par Elevan Aldian Sam 12 Sep - 3:07
*Elevân reste plus que septique sur ce qu'il dit en fin, t'en de foi il avait vue des gens possédé par des esprits, torturant leur hôtes, qu'il doute que ce travail soit sans danger pour quiconque. Mais de cela il s'en décharge, il ne le dit pas encore, mais il en a marre de jouer la nounou de couple et "régler leur problèmes toutes les semaines"... Il le dira d'abord a sa fille, mais a présent il faut qu'elle réussisse a faire sa vie sans son père derrière elle.
Cela comprend, plus d'excursion au beau milieu de la forêt tropical, et des visites plus occasionnelles... il verra bien comment ils se débrouillent. Pour résumer, il veut s'éloigner et profiter de son temps avec sa petite femme.
Il se rapproche d'Arfel, et lui prend les mains en s'essayant sur sont lit.*
Je me rappelle a quel âge tu as commencer a utiliser tes dons ma fille... et te voir progresser a présent dans le domaine de l'eau, remplie de joie mon cœur. J'espère que tu progressera vite, et si tu veux quelques cours, Jujoss sera certainement très heureuse de t'en donner.
*Il l'embrasse sur le front et Arfel est toute ravie, lui souriant. Puis il rajoute.*
Je veux te souhaiter de vivre heureuse, même si le début a été semé d'embuche, et je voulais te faire par d'un décision : je voudrais prendre du recul et te laisser te débrouiller seule. Bien sur je serais la si tu ne vas pas bien, mais je dois vivre ma vie et arrêter de te surprotéger.
*La mine d'Arfel déglutie totalement, c'est comme si il l'abandonnait lui aussi, "encore un de plus" pense t'elle. Le maitre flamme sait que ce sera dure, mais elle devra s'il faire. La serrant dans ses bras, il fini par.*
J'ai encore du travail, je vais y aller... allez soit courageuse ! Je repasserais quand vous pourrez sortir de cet établissement.
*Puis il par, en disant quelques mots d'encouragement au deux autres elfes présent, puis s'en va. Rödschrek peut parfaitement sentir le vide que créé cette décision, dans le cœur de sa compagne : comme un ravin sans fond, avec rien pour se raccrocher.... Sorwin sont frère était partie, et voila son père. Elle reste un moment sans bouger sur place, puis se recouche sans rien dire, tentent de cacher sa peine pour ne pas déranger celui qui peut le sentir. En boule, le dos tourné a l'elfe noir, elle four sa tête contre l'oreiller : le cordon ombilical est dure a couper... vraiment dure.*