*A l'instant même où il avait été saisi par Sven, ou quoi qu'il puisse être, le visage d'Elrick s'était figé dans un sourire, mais avait perdu toute vie. Il n'y eut donc pas de suite immédiate.
En revanche, à l'instant même où il était désintégré, un hologramme d'Elrick lui-même apparut au dessus du toit, très grand, et les regardant avec son sourire "gentleman".*
Félicitations à tous ! Si vous visionnez ce message, c'est que je suis mort. Enfin, pas tout à fait. Disons plutôt que mon hôte est mort. Il ne s'agissait que d'un leurre, bien évidemment.
J'ignore bien sûr combien d'entre vous ont survécu, mais je gagerai qu'au moins Rödschrek et Sven sont en vie, et c'est l'essentiel.
Avant que nous nous quittions, j'ai deux informations essentielles à vous donner.
Comme vous l'avez remarqué, j'ai réussi à capturer Sighild Dernör, le coffre fort mémoriel des Cinq Familles. Sa tête est difficile à forcer, mais avec des efforts, j'y suis parvenu. Seulement, pour ça, j'ai été obligé de lui inoculer un poison un peu particulier.
Rassurez-vous, elle est encore en pleine forme, mais d'ici deux semaines environ, le poison va s'attaquer à son cerveau et le ronger complètement, en seulement quelques heures.
Mais pour vous récompensez de vos efforts et de la foule d'informations qu'elle m'a apporté, je vais vous laisser une chance de la sauver : il existe un antidote, extrait d'une plante très rare, la Vertilia. Elle ne pousse qu'à un endroit en Ekoï : le Dédale. Trouvez-là à temps, et vous pourrez la guérir.
J'ai envoyé un mail à Sven qui contient tout ce qu'il y a à savoir sur la façon de procéder. Je m'en voudrait de le priver de sa bien-aimée.
Seconde information, j'ai placé une bombe à neutron sur le domaine, qui devrait tout faire sauter, terrain y compris. Bien entendu, je l'ai prévue pour toi, mon cher Rödschrek, et sache que ta capacité de passe-muraille sera inefficace. Elle est basée sur les battements de mon coeur, et donc devrait exploser dans...
Ah, du coup, avec le temps de ce discours, il ne vous reste que cinq secondes. Bonne chance !
*L'hologramme disparut au profit d'un compter indiquant effectivement cinq secondes restantes.*
En revanche, à l'instant même où il était désintégré, un hologramme d'Elrick lui-même apparut au dessus du toit, très grand, et les regardant avec son sourire "gentleman".*
Félicitations à tous ! Si vous visionnez ce message, c'est que je suis mort. Enfin, pas tout à fait. Disons plutôt que mon hôte est mort. Il ne s'agissait que d'un leurre, bien évidemment.
J'ignore bien sûr combien d'entre vous ont survécu, mais je gagerai qu'au moins Rödschrek et Sven sont en vie, et c'est l'essentiel.
Avant que nous nous quittions, j'ai deux informations essentielles à vous donner.
Comme vous l'avez remarqué, j'ai réussi à capturer Sighild Dernör, le coffre fort mémoriel des Cinq Familles. Sa tête est difficile à forcer, mais avec des efforts, j'y suis parvenu. Seulement, pour ça, j'ai été obligé de lui inoculer un poison un peu particulier.
Rassurez-vous, elle est encore en pleine forme, mais d'ici deux semaines environ, le poison va s'attaquer à son cerveau et le ronger complètement, en seulement quelques heures.
Mais pour vous récompensez de vos efforts et de la foule d'informations qu'elle m'a apporté, je vais vous laisser une chance de la sauver : il existe un antidote, extrait d'une plante très rare, la Vertilia. Elle ne pousse qu'à un endroit en Ekoï : le Dédale. Trouvez-là à temps, et vous pourrez la guérir.
J'ai envoyé un mail à Sven qui contient tout ce qu'il y a à savoir sur la façon de procéder. Je m'en voudrait de le priver de sa bien-aimée.
Seconde information, j'ai placé une bombe à neutron sur le domaine, qui devrait tout faire sauter, terrain y compris. Bien entendu, je l'ai prévue pour toi, mon cher Rödschrek, et sache que ta capacité de passe-muraille sera inefficace. Elle est basée sur les battements de mon coeur, et donc devrait exploser dans...
Ah, du coup, avec le temps de ce discours, il ne vous reste que cinq secondes. Bonne chance !
*L'hologramme disparut au profit d'un compter indiquant effectivement cinq secondes restantes.*