Les poches du manteau noir ! toute une histoire ![fini]

*Arfel était revenu a cause d'un oublie... non la chimère et le patient avait pas été oublié. En faite, ce sont tout simplement les affaires sombres de l'elfe noir, qui sont la cause de son retour. La chambre commençait a peine a être rangé, et une chance pour Arfel, les habits, manteau compris, étaient plié sur l'un des lits. Quelques minutes plus tard, et ça aurait été un foin pas possible pour les retrouver. Voyant le manteau, elle repenses tout de suite a deux choses, l'une qui lui est désagréable, et l'autre qui promet d'être autrement. La jeune curieuses se demande si elle peut fouiller... mais l'envie curieuse passe avant tout, alors elle s'assoit sur le lit et commence. Elle vérifie dans l'une des poches : il y a bien ce fichu paquet d'enfumeur a poumon.
Regardant que personne ne passe dans le coin, elle regarde dans la poche droite... comme le lui avait conseillé Fura.*

*La jeune femme découvre au fur et a mesure, remettant a chaque foi bien en place, ses découvertes.
La première chose après les cigarettes, sont ses croquis, qui traduise bien un profond mal être, comme une sorte de hargne a dessiner les vivants, ne les dessinant pas de façon appliqué, autant qu'il ne semble pas bien les comprendre. Au contraire de ça, elle prend plaisir a regarder ses dessins de nefs, fourmillant de détails agréable a regarder. On voit bien que le plaisir a les reproduire sur papier était la.

Les paquets de chewing gum et morceau de papier, sont tout autant des indices qui montre bien sa personnalité, un peu "j'en fou partout" mais "je reste droit et inébranlable comme je l'ai appris". C'est ce qu'elle pense en examinent a quel point il a du s'ennuyer a découper de façon aussi droite les p'tits papier !

Il semble tout garder... porter sa propre vie dans son manteau... une vie qu'il cache dans les poches intérieur, autant que derrière sont masque. Ce masque... il était sous un des vêtements, et elle ne l'a pas encore remarqué. Il a d'ailleurs un peu souffert, légèrement fendu au niveau du menton.

Puis il a y ce dessin... un portrait a vrai dire. Arfel le regarde a plusieurs foi : ça lui ressemble beaucoup, mais elle a peine a croire qu'il l'a réellement dessiné. Puis se calment un peu, elle prend le temps de le regarder. Elle reste bouche bée devient un morceau de papier pendant facile 15 bonnes minutes, souriant, laissant une ou deux larme couler, vraiment touché de se trouver parmi les combles de sa vie caché par son manteau. C'est un peu l'égal de la photo qu'elle avait prise de lui, et qu'elle avait mi en lieu sur, dans son espèce de coffre secret.

Sans plus attendre, elle embarque soigneusement dans un sac le tout, et revient a la maison. Elle arrive toute souriante voulant en savoir plus ses dons en dessins... mais une foi de plus il dort. A pas de loup cette foi, elle se rapproche et le regarde les yeux plein d'étoiles (hihihi).*

#C'est magnifique ce que tu as fait...#

*Puis une idée lui vient ! elle aussi elle va tenter de le dessiner, en plus c'est l'idéal : il bouge pas, et fait moins sa tronche en dormant ! La jeune femme se trouve donc de quoi faire et se met a la tache... seulement, on peut pas dire que ce soit aussi facil pour elle, résultat : une tonne de dessins commence q s'accumuler sur le bord du lit, ne voulant pas les mettre en boule.*

*C'est en relevant le nez d'un de ses dessins, qu'elle remarque qu'il s'est retourné.*

Hey !! non reviens comme tu étais ! j'ai pas fini !!!

*Avant qu'il ne tombe sur ses gribouillages, elle se rapproche et fait le ménage rapidement, les empilant les uns sur les autres pour en faire un petit tas.*

uhm....

*C'est plus un grognement qu'une réponse, il ne comprend pas ce que fabrique la jeune femme à côté. Et finalement c'est la curiosité qui répond à sa question existentielle. Il s'assoit, et observe la pile de papiers au bout du lit, sans trop savoir ce qu'elle trame. Il pousse au passage le livre qui a réussi on ne sais comment à tenir en équilibre sur ses jambes.*

C'est quoi? T'es bizarre...

*Il le dit en souriant, il ne comprend vraiment pas Arfel parfois.*

*A vrai dire elle a été surpris qu'il se réveille aussi vite. Elle prend rapidement la pile qu'elle met plus loin sur une commode, en y laissant crayon et bloc de feuilles. Maintenent qu'il est bien réveillé, il lui sera difficile de le dessiner... d'autant plus que vue sont niveau, elle risque d'en passer du temps a le regarder dormir avant d'avoir un dessin potable. C'est la p'tite surprise qu'elle veut lui faire, alors pas question qu'il voit ses croquis, et elle espère qu'il ne captera rien de ses pensées la dessus.*

Moi bizarre ?... euuu.... oui sans doute parfois.

*Pour étouffer l'affaire, elle lui présente sur le lit le sac avec ses affaires.*

J'espère que j'ai rien oublié !

*En sortant l'un de ses fringues du sac, le masque qui était caché tombe au sol. Se retournant, Arfel regarde l'objet, semblant vraiment avoir peur de cette chose.*

#C'est... #

*Oui le masque qu'il devait porter. Elle le ramasse du boue des doigts, et comme par instinct mélangé de peur, elle le met en face d'elle tourné de tel sorte qu'elle le mette. Se regardant dans un miroir, elle en sursauterait presque... mais elle ne dit rien et le pause sur le lit.*

*Il fait le compte rapidement de ses affaires, tout y est... découpé... il fait la moue, déçu... il s'agissait des affaires qu'Arfel lui avait trouvé. Ce n'était pas rien. Une peur mélangée ç une étrange curiosité émanant d'Arfel il la voit porter un moment le masque et reste bouche bée. Oui l'objet est effrayant non pas par lui même mais à cause de sa parfaite neutralité.*

C'était... un moyen pour que les esprits ne voient pas mon visage quand je suis... j'étais en mission. Pour qu'ils ne me suivent pas au cas où je te reverrais un jour...

#Et pour que l'on ne voit pas mes expressions...#

*Il baisse la tête et fouille ses poches commençant par la poche la plus sensible : tout y est. Il cherche ensuite le portrait, il y est également. Mais il manque quelque chose qu'il recherchait par besoin : son paquet, et lui a disparu...*

#Non...#

*Il n'ose rien dire mais tout se voit sur son visage. Il s'entend dire d'une voix crispée qu'il y a tout. Mais il sait très bien qu'un sevrage aussi sec va être impossible pour lui.*

*Arfel s'assoit sur le lit en regardant du coin de l'œil le masque, comme s'il était hanté. Elle souffle et lui avoue.*

Non... c'est faut y'a pas tout...

*Elle va chercher dans la poche arrière de son pantalon le paquet, et le met sur le lit. Le problème face a ce machin persistait, et même une promesse qu'il lui avait faite n'avait pas passé la barre trop haute du sevrage. Puis elle le regarde lui timidement, a vrai dire cette chose lui avait donné plus d'une foi mauvaise allène, et question embrassade, s'était pas l'idéal. Elle se met a sourire pensant qu'au final tout ça est bien bête... lui il est la et c'est ce qui compte... mais pour combien de temps avec ce machin, qui lui ôte petit a petit a chaque bouffés, un peu de sa vie. Mais d'un autre coté, vue la crise qu'il lui avait faite et ses effort... Au final elle garde le paquet et lui dit.*

Prouves moi que t'ai un homme, et garde toi de ce machin toxique au moins jusqu'à demain !

*La fin est dit alors qu'elle se trouve a quelques centimètre de son visage, les yeux dans les yeux.*

Après... tu pourra... marcher sans problème... tu ira dehors si tu veux faire ça...

*Elle ne se fait pas prier, et l'entour de ses bras tout autant. Elle prend la réponse plutôt pour un oui, et en est encore plus contente. Pour le remercier a sa façon, et pour la première foi sans doute, c'est elle qui agrémente ce geste de fougue... ne sachant pas trop ou son ses limites a elle. La jeune drogué s'emporte pas mal, complètement sur son petit nuage avec celui qu'elle affectionne le plus, a tel point qu'elle commence a le coller contre le mur, au fond du lit, l'immobilisant un brin. Patache dans une autre pièce fait tomber un vase au même moment, c'est ce qui la ramène sur terre. Elle se calme bien vite, ne voulant pas que ça dérape en "terre inconnue", et s'éloigne un peu, hébété. Elle reprend bien vite une position assise normal, et le regarde a peine... s'en voulant presque d'avoir fait ça.*

Hum... j'ai... j'ai remarqué quelque chose dans ta poche... je... je ne savais pas que tu dessinais aussi... bien...

*Rödschrek est passé au rouge. Il a du mal à se calmer, ses limites ont été dépassées, et si Arfel ne s'était pas calmée, la situation aurait très vite dérapé. Ses yeux brillent, il l'observe, complètement troublé, se repassant le moment en boucle. Il a complètement été pris au dépourvu, mais la situation l'a plus qu'enchanté. Quand elle lui parle de ses dessins, il ne réalise même pas tout de suite qu'il est possible qu'elle soit tombée sur le portrait, à vrai dire, il hésite à revenir se coller contre elle pour l'embrasser de nouveau et rester vraiment près d'elle.
Il se rapproche d'ailleur, se poste derrière elle, la prend de nouveau dans ses bras de manière à l'entourer complètement, posant la tête sur son épaule. C'est alors qu'il tilte alors.*

T'a... euh...

#Elle a vu l'portrait...#

T'es tombé sur mon carnet?

*Elle bidouille des morceaux de laine entre ses doigts, du bas de son pull, se forcent a penser a autre chose que ce qu'elle venait de ressentir, contrairement a lui qui se passe en boucle le moment (ce qui la perturbe et ne l'aide pas dans sa démarche). Elle n'arrivait plus a contrôler son geste, ce qui lui a encore fait un peu peur. La jeune femme s'était éloigné pour se calmer et retrouver ses esprits, mais quand il revient, la chair de poule l'assaille et elle n'arrive plus a parler. Elle aime tellement le sentir a coté d'elle, qu'elle ferme les yeux un moment et pose sa tête contre la sienne, soufflant pour calmer ce cœur qui tambourine trop vite. D'une petite voix, elle lui dit.*

#Oui...# Il est magnifique... quand... quand l'a tu fais ?

*Elle met ses mains par dessus ses bras pour qu'il ne les enlèves, et tourne sa tête vers la sienne. Dans la pièce d'à coté, Patache a bien fait tomber un pot... mais l'animal n'est pourtant pas aussi maladroit qu'Arfel : quelque chose a troublé l'animal qui est partie de son perchoir précipitamment.*

*Arfel peut sentir sa gène, il est rouge. D'habitude il se serait éloigné, aurait tourné la tête. Mais avoir la jeune femme dans ses bras, est si agréable qu'il n'a pas bougé d'un pouce. Maïtaga a encore disparu, mais l'elfe noir devine où il est : retourné à l'hôpital attendre Sorwin. Il ferme les yeux, profite quelques moments de cet instant, gardant le visage tout près du sien, il l'embrasse de nouveau, doucement, rouvre les yeux tout sourire. Se calmer est particulièrement difficile pour lui, à tel point qu'elle peut ressentir une grosse partie du désir qu'il éprouve pour elle.*

Uhm... j'l'ai fait de temps en temps... je sais pas trop... quand t'étais au jardin surtout.

*Sa voix a légèrement changé, elle est plus douce que d'habitude.*

#Calmes toi...#

*Il a également beaucoup de mal à garder en tête le fait qu'Arfel puisse parfaitement lire ses pensée. Il soupire, relève le visage et s'immobilise. Il observe quelque chose, de son oeil mécanique. Tout son corps se crispe il est sur la défensive. Il recule, passe à côté d'elle et se lève malgré l'interdiction, boîtant sur sa jambe pas encore soignée. Il envoie un ordre sec à Arfel, un "Restes là" mental, et fait apparaître sa lance, tout en avançant discrètement, comme le ferait un chasseur traquant une proie.*

*La jeune femme est complètement troublé de ce qui émanent de l'esprit de l'elfe noir... comprennent si peu, et pourtant étant totalement sous le charme. Elle sent bien a présent qu'elle est allé trop loin, alors qu'il s'évertue justement a ne pas dépasser certaines limites pour ne pas l'effrayer... on peut pas dire qu'elle l'a aidé beaucoup là. Puis il lui parle, mais a vrai dire ce qu'il pense ou du moins ressent en lui, se font plus fort a tel point qu'elle comprend a peine sa réponse.

Ensuite vient cette crispation... quelque chose ne va pas, et il n'a pas besoin de le lui dire pour qu'elle comprend qu'il a vue quelque chose de suspect derrière le mur. Après avoir eux chaud de rougir ainsi, son tin devient livide et froid comme maladif. Il y a la lance... cette chose qui lui fait toujours aussi peur, et qu'il semble utiliser sans problèmes. Seulement Arfel sent aussi la douleur physique qui le prend a se lever. Elle se lève pour le suivre et l'épauler, mais il refuse qu'elle bouge. Se fessant discrète comme une sourit, Arfel se rassoit, morte de trouille au fond du lit, le visage a moiter caché par les genoux devant.

De l'autre coté du mur, il ne semble rien y avoir, et pourtant : un voleur se tapie grâce a son camouflage parfais... et seul un œil qui peut voir la chaleur peut le détecter. Ce n'est pas la première foi qu'il vient. Il avait entendu dans la rue pas des commères, que la jeune forgeronne était dans une mauvaise passe, toute seule, et surtout avec des matériaux dans sa forge assez demandé. Il s'était renseigné sur ses habitudes, et avait visité sa maison au moins 1 foi sans rien trouver de vraiment satisfassent pécuniairement. La il est revenu avec de quoi attaquer sa forge fermé a double tour, et de quoi la ficeler pour qu'elle n'alerte personne.
Seulement la... il n'avait pas prévue qu'elle ramènerait un ami. Il ne bouge pas, et reste aussi immobile qu'une statue de marbre.*

*L'elfe noir fait mine de chercher, évitant soigneusement de regarder dans la direction du voleur. Puis arrivant à 2 mètres de portée, tout en regardant "visiblement" un coin sombre de la pièce, Rödschrek effectue un grand mouvement circulaire, envoyant la lame de la lance maintenant devenue faux, se ficher à quelque centimètres de l'intrus invisible. Ayant repris toute sa prestance d'antan, le dos bien droit, et aucun signe de douleur visible sur son visage, l'elfe noir observe à présent l'intrus de haut.*

Tu as 20 secondes pour me dire ce que tu fiches ici! Sans ça, cette lame maudite se revigorera sur ton cadavre! Dépêche toi, je la contrôle mal!

20
19
18
...

*Arfel quand à elle, liée à l'esprit de l'elfe noir pouvait savoir qu'il bluffait quand à la future mort de l'intrus. Mais ça haine des vivants risquaient malgré tout de lui faire faire une réelle boucherie. Ne pas tuer ne signifiait pas ne pas donner de leçons. Et l'apprentissage de la vie chez lui avait été plutôt rude...*

*On peut dire que le voleur avait toujours été en position dominante chez les elfes blanc. Il avait d'ailleurs choisit de voler chez ce peuple car ils sont pacifique, contre la peine de mort et surtout, très accessibles par un système de portail téléporteur vraiment bien déservie ! La on peut dire qu'il avale mal sa salive, ne s'étant pas du tout attendu a ce qu'il le trouve : il voulait piller de l'elfe blanc, il tombe sur un noir... et la, la donne s'inverse complètement. Les secondes déferlant a vitesse folle, et le voleur, bien qu'expérimenté, est jeune... trop jeune pour mourir. Ne voyant pas de solution pour le moment, et la lame étant bien trop prés de son gosier, il capitule en désactivant son camouflage.

Il regarde haineusement Rödschrek, et celui ci peut voir qu'il est de son peuple : un elfe noir tout comme lui, les cheveux attaché en natte, le tin violacé et les yeux rose. Le jeune homme le reconnait : il est le célèbre tueur de mort... mais sans aucun doute aussi de vivant. Tout bas, les oreille tombante et le regard plein d'affront il lui balance.*

Un de plus sur ta liste ?! tu va pas tuer un frère... je vole pour ma croute moi ! chu la que pour ça... ses elfes sont tellement riches qu'ils s'en aperçoivent pas !

*Sont regard quitte l'elfe noir, et il se met a sourire, fixant en bas de l'encablure de la porte, une Arfel plus terrorisé que jamais. La jeune femme regarde Rödschrek... la terrifiante silhouette de celui qui la tenait si agréablement dans ses bras, il y a quelques minutes. Elle en tremble, ayant peur de ce dont il est capable même s'il bluff. L'avorton lui balance d'un air moqueur.*

T'a vue elle ? c'est un parfais modèle... fait ce que t'a a faire avec elle, comme j'allais le faire, et va t'en, avant qu'ils te chopent.

*Il a pas du tout capté que l'elfe noir était avec elle, et le pensait aussi haineux que lui, imaginant qu'il est la pour un règlement de compte ou une chose de la sorte. Les elfes noir et blanc de cette terre ne sont pas ennemie de base, mais la situation économique des deux peuples se creusant de plus en plus, de nouvelles dissensions apparaissent entre les hautes et les basses classes. Et comme la réputation de l'ancien roi n'étant pas des plus reluisantes, il pense vraiment qu'il allait faire la peau à la jeune femme... qui vire de l'oeil, tombant dans les vapes, à la vue du coup du voleur qui commence a saigné un peu (pas de quoi égorger un porc... mais elle est sensible la pauvrette^^). Le sale avorton se marre et se moque.*

Tien t'a vue ça !

*L'elfe noir sursaute en entendant tomber. Il a senti sa peur et son inconscience ne l'aident pas, mais il reste de marbre d'une vue extérieure. Il s'agit d'une question de survie. Jouant le jeu de son "frère", il lui envoie un sourire mauvais et lui explique.*

J'crois qu't'as pas compris dans quelle merde tu t'es foutue. Te tuer ne ferait que m'occuper et alléger mon esprit. Néanmoins je sais ce que c'est que la survie. Alors on va dire que je te laisse en vie si tu te taille. Par contre reviens une seule fois une seule, et moi, ou ma chimère si je ne suis pas là, on te fera la peau! et t'auras pas e temps d'souffrir crois moi!


*profitant du fait qu'Arfel était assoupie*

c'est MON terrain de chasse!

*Comme pour complétet ses dires, l'oeil de la lance s'ouvrit et se braqua sur le voleur. L'elfe noir dégagea légèrement la lame, mais il était encore assez prêt pour pouvoir lancer un coup fatal si l'envie s'en faisait sentir. Il espérait que le voleur abdique. EN combat, blessé il serait moins rapide et la pression que les chairs de la lance excerçaient sur son bras commençaient à devenir difficiles à supporter déjà.*

*Le jeune elfe noir remet son manteau de façon stricte, en lui jetant un regard noir avec ses yeux couleur de fleur. Il s'écarte et prend par la fenêtre qui avait été forcé sans un bruit... s'éclipsant totalement en grognent de ne pas avoir été le premier sur l'affaire. La maison reprend de son ambiance plus naturel, alors que la pression qu'il y avait s'évapore lentement. Arfel est toujours au sol, complètement inconsciente.
Patache lui vient ce coller a elle et ronronne, se frottant contre le visage de sa maitresse, comme pour la réveiller... puis grattouille son vêtement comme s'il était dans sa caisse. Mais rien a faire, elle ne se réveille pas.*

{hj: yeux roses X) ]

*L'elfe noir attend d'être sûr qu'il soit parti et tente de commander à sa lance de disparaître. C'est là que l'affaire se corce. Heureusement pour lui, l'objet fini par obéir à sa volonté mais difficilement. Son bras est de nouveau sanguinolent, il s'est refait mal, avec ses grands gestes de tout à l'heure. Se retournant, il se dirige vers Arfel, ayant peur pour elle comme de ce qu'elle va penser. Il s'agenouille, sa jambe elle aussi commence à le lancer fortement mais il tente de ne pas y penser, plus inquiet pour la jeune femme que pour lui même. Il la prend dans ses bras lui commandant tout bas de se réveiller, mais ne peut guère faire plus. Il ne peut même pas la porter pour la mettre au lit, son bras lâcherait.*

*Le corps de la jeune femme est une vrai crêpe molle, mais ce qui la fait sortir ce sa torpeur, est de sentir qu'il a mal, et aussi la demande qu'il fait porte ses fruits. Il lui semblait l'entendre dans le noir, comme un échos la ramenant a la réalité. Elle gémit un peu, puis se réveille en sursaut. La jeune femme le fixe effrayé, demandant du regard ce qu'il a fait, espèrent fortement qu'il n'a rien fait d'irréversible. Elle se redresse pour ne pas être un poids pour lui et lui prend le bras sanglant... se laissant aller aux larmes. Puis sans avoir aucunes réponses, elle se jette a son coup pleurant vraiment et tremblant : elle a vraiment flippé.*

*L'elfe noir ne comprend plus rien. Il pensait se faire incendier, mais au lieu de ça, elle lui saute dans les bras. Il la repousse quelques secondes, le temps de s'asseoir pour calmer la douleur et la ramène de nouveau contre lui, la serrant chaleureusement.*

Hey je lui ai juste fait peur, c'est fini! Juste ça... je ne voulais pas qu'il te fasse mal, c'est tout! ce n'était qu'un voleur, alors je lui ai fait seulement peur, il ne s'est rien passé! Calmes toi maintenant...
Et ça vaut mieux, c'est pas comme si c'était un assassin, là ça aurait été dangereux! Mais je savais ce que je faisais...

*Commençant à comprendre les effets qu'ont les baisers ont sur eux deux, il décide de retourner les petites jeux d'Arfel contre elle en l'embrassant d'abord sur le front. Il met ensuite une main sous le menton de la jeune femme, pr lui relever la tête, et l'embrasse doucement, un peu hésitant.*

*Il commence a bien comprendre ce qui la calme... et lentement, ses tremblements disparaissent, fermant les yeux, savourant ce petit moment. Il pensait sans doute ce faire incendier, mais c'est surtout que la jeune femme ne veut pas se disputer avec, alors elle laisse couler, pourtant elle en est toujours terrorisé. Puis se décollant de lui, elle lui dit.*

Allé ! maintenant que t'a joué au bon petit soldat, l'infirmière va te soigner tout ça... Va sur le lit, et je m'occupe de toi.

*Il faut croire que cela devient une habitudes, a chaque foi il faut qu'ils se retrouve, Röd avec des blessure, et une Arfel qui flippe en bonne soigneuse. Du sang de son bras, il en a foutu un peu partout : sur lui déjà, sur elle, et sur le sol également. La jeune femme va donc chercher des bandes, et désinfectant, tout en essuyant ses larmes, la main encore tremblante : a ce rithme la, c'est quand il y aura plus rien de lui qu'elle arrêtera de le rafistoler.*

Euh... oui...

#Faut se lever...#

*L'elfe noir n'ose pas le dire, mais sa jambe le lance fortement, et rien que l'idée de devoir se rappuyer dessus est un vrai calvaire. Il attend qu'elle se soit éloignée pour tenter de se relever, usant le moins possible de sa jambe fragile. Mais l'un de ses bras étant tout plus fragile encore que la jambe, il ne peut s'appuyer dessus et peste en se relevant. Il y parvient difficilement mais reste à l'endroit ou il était, incapable de s'appuyer correctement dessus ou de s'appuyer à des objets avec ses bras pour avancer.
Son bras parlons en ... Il saigne et sa fracture lui fait de nouveau mal. Oh la douleur est supportable, il ne l'a pas recassé, heureusement, mais les muscles autour ont souffert, et cela a réveillé la douleur.*

*Elle revient bien vite, bande eau et alcool en main, et se rend compte a quel point il patauge pour retourner sur le lit : la situation lui avait fait oublier l'essentiel... l'aider a retourner se coucher. Elle se précipite donc et se faufile sous sont épaule doucement, en le regardant plein d'attention. Elle l'aide, se trouvant bête de ne pas l'avoir fait plus tôt.
Après maintes efforts, ils arrivent enfin. La jeune femme agit vite et efficacement, avec douceur et précision... elle ne parle pas, concentré sur ce qu'elle fait, devinant sans avoir besoin de l'ausculter, ou il a mal. La fermeture éclair au niveau de la jambe est ouverte... celle du bras dans un sale état, tout autant que la manche déchiqueté par la sortie de la lance... Elle fait de son mieux pour qu'il ne souffre pas plus.

Seulement, elle en tremble encore, croyant avoir revue ce qu'elle redoute le plus : l'ancien Rödschrek violent, ou du moins la vision qu'elle avait de lui avant, avide du sang des vivants. Cette image la hante, même si elle espère dans le "nouveau" Rödschrek. D'un seul coup elle se stoppe, portant la main sur son front en soufflant. Elle a peur de son frère... peur de son passé... peur de tellement de choses qui la bloque, elle broie du noir.*