par Arfel Alcali Dim 21 Déc - 23:30
*A ses moment de grande craintes, Arfel n'avait pas besoin qu'on la laisse seule avec sa grande peine. Elle avait besoin d'attention, les mots n'étaient pas nécessaire. Arfel veut croire que ça puisse être possible, mais le voir partir une seconde foi, pour elle c'est une catastrophe dont elle ne réussirait pas a se relever. Quand Arfel petite fessait des cauchemars, son père restait a son chevet pour la veiller... sans doute s'est elle habitué a ce genre d'attentions, mais aujourd'hui c'est presque de l'ordre du vital. Alors son père avait raison ? la lune et le soleil ne pouvaient dominer dans un même ciel sans que l'obscurité et la lumière ne se livre bataille ?!
Il faut dire qu'elle voit les sciences noires comme une ennemie farouche, qui tôt ou tard le tuera une seconde foi, le vidant de sa vie petit a petits. A chaque actions, son énergie a lui étant la principal "essence" consommé par cette machine gourmande.
Il par, comme la dernière foi, se trouvant de trop dans sa vie comme le pire des monstres... mais au contraire, il n'est pas assez présent. Les yeux fermé, en boule, c'est un cri intérieur, un appelle torturé a peine audible qui émane de l' esprit d'Arfel... lui demandant de rester, rester prés d'elle, le sentir vivre dans ses bras, se réjouir de le voir tout les jours avec ses hauts et ses bas. Il n'est pas une ombre, il a sa place dans ce monde, et semble vite y renoncer a cause de son passé. Le cri d'Arfel se fait plus perçant, plus désespéré, a chaque pas qui l'éloigne encore : elle a besoin de lui.
Et pour couronner le tout, son énergie se vide comme en présence d'un esprit, et s'évaporant de son corps. De son œil qui capte la chaleur,Rödschrek peut facilement le voir, dépérissant comme une fleur sous un trop chaud soleil. Ses lèvres deviennent bleu, elle a froid... très froid... trop froid, et elle tombe a la renverse inconsciente.*