui lui fait peur un moment... sans trop savoir quoi. Elle fini bien vite les bagages et se rapproche de la crêpe retourné.*

Tu... tu... t'es retourné !!! Tu ne sais pas rester un moment sur place toi hein ? il faut toujours que tu bouge !

*Ce n'est pas vraiment une réprimande, elle a juste encore peur panique pour sa santé (pour changer). Elle s'arrête un moment, le fixe comme hésitante, regarde vite fait son père pour voir s'ils les regardes, et elle s'assoit enfin a coté de lui, disant tout bas en se penchant un peu.*

Quelque chose... ne va pas ?...

*L'elfe noir s'est remis sur le côté, les yeux toujours fermés, on pourrait croire qu'il dort, mais il parle tout bas, préférant changer de sujet en entendant que personne ne répond à sa question.*

Je suis juste brûlé et j'ai failli perdre le contrôle de la lance... simple échec personnel, je pensais être plus fort.

*Mais ses pensées défilent, vagabondent, faisant souvent apparaître les bourreaux, et le visage de Jetamio, qui lui manque beaucoup à cet instant précis.*

Et je suis fatigué je n'ai plus l'esprit logique...

*La jeune femme li en lui d'une façon plus fine qu'au début de leur lien. La panique pourrait la prendre d'asseau, mais elle sent qu'elle doit le soutenir plutôt que de perdre main. Ses images lui fond du mal pourtant, comme si la pourriture insinué dans son passé recommençais a se répandre en lui.
Arfel se rapproche encore et le prend dans ses bras de façon a ne pas lui donner plus de mal, disant tout bas les yeux fermé.*

A mes yeux tu es le plus fort. Il t'a dupé... tu ne connaissais pas ses armes... Calme-toi... repose-toi... je veille sur toi.

*Se changement de sujet l'inquiète quand même : il semble se refermer. Même si il y a toujours ce lien qui les unis, elle ne peut pas complètement tout voir. Elle se sent comme enchainé, au moindre de ses possibilités, impuissante, diminué. Mais ses choses il ne les contrôle pas forcement... a cause de ce qui ressemble de plus en plus a une maladie mental. Elle se recule pour le laisser dormir tranquillement.*

* La dragonne, couchée dans la neige, dormait profondément, d'un sommeil sans rêve, réparateur.
Une sensation étrange la tira de son sommeil, et en émergeant elle sentit que quelqu'un lui tapotait le museau. Associant ce geste à de bien mauvais souvenirs, elle se releva d'un bond, et ouvrit les yeux sur le qui vive pour se rendre compte qu'il ne s'agissait que de Fura. *

Ah, c'est toi...

* Elle bailla, puis se secoua les ailes avant de dire d'une voix encore à moitié endormie : *

Ne me refais plus jamais ça, j'aurais pu te carboniser...
Alors, vous vous êtes décidés ?

*La dragonne d'âmes ressenti la gêne de Lilith et grimaça. Mais elle ne bougea pas et répondit : *

Tu aurais eu du mal à me carboniser. On ne tue pas le feu par le feu.
Oui nous... nous nous sommes décidés. A la demande des deux elfes je les accompagne à la tropicale. Ils sont suivis. Le temps que Röd reprenne du poil de la Bête, je vais les planquer là bas, à force de bouger là bas, personne ne pourra nous suivre.

Et toi veux tu venir ou préfère tu repartir à ton studio? Je te demande car je pense qu'il serait bon que quelqu'un assure nos arrières. D'un autre côté une fois arrivés dans la tropicale, nous ne serons pas trop de 2 dragons je pense. Celà dit j'ai peur que ceux qui bossent avec toi ne se lancent à ta recherche et ils ont de gros moyens pour ça.

La Tropicale a beau être impossible à traverser par qui ne connait pas la région il est probable qu'ils aient des dragons à leur service.

* Lilith s'étira pour finir de se réveiller convenablement, puis fixa Fura un moment avec un air légèrement étonné. *

La tropicale ? Et bien en fait, je n'ai pas eu trop l'occasion de m'y rendre, je suis en quelque sorte une... nomade...

# Mais qu'est-ce que je raconte ? Elle est au courant elle, de ce que je suis ! #

Hem, excuse-moi, le baratin habituel que je sors aux dragons d'ici. Je n'ai encore jamais visité le territoire draconique, j'ai été trop occupée en arrivant ici, et je crains toujours que les autres dragons se rendent compte de mon "anormalité".

* Lilith s'était déjà confiée à Fura, elle lui avait déjà expliquée qu'elle était née d'une dragonne et d'un humain, union qui était passible de mort sur Avelis. Mais Lilith ne savait toujours pas qu'en Ekoï la chose était on ne peut plus normale. *

J'aimerais pouvoir vous aider, mais je ne pourrais pas rester longtemps avec vous. En plus, je tourne un nouveau film dans quelques jours...
Oui, je suis devenue actrice, je sais pas si tu le savais... On a pas tellement eu l'occasion de discuter depuis mon passage, j'ai découvert aujourd'hui que tu étais ici...

Dans ce cas retourne à ton film, ce sera mieux.

*Fura lui envoya un sourire chaleureux*

Quand aux dragons d'ici, tu ne risque rien. Tu n'as qu'à dire que tu es une sans clan et sans lignée. Ils n'hésiteront pas à t'aider dans ce cas. Les dragons d'Ekoï sont plus humains que moi même tu sais?

Pour moi en revanche le voyage risque d'être dangereux. Mais je sais me protéger.
Bien. Je retourne à l'intérieur à présent. A bientôt j'espère. Ah!

*Elle fouilla dans sa poche, triant ses effets personnels avec une grimace pour en sortir une petite carte.*

EUh c'est pas très pratique sous forme draconnique... Je te la pose là c'est ma carte. Tu pourras essayer de me joindre. Je ne sais pas trop si ça fonctionne dans la tropicale, mais tu pourras essayer, c'est mieux que rien...

*Elle la coinça sur un petit tronc resté intact à l'abri de l'incendie. une nervure naturelle formait une parfaite encoche dans laquelle pouvait être accrochée la carte sans qu'elle ne s'envole. Ceci fait, Fura fit volte face.*

Euhm, je...

* Lilith aurait voulu lui dire tant de choses. La remercier déjà pour lui avoir fait découvrir ce monde. Lui expliquer comment était sa vie actuelle. Lui demander ce qu'elle faisait à présent qu'elle était sur Ekoï, lui poser des questions qui la turlupinaient sur les dragons d'ici...
Tant de choses... qu'il était difficile de trouver par quoi commencer. Surtout en une situation pareille.
Elle se décida donc finalement, sourit à Fura, et dit simplement : *

Bonne chance.

* Lorsque Fura fut repartie dans la maison, Lilith repassa sous forme humaine pour prendre la carte, l'examiner et la ranger, puis elle partit, se promettant néanmoins d'appeler pour prendre des nouvelles de tout ce petit monde. *

*Tout le temps ou Arfel le sert, l'elfe noir semble se calmer, et même si l'échange reste court, le tout a été bénéfique. En effet il garde en tête le fait qu'elle existe bien. Qu'elle n'est pas elle aussi issue de ses rêves.
Alors qu'elle s'écarte il la prend par la main, comme s'il voulait qu'elle reste.

#Je suis désolé#

*C'est à ce moment là que la dragonne rerentre, prêtee à partir, elle réveille doucement Elevân.*

Commençons à y aller. Si nous ne prenons pas les axes principaux la route risque d'être longue. Nous en aurons sûrement pour plusieurs jours. Je peux vous porter sur mon dos à tour de rôle pour que vous puissiez vous reposer aujourd'hui. '<taga je compterais sur toi dès demain pour les voies aériennes.

*La chimère accepta.*

*La jeune femme lui envoie un doux sourire, tendre et très affectueux, puis alors que Fura réveille son père et qu'il ouvre les yeux, fessant comme si elle est seule avec le blessé, elle l'embrasse.

Elevân ne dit rien mais fait de gros yeux. Il a encore du mal a imaginer sa fifille adoré, grande, avec un compagnon, et un attachement aussi grand pour son ancien ennemi. Il souffle et se lève doucement, se disant intérieurement qu'elle pourrait éviter de faire sa devant lui... "encore une vrai gamine". Il s'éclaircit la voix pour lui faire comprendre d'arrêter et de se préparer a partir, alors qu'il embarque quelques paquets. Arfel prend un peu sont temps, temps qu'elle donne sans mesure a Rödschrek pour essayer de l'aider a aller mieux.

La semi elfe se relève ensuite et tout en ne le quittant pas des yeux comme pour le veiller, elle prend le reste des bagages, disant enfin.*

Je suis prête de mon coté...

*La dragonne sourit doucement en voyant le manège d'Arfel. Ses pouvoirs d'empathe lui permettent de ressentir le lien qui unt les dex elfes et celà ne la laisse pas indifférente. De vieux souvenirs personnels refont surface et c'est un visage nostalgique qu'elle affiche à présent. Quand Elevân se râcle la gorge, elle sursaute.*

Ah... oui, pardon, 'faut... 'faut y aller ah,ah...
Maï... Maïtaga tiens bien c'truc là, là pour transporter votre elfe... fiou

#calme toi, calme...#

*Elle se rapproche de l'elfe noir, passe un moment une main sur son front, puis le soulève, le prenant particulièrement doucement par rapport à son habitude, avant e l'installer et de le caler le lus correctement possible. Il retient un râle, mais la douleur n'est pas aussi vive que la dernière fois. La dragonne quand à elle n'a pas l'air bien elle reste assez muette tout à coup.*

J'vais dehors me transformer. Attendez un peu avant de sortir. Ensuite vous pourrez me charger comme un mulet. Elevân, vous grimperez le premier obligatoirement.

*Elle tourna les talons et sortit précipitamment.*

*Elevân en est tout étonné, et une sorte de gêne s'installe pour lui. Certes il peut savoir ce que sa fille ressent, mais il pense surtout que c'est le début et qu'elle est encore aveugle. Mais les sentiments de Fura qui viennent se superposé de cette façon en lui, le trouble : il se sent presque bête, et n'arrive pas a savoir pourquoi, se genre de situation "émotive" ne fessant pas partie des situations qu'il a vécu. Alors sans plus attendre il rejoint Fura et lui demande.*

Hey... ça... ça va ? Ça te met dans tout tes états a ce que je vois. Je vais parler a ma fille, lui dire de se contrôler devant les autre... ça ne se fait pas.

*Arrêtée au dernier moment elle cria un non! puis gênée elle se reprit.*

Non laisse les, au contraire. Il ne faut pas les bloquer, je crois que ce n'est pas une bonne chose, et c'est très ben ainsi. EN plus c'est le meilleur moyen de bloquer ma bête ça me va!

*Elle lui sourit gentiment, lui fit un petit signe de la main puis sorti prendre apparence reptilienne*

*Elevân baisse les oreilles et rajoute sur un ton plus dure.*

Je ne vois pas en quoi ça les bloquerais... un peu de retenu ne fais de mal a personne. Et je préfèrerais que ça ne génère pas certain problèmes autour de soit. Le bonheur des uns fait bien souvent le malheur des autre... Même si ça bloque ta bête... je doute que ça bloque tes souvenirs, des moments qui te manque surement. Et je suis persuadé que s'il n'apprennent pas les limites du privé et de l'intimité, il feront plus de mal que de bien.

*La dragonne a entendu les dires d'Elevân. Elle ne lui en tient pas rigueur, elle sait qu'il tente de protéger tout le monde et il a bien raison. Pour l'heure elle est dehors. Peut être auront-ils l'occasion de reprendre cette conversation plus tard.

Maïtaga quand à lui tousse, pour marquer sa présence et changer de sujet du mieux qu'il peut.*

Et.. et si on l'emmenait maintenant hein? Je pense qu'ils auront tout le temps d'apprendre tout ça en chemin...