Les poches du manteau noir ! toute une histoire ![fini]

*L'elfe noir se crispe. Il va réellement être obligé de dire le problème en face.*

Alors la planque devra NOUS cacher dans ce cas, Elevân.
Je ne vous ai pas dit de cacher votre visage pour rien. Grâce à vous dans peu de temps d'autres volatiles vous traqueront, n'ayant dans les yeux que votre visage. Le mien, ils l'ont oublié, lances et masque y ont remédié...

*Il ne dit rien d'autre, soupire.*

Je n'ai que ma maison, mais elle est protégée contre tous types d'esprits. Car s'ils m'ont élevé ils ne sont pas les bienvenus chez moi malgré tout. Je reste un vivant. Si vous avez une autre idée elle elle est bienvenue...

*Elevân fait de gros yeux étonné, s'arrêtant net de marcher. Il n'avait aucunement envie de se livrer a une guerre contre les esprits, même si ses pouvoirs pouvait sans doute les mettre tous en pièce. Mais trop de chose ne dépende pas de lui. En premier les gens qu'il aime, comme sa chère Jujoss, il peut la protéger si elle est prés de lui... mais autre par comme dans son lieu de travail, la tache est plus ardu. Ce que dit l'elfe noir a la fin le laisse douter fortement. Et a ça il lui répond.*

Et bien j'y réfléchis donc...

*Puis rebelotte, il se remet a tourner, mais cette foi dans le sens contraire a la première foi. Il y réfléchit et s'impatiente des résultats. Au bout d'un bon moment, son collège revient avec une tête d'enterrement. Le visage du père se décompose alors tout autant. Ce médecin qui s'occupait des examens commence alors a poser des questions.*

Bon, il faut que vous sachiez que nous avons les résultats, mais sans indices plus démonstratif que ce que nous avons observé, ça va être dure de comprendre ce qu'elle a. Hum...

Premièrement, prend t'elle des substances illicites tel que de l'alcool de colle ou encore des cigarette hallucinogènes ?
Je voudrais savoir aussi si elle a eut récemment un coup violant au niveau de l'arrière droit de son crane ?

*Elevân bégaille un.*

Ma... ma fille ne se choute pas... pas a ma connaissance... et pas de coup... je ne penses pas...

*Il se tourne alors vers l'ancien roi dés foi qu'il en saurait plus.*

*l'elfe noir blêmit. Non elle n'a pas reçu de coup, il ne le pense pas mais... Il dit tout bas :*

Elle boit... pas mal...

*Il se gratte la tête et ajoute.*

Elle... elle est euh... elle a été inconsciente... pendant...

*Il observe Elevân, comme s'il voulait qu'il continue à sa place.*

Elle a fait un comas y'a plusieurs moi...

#J'me suis retrouvé dans son esprit, et si c'était un contre coup de nécromancie? Non... moi oui, mais l... J'étais un esprit à l'époque bon sang!!!!#

*Il plaque la main devant sa bouche et écarquille les yeux, espérant que ce ne soit pas de là que vient le problème. Il commence à perdre sang froid.*

*Le neurologue regarde sa fiche inquiet. Puis il redemande si ce genre de chose lui était déjà arrivé. Elevân dit un grand oui... et que les premier symptômes observé sur elle était de l'age de 5 ans. Le médecin est encore plus perdu. Elfe blond perçoit les pensée de l'elfe noir et se rapproche de lui en disant tout bas.*

Ce n'est pas de ta faute, ne t'inquiète pas.

*Puis Elevân rajoute un éléments.*

Oui elle a eut un coma après un... une expérience très éprouvante qu'était une guerre. Il semblerait que ses crises apparaissent lors d'un surplus de stress qu'elle n'arrive pas a évacuer, ou d'une grande peur. Elle m'avait déjà fait une crise similaire quand des esprits l'avait attaqué.

*Le médecin est encore plus perdu. Il dit qu'il va faire plus d'analyse et qu'il revient. Elevân s'approche donc de Rödschrek et il lui demande.*

Je sais que ma fille boit... mais est a ce point ?! elle me l'a souvent caché, mais je penses pas que ce soit une vrai drogue pour elle... non ?

*Au final, Elevân n'est pas au courant des mois de galère ou Arfel se soulait comme un trou, se sentant seule sans famille, sans amis, avec personne.*

Euh...

*l'elfe noir a beau se maîtriser, il est livide.*

Nan... peut être en fait, j'sais pas... enfin si... je sais... enfin maintenant que je peux parler avec Taga je sais qu'il planquait les clef d'l'armoire à alcool chez moi et qu'il nous surveillait pour ça... euh j'bois pas souvent hein? Pas... juste...

#Quand je suis tout seul oui bon...#

M'est déjà arrivé de finir un peu saoul avec elle aux débuts, mais jamais trop j'l'arêttais toujours à temps...

#pas sûr... bon sang calme toi, analyse un peu la sit... nan analyse pas...#

*Il soupira, s'adossa à un mur, croisa les bras.*

*Elevân s'assoit d'un seul coup a coté le l'elfe noir, le fixant des yeux : a ce qu'il remarque, il a loupé pas mal de choses de la vie de sa fille, qui l'inquiète beaucoup. Cet histoire de "bourré" lui colore le visage en rouge de rage... il veut en savoir plus !!! Croisant les bras et se redressant, il se calme n peut et lui demande plus de détail sur un ton le plus posé possible.*

A oui vraiment... saoul... chez toi... tout les deux... arrêter a temps ? Au faite, je m'acharne sur votre histoire depuis le début, mais comment ça se fait que vous en êtes arriver a vous aimez ?!!! Je m'en pose des questions !!! vous vous détestiez tellement avant... Et qu'est ce qu'elle fessait chez toi ? Pourquoi vous vous voyiez ? et qu'est ce qui a fait le déclenchement ?!!! Maïtaga vous... surveillait... par ce que vous aviez des choses a vous reprocher ?

*Elevân est d'un seul coup nerveux et extrêmement soucieux, une curiosité maladive e touchant, sans doute pire que ce savoir ce qu'elle a en se moment.*

*Alors ça... si Elevân avait pu le voir venir aussi gros qu'un train en face qui fonce a grande vitesse, il l'aurait écrasé, ne pensant la chose pas possible. Mais voila, le train qui parait si morne, si triste de vivre, se met d'un seul coup a rire au éclat, dans un lieux ou les pleurs sont beaucoup plus fréquents ! Ce train noir fait dérailler l'elfe blond de sa chaise : en un grand sursaut de peur, Elevân s'écarte et manque de se retrouver a terre, les mains presque devant le visage comme en signe de peur d'agression.

Voyant que ce n'est que le stresse et la situation rocambolesque qui a fait "exploser" la machine à vapeur Rödienne... Elevân se redresse de sur son siège et croise les bras en fessant un peu la moue.*

Eh Oh ! C'est bon on se calme... Si tu ne voulais pas me répondre, t'aurais pu au moins m'éviter ce genre de frayeur !

*Mais au bout de peu de temps, Elevân se prend au jeu et remet du charbon dans la machine avec un sourire qui commence a apparaitre.*

Bah quoi... j'aurais même pu te demander combien de bouteille vous avez prises avant de vous trouver une certaine attirance...

*Elevân le prend plutôt cool au final, voyant les pensées du jeune homme mêlé de son inquiétude. Le docteur reviens enfin et cette foi les pris de les suivre. Ils les amènent a son bureau, ou des espèce de radios sont exposé comme des trophées au mur. Il y en a plusieurs, et sans trop attendre le médecin leur explique la chose sous un point de vue technique.*

"Bon, a ce que vous m'avez dit tout deux, il semblerait qu'un choc moral est produits cet effet. Vous pouvez voir sur cette radio, la dégradation impressionnante de son lobe droit arrière. Normalement a se stade, c'est plus que la parole qu'une personne peut perdre. Ce n'est pas du tout normal ! personne ne peut se dégrader aussi vite !!!"

*Elevân tire une de ses tête, il est blanc comme la fumée d'une locomotive ! Comme si le docteur lui disait l'arrêt de mort de la fille qu'il a élevé depuis si longtemps. Mais le neurologue n'a pas fini.*

"Eheh... vous allez rire, moi même je n'en reviens pas ! Mais au cours de nos examens, on a remarqué une amélioration notable de son état. Alors nous avons fait d'autres radios... et regarder le résultat !!! C'est comme si... comme si sont cerveau se régénérai tout seule !!! Elle a une capacité de régénération impossible scientifiquement parlent !!! Pourtant, euuum... Elevân, c'est bien votre fille qui a plus de 200 ans hein ? et qui a l'apparence d'une simple humaine... et bien... et bien... et bien je ne me l'explique pas !

La elle dort encore, mais dans quoi... 20 min a ce rythme la, sont cerveau sera comme neuf, et le pire avec toutes les capacités perdu, qui reviennent comme par magie, comme si ça mémoire était dans ses gènes... je sais pas... c'est un énergumène votre fille... une sorte de monstre de la nature, au point de vue positif hein ?... donc bon.."

*Le médecin continue a blablaté, complètement fan du cas "Alcali"... mais Elevân ne retrouve pas sa couleur d'origine pour autant.*

*L'elfe noir se calme plutôt vite lorsqu'Elevân apparaît. Il observe attentivement les photos, perplexe. En bon nécromant il connaît plutôt bien l'anatomie et a été initié aux expertises nouvelles. Le cerveau reste important pour les morts ramenés à la vie comme les vivants. Il ne sait pas comment cela se soigne, mais comprend plutôt bien tout cela et reste perplexe. Il se pose beaucoup de questions à présent quant à la nature réelle de la jeune femme à vrai dire. Il se retourne enfin n'écoutant que d'une demi oreille les dires du médecin, puis se rapproche l'air sûr.*

Faites en sorte que tout ce qui apparaît ici ne sorte jamais de ces murs. Il vaut mieux pour vous qu'il n'y ait aucune... fuite d'informations!

*Puis à Elevân en parole mentale.*

#C'est car j'étais... spécial qu'ils m'avaient attaché... les médecins ont tendance, parfois à vouloir jouer avec des créatures encore vivantes lorsqu'ils trouvent des cobayes extraordinaires. Et je ne tiens pas à ce qu'Arfel reste entre leurs griffes.#

*Elevân se réveille enfin. Lui soigne beaucoup le corps, mais ne connaissait rien quand a ce qui concerne le cerveau. De la façon dont il traitre ça, l'elfe blanc a l'impression que le docteur lui parle d'une masse... oui d'un tas de cellules neuronales extraordinaire, et pas de sa fille en t'en qu'être humain. C'est ce qui lui fait prendre le même avis que Rödschrek.
Il se lève d'un seul coup et prend carrément les clichés en rajoutant.*

Je vais même les détruire, vous comprenez cher collègue, que ma fille est comme elle est, et que depuis énormément de temps, c'est ainsi. Je suis bien contant qu'au final elle s'en sorte sans complications, et c'est ce pourquoi nous sommes venu ici... Il va s'en dire que le reste m'importe peu ! Merci pour votre travail. Je suis rassuré.

*Le neurologue décrépie, et semble d'un seule coup triste.*

"Mais... mais laissez nous au moins faire quelques analyses de plus !!! elle ne sentira rien, ce ne sera pas douloureux pour elle, et ça pourra sen doute faire avancer la science et sauver des millions de vie !!!"

*Ce que dit mentalement l'elfe noir, confirme la peur du manipulateur de flammes. Il voit ce collègue a présent, tout aussi dangereux que le corbeau, a sa manière. Il commence donc un peu a s'échauffer gentiment.*

Je ne penses pas que ma fille soit d'accord pour jouer les rats de laboratoire ! Je peux savoir ou elle dort ?

*Le pire est, que si la jeune femme entendais le discours du médecin pour sauver des vies, elle se lancerais tête baissé dans cet engrenage, et c'est pour éviter cela, qu'il veut rapidement la retrouver et sortir d'ici.*

"Bien bien... suivez moi..."

*Elevân garde les oreilles baissé, et le médecin quand a lui, ne semble pas prés a coopérer longtemps. Le père adoptif de la semi elfe commence a avoir une autre vision de l'établissement, depuis que ça touche a un membre de sa famille. Il se tourne vers l'elfe noir, voyant avec quel intérêt et clairvoyance, il semble lui aussi vouloir soutenir sa fille... il ne le dit pas mais en est content.*

*Elevân avait presque oublié l'enfant, c'est ce qui le fait se retourner un moment vers l'elfe noir. Il a retrouvé sa fille, donc une grande partie de sa crainte est partie... reste encore le problème du logement. Il se met alors au même niveau que l'elfe noir et regarde sa jambe.*

Et avec tout ça, j'en ai oublier mon métier. Dés que tu sera dans la chambre avec Arfel, j'irais te chercher un siège volant... ça ne fera pas de mal a ta jambe.

*Quand ils entrent alors, il donne un sourire rapide a l'enfant, ne sachant pas trop comment réagir avec du faite qu'il soit a présent avec le maitre qu'il désirait t'en revoir. Arfel semble avoir été chouté, ses pupilles en sont témoins... et aucunes réaction a la voix de son père. Il souffle et attend que le médecin parte. Il se tourne encore un moment vers Rödschrek et le secoue pour le réveiller un peu.*

Eh ? ça va pas ? toi aussi tu nous quitte pour Morphée ?!

*L'elfe noir ne réagit pas tout de suite aux secousses d'Elevân. Il relève le visage avec un grand train de retard, il est complètement à l'ouest et commence à beaucoup transpirer.*

Quoi?

*C'est étrange, comme s'il ne se rendait pas compte de ce sur quoi Elevân a fait un arrêt. Dans la pièce, un bruit de chute s'entend, la chimère vient de tomber inconsciente.*

*Arfel gémis et se crispe dans son sommeil, quand la chimère tombe. Elevân se précipite sur l'enfant pour voir ce qu'il a, et le rebouste un peu avec des flammes bleu, tentent de le réveiller.*

Et bien petit père... qu'est ce que tu nous fait ?

*Elevân commence a sentir que le l'instant qui va suivre, ne va pas être un moment de repos pour tout le monde. Alors il prend l'enfant dans ses bras et va le poser sur un lit juste a coté.*

*Si Elevân avait pu crier, il l'aurait fait... mais il s'en retient fortement. Un infirmier passe au même moment, et l'aide a mettre sur un autre lit encore, le malade chronique. De son coté Arfel est agité suant presque autant que l'elfe noir, ce qui fait vraiment prendre les trips a sont père. L'infirmier reconnait Rödschrek, et se dit que s'était une erreur d'avoir laisser l'elfe bleu partir, vue dans l'état ou il se retrouve encore. Il était aussi dans le coin pour s'occuper discrètement des somnifère d'Arfel, mais Elevân ne le laisse pas s'approcher d'Arfel... Il est rouge, vraiment rouge de rage !!!

Il commence a comprendre que c'est une autre de ses crises... et il en a raz le bol, se disant qu'a la longue si sa fille reste avec, ça l'épuisera tout autant. Alors se rapprochant de l'endormit, et vérifiant que la chimère ne crève pas sur place, il tente de comprendre comment il se fait vider de la sorte. Sans doute par ce frère... un unie de lui car il est du même sang et ils devaient bien s'entendre. Seulement ce monstre necromentique vide par la même aussi sa fille, et jamais il ne laissera faire cela !

Il attend un peu, propage des flammes bleu sur Röd, et attend.*

*La grande question qui est "pourquoi ce vidage intempestif d'énergie ce fait il ?" n'est pas totalement un problème pour lui : il sait que derrière cela, il y a un frère malade qui ne sait pas ce qu'il fait réellement, la douleur rongent ses entrailles de la pire façon qu'il soit. Seulement, le lien entre Rödschrek et sa fille ne peut se couper... même après la mort s'il a bien compris. Alors il est impossible de couper le lien entre l'ancien roi et son frère.

Alors pour le moment, tout ce qu'il trouve a faire est d'assommer l'elfe noir de médoc. L'elfe blond est soucieux, et réfléchit beaucoup a la proposition de loger chez l'elfe bleu. Mais quand a savoir s'il n'y a pas d'esprit, cela il en doute, et même si cela est vrai, il ne veut pas devenir esclave de rites pour les faire fuir. Alors il attend auprès de sa fille, gardant un œil sur chacun. Il enregistre tout de même la nature du lien ou plutôt son empreinte, pour pouvoir commencer une chasse au lasard quand tous serons a l'abri. Ici... il n'est plus trop confient de laisser sa fille aux mains de médecins.*

*Le médecin ne reparaît pas en présence d'Elêvan. L'elfe faisant partie du corps médical, il ne vaut mieux pas s'attirer ses foudres en insistant trop. Et le faire dans son dos n'est pas bon non plus, de toute manière il veille. Elfe noir, chimère et demi-elfe dorment d'un sommeil de plomb pendant environ 2 heures. Au bout de ces deux heures, c'est la chimère qui émerge lentement, difficilement.*

Y s'est passé quoi? J'ai froid...

*Effectivement, l'enfant est brûlant aussi et il possède trop peu d'énergie, ne serais ce que pour changer de forme. S'en rendant compte Maïtaga prend peur. Il ne se rappelle que trop bien ce qui s'est passé la dernière fois qu'il n'a pas eu assez d'énergie pour soutenir son corps de chimère : il en est mort et s'est retrouvé prisonnier dans le corps de son roi. Cette vision le hante tout à coup.*

*Elevân se rapproche vite de la chimère et l'entour avec une couverture de plus. Doucement il lui dit.*

Ton maitre nous a fait encore une crise. Une assez forte apparemment, il se tordait dans tout les sens.Je n'ai trouvé que des calment pour l'apaiser un peu... Il fait souvent ce genre de crises n'est ce pas ?
Il me semble que c'est ce qu'Arfel a vécu a plusieurs reprises... et ça lui pompe le moral a elle aussi. Sais tu quelque chose... le moindre indice pour éviter cela ?

*Il prend une chaise et s'installe prés de l'enfant pas vraiment enfant.*

*Maïtaga se roule en boule dans sa couverture.*

Je sais pas... si... c'est son fr...
euh... vaut mieux pas en parler là il m'entend maintenant. Il faudrait le renvoyer, faire le boulot d'un nécromant quoi... mais je peux pas m'en approcher. Personne ne peut s'en approcher, un lazarre, ça vous fait voir toutes les fautes toutes les horreurs qu'on a commises mélangées à celles qu'il a vu, au centuple.... Je sais que dans le regard d'un lazarre, on voit tout ce que l'humanité a de plus hideux, il reflète la pire partie de notre âme... à tous... Alors je ne peux pas m'en approcher car ma condition même fait que je suis un fléau.

*Il se cache un peu plus encore dans sa couverture, il est particulièrement triste et se retient de pleurer.*

Je ne sais pas quoi faire... je ne joue plus du tout mon rôle de gardien.

*Elevân n'a pas particulièrement des choses a se reprocher de ses 1000 dernières années, il avait toujours assumer ce qu'il fessait... sauf peut être ce qui s'était passé pendant la guerre contre nescromn et de n'avoir pas pu sauver sa première femme. Mais il imagine bien que même s'il, n'avait rien a regretter, un passage a coté de ce terrible frère ferait des catastrophes sur lui.
Bras croisé et le regard perdu, il se sent une foi de plus dépassé par les évènements. Il se tourne vers la chimère et pose une main sur sa tête.*

Personne n'est infaillible, et même si tu es gardien, tu es bien jeune aussi !

*Au même moment Arfel ouvre les yeux et tourne la tête vers les parleurs en disant un faible.*

Je sais... ce qu'il faut faire...

*Il semblerait qu'elle est retrouvé la parole ! enfin.*

*Arfel sent aussi qu'il écoute, et trop y penser lui ferait voir tout ce que la jeune femme sait, vue qu'il sont proche dans la même salle. Alors un moment elle hésite le regardant, et d'une voix cassé dit finalement.*

Il faut lui prouver le contraire...

*C'est tout ce qu'elle dit, comme on le lui avait déjà expliqué, et a peine elle dit ses paroles qu'elle se force a penser a autre chose... car c'est pour le bien de Rödschrek. Seulement il lui semble qu'ils ne pourront plus longtemps tout cacher, et sa folie le reprendra. Elle sera prés de lui, apportant le soutient qu'elle peut lui donner a son maximum.
Elle tente de se mettre assise sur le bord, a vrai dire elle ne ressent plus de fatigues, juste de l'engourdissement.*

Qu'est ce qu'il s'est passé ?... pourquoi... pourquoi il fait semblant de dormir ?

*Elle se met a sourire un peu, rien que pour le narguer.*

*L'elfe noir bascule sur le côté et leur tourne le dos. Arfel peut entendre en parole mentale :*

#grillé... merde#

*Il serait bon de clairement se relever à présent, il recommence à se rappeler de la situation et y réfléchi de nouveau sans vraiment répondre à Arfel.
C'est la chimère qui se bouge à sa place. L'enfant quitte enfin sa couverture se met debout et le rejoint. L'elfe noir s'assoit alors et l'observe. Un étrange accord tacite vient de se produire entre eux deux, ils sont les seuls à le connaître vraiment. L'enfant grimpe sur le lit de son roi et se blottit contre lui. Pas de paroles de la part de l'elfe noire. SOn côté guerrier aurait eu tendance à dire à la chimère de se maîtriser, mais il sait à ce moment combien il a besoin de ce petit moment pour lui, alors il se laisse faire.
Et de toute manière il est trop patraque pour empêcher quoi que ce soit. Il se tourne vers Arfel et demande d'une voix patteuse :*

Et toi, tu vas mieux?