Une impression de "déjà-vu"... [fini]

* En fin de matinée. Sorwin n'avait encore presque pas dormi de la nuit, toujours assailli par ces affreux cauchemars. Il ne commençait son service qu'en début d'après-midi, mais s'était levé plus tôt, en ayant marre de tourner et retourner dans son lit. Il avait donc décidé de visiter plus en détail l'immense complexe de l'aubergeôbar. Il connaissait déjà bien le bar en lui-même, les hôtels d'à côté et le complexe sportif, et ce matin, il passait devant la base de loisirs, avec son célèbre cinéma.
Le cinéma... il en avait bien entendu parler, mais cela ne l'intéressait pas, vu que c'était un art essentiellement visuel. Et payer six PO pour aller entendre des gens parler dans une salle, avec des bruitages faux... pas trop son truc.
En passant donc devant le dit cinéma, il manqua de se faire bousculer par plusieurs personnes. Un film venait de se finir, et les gens sortaient de la salle. Il entendit d'ailleurs des bribes de conversation :

"Oh oui, les acteurs étaient très bien ! Surtout la jeune dragonne, quel talent ! Comment elle s'appelle ? Ah oui, Lilith c'est ça... Mais je trouve que le petit jeune avec elle faisait bien trop minet..."

Sorwin s'arrêta, fronçant les sourcils. *

# Lilith ? Tiens, c'est bizarre, j'ai l'impression de connaître... #

* S'il avait pu voir, il aurait en effet reconnu l'image de la dragonne d'Avelis qui ornait tous les murs du cinéma en ce moment. *

*Arfel avait entendu parler de ce film, et avait déjà vue cette dragonne quelque par, alors pour vérifier ses pensées, elle avait été voir ce film... suivant le conseille de Nashinka, de sortir un peu de son trou et s'ouvrir. Sortant du cinéma toute seule, elle se plante devant l'une de affiches avec un petit sourire : oui elle connait bien cette dragonne, et l'avait vue durant la guerre contre nescromn... elle en est certaine a présent.

Vue le nombre de personne qui sortent, et a cause du faite qu'elle ne "voit" pas comme Sorwin, elle ne remarque pas la présence de son ami. Arfel prend simplement son temps a se remémorer le passer, et ne pas pensez uniquement a Rödschrek.*

*Arfel, de son coté avait aussi beaucoup de problèmes de sommeil, mais elle commence a "s'habituer" étrangement, comme si a force d'avoir vue un film d'horreur, celui ci ne lui fessait plus rien. Est ce meilleur ? ou pire ? l'avenir le lui dira. La foule se dissipe et ils sont les seuls a rester étrangement. Tournant la tête pour repartir, elle remarque enfin Sorwin, et s'approche souriante de lui. Sans rien dire, et vue la mine qu'il se traine, elle se rapproche et l'embrasse sur la joue, puis se lance directement comme si ils s'étaient vue y'a à peine 1h.*

Tu as bien mauvaise mine Sorwin... qu'est ce que tu as ? tes problèmes de sommeil persistant ?

*Son regard est inquiet pour lui.*

* Le cerveau au ralenti, Sorwin ne se rend même pas compte que c'est Arfel qui s'approche de lui, et quand elle l'embrasse sur la joue, il sursaute. *

Arfel !
Je ne m'attendais pas à te voir ici !

* Il est heureux de voir qu'elle sort de chez elle pour aller ailleurs qu'au bar.
Quand elle lui fait remarquer qu'il a mauvaise mine, il se passe la main sur le visage et se frotte les yeux. Bien qu'il ne les utilise pas, ses yeux lui brûlent, lui signalant qu'il aurait besoin de dormir. *

Oui... excuse-moi, je... je ne peux pas dormir...

* N'aimant pas parler de ses problèmes, il préfère changer de sujet. *

Alors, comment ça s'est passé hier avec Nashinka ? J'étais étonné qu'elle réagisse comme ça envers moi, la dernière fois que je l'avais vu... on peut dire que ça s'était plutôt bien passé !

* Un petit sourire se dessine sur ses lèvres, même s'il semble avoir du mal à tenir debout. *

*Arfel sourit en grimassent un peu, il semble qu'il fait partie "des hommes qu'elle a connu". La question brule les lèvres a la jeune femme, mais vue sont état, c'est plutôt l'embêter alors elle se tait sur ce point. Pourtant son petit sourire indique qu'il ont du "s'amuser" ensemble... elle ne lui donnerait pas non plus son avis sur la question.*

Oui... elle... est très bizarre... j'ai eux du mal a la comprendre, mais au moins elle m'a fait bouger. Elle m'a fait comprendre qu'il fallait que je resplendisse de vie pour que... pour... que... Rödschrek... pour... enfin que je sois plus attrayante quoi...

*Dire le mot fatidique devant quelqu'un d'autre que le concerné lui est difficile, même si Sorwin est au courant de la situation. Il semble qu'il évite de parler de ses problèmes tout autant qu'elle, alors posant une main sur son bras, et d'une voix basse elle lui dit.*

Tu sais tu peux m'en parler, je te comprendrais... et même si je ne suis pas d'un grand secourt, je peux peut être trouver une solution avec toi.

* Sorwin hésitait fortement. Devait-il lui dire qu'il avait vu Rödschrek, et la rassurer en lui disant qu'il s'inquiétait pour elle ? Non, ça risquait de lui faire du mal.
Alors il ne s'étendit pas sur le sujet. *

Oui, Nashinka a raison, et même pour toi, ça ne peut que te faire du bien de sortir un peu, de faire des choses...
La solitude, l'extrême solitude, celle qui te donne l'impression que tu ne pourras plus jamais vivre, je sais ce que c'est.
Mais, en fin de compte, le goût de la vie revient, peu à peu.
Et puis, qui sait...

# Peut-être reviendra-t-il, peut-être m'aura-t-il écouté plus que je ne le pense... #

Quant à mes problèmes... si tu connais une solution pour que ces satanés cauchemars qui me rappellent le passé de Rödschrek et mon propre passé disparaissent, je suis tout disposé à l'écouter.

*Ainsi donc il rêvait lui aussi de la vie mouvementé de Rödschrek, et malheureusement les deux seules personne qui l'aidait a ne plus en avoir était son roi et sa chimère. La elle était en effet incapable de l'aider directement.*

Maïtaga m'a aidé pendant un moment... mais comme il n'est plus la... peut être qu'il pourrait te dire comment il bloque les cauchemars !!!

*Elle s'assoit sur un banc en face et le fixe du regard : elle fait semblant d'aller mieux autant que lui semble souffrir de ses nuits tourmentées. La curiosité remonte tout de même... elle ne veut rien savoir sur ce sujet mais c'est plus fort qu'elle.*

Tu... tu la connais comment... eum... Nashinka ?...

* Sorwin lui sourit quand elle ose enfin lui poser la question sur Nashinka. *

Je me demandais quand est-ce que tu allais la poser cette question !

*Il vient s'asseoir à côté d'elle. *

Tu sais, je suis pas vraiment le type parfait.
L'amour, le véritable Amour, j'ai pas connu moi. Je suis allé d'amourettes en amourettes, et Nashinka en a fait partie. C'est tout.

* L'elfe noir lui adresse un petit sourire d'excuse. Il n'est pas du genre à raconter sa vie d'habitude, et Arfel est sans doute celle qui en connaît le plus pourtant. *

A... euum...

*La jeune femme est très gêné, qu'il lui dise de façon aussi directe. Et elle ne sait pas non plus quoi lui dire... elle ne comprend tout simplement pas. Avec un petit sourire plus pour essayer de se détendre.*

Ah et... et bien... on a beaucoup de chose en commun que je comprend... mais ça je... ça me dépasse... hum...

*Elle repli ses genoux devant elle et les entour de ses mains. D'une voix basse et évasive, elle tente tout de même d'en savoir plus.*

Mais... mais c'est quoi alors... le... véritable amour... tu ne les... aimais pas vraiment ?...

*Arfel se sent gourde sur ce sujet, comme un gamin a qui on explique des choses complexes. Il y a une sorte de naïveté dans sa voix, quelque chose d'innocent qui n'a pas tout vue de la vie. La guerre fessait partie de ses choses qu'elle avait découvert depuis peu... ayant auparavant toujours vécu dans son petit endroit idyllique. Puis elle lui fait signe qu'il n'est pas obligé de lui répondre, que c'est bête comme question et qu'elle aurait du se taire.*

Qu'est-ce que c'est le véritable amour ? Vaste question... à laquelle je ne suis pas sûr d'avoir une réponse...

* Ou plutôt il n'osait pas lui dire quelle était la réponse selon lui. *

Tu sais, Arfel, j'ai connu pas mal de filles, j'ai cherché la tendresse auprès de beaucoup d'entre elles, mais je n'avais jamais trouvé ce que je cherchais... il manquait toujours quelque chose...
Je pense que le véritable amour, tu n'apprends ce que c'est... que quand tu le trouves, tout bêtement.

* De nouveau ce petit sourire d'excuse. *

Excuse-moi, je dois pas être très clair, j'ai pas vraiment l'habitude de parler de ces choses-là, les sentiments tout ça...

Non... ne t'inquiète pas... je ne suis moi non plus pas doué... pour ça... je peux comprendre... et ce que tu as dit est clair... je crois...

*Elle avait mi une main rapide sur son épaule, la gêne empattant chacun de ses mots. Puis elle se pose la question, quand a savoir si elle a trouvé celui qui serait le véritable homme, pour qui elle serait prête a tout donner. Étant complètement novice dans ce genre de sentiments, elle ne sait pas trop quoi se répondre. Il faudrait qu'elle demande a d'autre pour savoir quel sont les "symptômes" de cette étrange maladie qu'est l'amour, le vrai. Sans savoir les sentiments de Sorwin a son égard, elle se rapproche un peu de ce grand frère et lui dit.*

J'penses que tu la trouvera... tu es plutôt mignon et tu sais être très gentil... j'espère que... qu'un jour une fille saura te faire sourire franchement et... te donnera son affection, celle que tu cherche.

*Ne voulant pas s'attarder sur un sujet qu'elle ne maitrise manifestement pas du tout vue la boulette qu'elle vient de faire, elle bifurque sur un autre sujet.*

Il était vraiment bien ce film !!! c'était mon second... j'adore ça !!!

* Sorwin en a gros sur le cœur, et Arfel ne l'aide pas vraiment en lui disant tout ça. Mais bien sûr, elle ne peut pas deviner.
Elle essaie de nouveau de changer de sujet, mais... Non. Pas de bifurcation cette fois. Il a des choses à lui dire, et il va lui dire.
L'elfe noir soupire. Sa voix se serre un peu dans sa gorge, il commence à avoir du mal à enchaîner les mots lui aussi.*

Je la trouverais oui...

* Parlant de plus en plus bas, au point qu'il en devient à peine compréhensible : *

Ou peut-être que je l'ai déjà trouvée, qui sait...

* Il se reprend, posant sa main sur celle d'Arfel. *

En tout cas, ce qui est évident, c'est que TOI tu l'as trouvée, cette personne qui peut te rendre heureuse !
Et lui aussi il t'a trouvée !
Alors... faites quelque chose !
Laissez pas ça mourir.

* Sa voix est presque désespérée, il ne veut que son bonheur, et celui de Rödschrek, et tant pis pour lui, si ça peut lui rendre le sourire à elle. *

*Arfel avale sa salive, et ses yeux ronds devant ce que Sorwin vient de lui sortir, lui fait verser de belles larmes : comment pouvait il en être aussi sur ? La jeune femme a envie d'y croire, mais voyant a quel point cela semble affecter Sorwin, elle pense fortement que de son coté il souffre lui aussi de solitude. Tout bas elle prononce sont nom avec un petit sourire émue, en passent une main chaleureuse dans son dos pour le réconforter un peu.*

Tu crois ?... Oui j'me battrais pour... merci Sorwin... merci encore...

*Elle interprète mal la phrase de l'elfe noir toute basse : déjà trouvé ? Arfel pense qu'il l'aurait trouvé parmi ses diverses aventures, mais ne voit pas la chose qui est juste devant son nez : Sorwin, ce frère qu'elle affectionne tout particulièrement, parle d'elle. Arfel soupire en évacuent ses émotions et le gratifie d"un doux baisé a la joue... puis relance sont autre sujet pour ne pas s'emporter littéralement.*

Tu... n'es pas encore allé au cinéma ?

*Bien souvent elle oubli son handicape, étant si alaise dans son espace qu'il ne semble pas être aveugle.*

* Sorwin aussi verse des larmes, en fait une larme, une seule, qui coule silencieusement le long de sa joue, la même que quand il était allé voir Rödschrek l'avant-veille.
Il laisse faire Arfel, il la laisse mettre sa main chaleureuse dans son dos, il la laisse l'embrasser doucement sur la joue. Il sait pertinemment que ce sont des gestes de pure affection fraternelle, et ces gestes lui font chaud au cœur, en même temps qu'ils lui brisent.
Tout comme elle, il change cette fois de sujet, estimant qu'il en est temps. *

Non, je... enfin, ça ne m'attire pas vraiment, le cinéma c'est essentiellement... enfin, visuel...
Pas pratique quoi...

* Il retrouve le sourire, un léger sourire doux et malicieux, de voir qu'une fois de plus elle a oublié qu'il était aveugle. Elle le faisait rire avec sa tête en l'air. *

*Arfel ne répond pas tout de suite, réfléchissant, et d'un seul coup elle s'exclame.*

Oh... excuses moi pardon !!! qu'est ce que j'ai pas dit !!! parfois je me demande ou passe ma cervelle... franchement...

*Tentent de rattraper sa bêtise, elle trouve une autre occupation qu'ils pourrait partager en commun.*

Et eum... et les concerts ? y'a de très bon groupe... et j'ai appris y'a pas longtemps que mon professeur, Tisden, fait partie d'un groupe de musique assez connu !!! Les Band Zaï Elven... je ne sais pas si tu connais ?
Tu aimes quoi comme musique ?

* Sorwin lui pose sa main sur l'épaule. *

T'en fais pas, c'est pas grave ! Les gens oublient souvent, et tant mieux après tout, c'est le signe que je me débrouille bien.

Oh, les concerts non ! J'ai assisté à un concert déjà en Avelis, et ça ne m'avait pas vraiment plu, trop de bruit... alors dans un lieu fermé, tu penses !
Et tu...

* Il se stoppa, réalisant ce qu'Arfel venait de dire. Il la questionna, étonné. *

... tu as un professeur ?

*Oui... il se débrouillait parfaitement bien, et bien rares sont les personnes qui savent qu'il est aveugle dés le premier coup d'œil. " Il n'aime pas les concert...", Arfel ne sait plus trop quoi dire, et il semble qu'il soit dure de savoir ce qu'il aime faire. Puis il parle de son enseignant.*

Oui, Tisden... c'est un elfe assez jeune qui fait cours aux petits elfe de la ville. C'est Asriel qui me l'a fait connaitre pour que je m'habitue a cette planète, et a leur culture. Pourquoi ?...

*Elle se penche en arrière et le regarde avec un petit sourire.*

Non, pour rien... c'est juste que... enfin...

* Son visage était très sérieux, et il se transforma soudain avec un grand sourire taquin. *

Pour une vieille de plus de 200 ans, c'est étonnant d'avoir un professeur !

* Il préférait rire avec elle plutôt que de pleurer, aussi se permit-il cette petite remarque moqueuse. *

*Arfel est consterné.*

NON MAIS ?!!!

*Pour le punir a sa façon, elle commence par le pincer et rapidement et vivement. Elle se redresse et se rapproche encore plus pour devenir plus oppressante... elle ne veut pas lui faire mal, juste entendre ses excuses.*

Nalors Monsieur Sorwin, on parle a une vielle ?!!! regardez avec quel agilité la grand mère s'occupe de vous jeunot !!! La vieille est en colère !!!

* Sorwin laissa échapper un rire entre quelques "aïe" pour les pincements. Puis il lui tira la langue, de façon volontairement très puérile, avant de rétorquer : *

Oui, mais le jeunot, il a des ailes !

* Joignant le geste à la parole, il commença à s'élever de son banc, et monta à quelques mètres de haut. Puis il fit mine de s'asseoir dans les airs, en baissant les yeux vers Arfel. *

Alors, qu'est-ce que tu dis de ça ?

A oui... tu veux jouer a ça... tu ne sais pas ce que j'ai hérité de terra toi... ça se voit !!!

*Aussitôt dit, aussitôt fait, Arfel fait pousser en montant ses mains, de grandes lianes qui attrapent Sorwin au niveau des pieds pour le faire redescendre. En même temps, la jeune femme monte sur le banc et lui prenant un pieds pour le faire descendre plus vite.*

Nalors jeunot !!! on rêve de liberté ? mais on retombe toujours sur la terre ferme pour se recevoir les corrections de la vieille Arfel !!! vengeresse de toutes les grand mère qui prennent des cours...

* Sorwin laissa échapper un cri de surprise presque inquiet quand il sentit quelque chose lui attraper les pieds et le tirer vers le bas. En se penchant pour toucher son pied il comprend que ce sont des lianes, et que sur l'autre pied, c'est la main d'Arfel. *

Non mais ! Je ne te permets pas !

* Il sortit son épée, et d'un geste vif et précis, coupa la liane, ce qui eut pour effet de le faire tomber puisqu'il rompit sa concentration. Il chuta bien évidemment sur Arfel, ils basculèrent du banc et il se retrouva allongé sur elle, visage contre visage. *

*Dans ses souvenirs, la première foi qu'elle s'était retrouvé dans une tel situation, s'était après avoir foncé sur Rödschrek pour lui faire mal après ce qu'il lui avait dit... n'aillant pas la force d'un gars, elle s'était bien vite retrouvé bloqué, l'elfe noir stoppant la furie en se mettant ainsi. La secondes foi s'était elle qui" écrasait" Röd, sous une embrassade chaleureuse plus agréable que la première situation, mais Arfel avait du s'éloigner d'urgence avant que tout ne devienne incontrôlable. Et maintenant qu'elle se fait écraser par quelqu'un, il faut que ce soit sont "frère" adoré.
Sur le coup elle douille bien, mais quand alors elle s'aperçoit qu'il est plus en face qu'en face d'elle, la jeune femme ne peut que rougir, complètement dépassé, repensant a la dernière situation. Arfel en est statufié : sans doute va t'il rapidement se relever et s'excuser. Elle se met a rire malgré sont mal.*

Tu déclare la guerre la... air contre terre, je tiens le paris !

*Doucement, elle porte ses mains au niveau des cotes de Sorwin pour l'enlever sans le brusquer.*

* Pour Sorwin, c'est le genre de position dans laquelle il s'est retrouvé souvent avec des filles... mais avec Arfel...
Ça le bloque un moment, et quand il sent les mains de la jeune femme qui descendent le long de son corps pour arriver au niveau de ses côtes, son esprit se met à vagabonder...
Réalisant soudainement qu'il délire totalement, il se retire d'un bond, comme s'il avait reçu un électrochoc, et il se relève, tout rouge et extrêmement gêné d'avoir pu penser à des choses pareilles. *

Je, je suis désolé !
Excuse-moi, je ne t'ai pas fait mal j'espère ?