Une histoire d'âmes...

*La jeune femme craque et se met a pleurer, toujours sans savoir, et cette foi elle n'est pas très discrète. Ayant vue qu'elle s'est fait remarqué, elle repart au camp en courant, affolé que ses yeux pleurent a sa place.*

#Mais qu'est ce qui m'arrive ?!!!#

*Il est impossible de dormir pour l'elfe blond. Il ne le montre pas devant Rödschrek, mais il craint bien que sa compagne l'es a tout jamais oublié a un moment ou il a sans doute le plus besoin d'elle. Le pire est qu'elle est perdu tout ses souvenirs depuis qu'il l'a adopté, comme si en suppriment la tache noire, il avait formaté sa mémoire. Tout ça n'annonce pas de bonnes choses. Il se relève alors, et va aider Fura quand Arfel revient les larmes aux yeux.*

Quoi ? que s'est il passé ?

*La jeune femme rétorque.*

Rien du tout.... rien... je... pleure sans savoir... rien...

*Puis elle rejoint sont endroit de prédilection, pour se terrer et ne plus sortir un seul mot, de plus en plus perdu. Elevân souffle : en arrivant a la capitale Elfienne, même s'il n'en a pas le moins du monde envie, il irait voir des neurologues... ceux qui voulaient lui faire des expériences. Sans doute en parler avec l'elfe noir serait une bonne chose, mais pas pour le moment... il a sont deuil a faire.*

*En l'entendant l'elfe noir se rapproche. Pas précipitamment, il la suit de loin, ne voulant l'effrayer toujours. Il se rapproche timidement du groupe, observe Elevân un moment puise Arfel en se pinçant les lèvres. Un peu bête au milieu du campement, il se dirige enfin vers Arfel, ressentant son trouble. Il s'asseoit devant elle, soupire.*

Dis moi, je sais que tu as peur de moi, mais tu me surveillais... Alors... c'est que tu voulais me demander quelque chose? Si tu veux de l'aide je peux t'aider. Il y a quelques moi j'avais oublié tout de ce que j'étais, et tu m'a aidé à apprendre à vivre malgré ça. Alors aujourd'hui je peux peut être t'aider à mon tour.

*Sa voix est douce mais incertaine. Si l'elfe noir pense vraiment ce qu'il dit, il est en proie à un grand conflit intérieur, une grande peur qu'elle le repousse.*

*Arfel baisse les yeux, oui elle a peur de lui, lui qui ressemble a ses bourreaux en plus sombre encore. Il lui semble qu'elle n'avait jamais vue d'elfe noir avant. Tendent de reprendre consistance devant ses gentils mots, elle bégaie en s'essuyant les larmes, l'ancienne Arfel refassent surface quelques instants.*

Toi aussi... tu... tu... tu as perdu... la mémoire ?... Je... je veux que tu me raconte alors... sniff... ce que... ce que j'ai oublié... et aussi qui tu es... jamais je n'ai vue d'elfe a la peau de nuit...

*Elle a un air peu assuré, comme une gamine qu'elle est en se moment mentalement. Elevân fait comme s'il n'avait rien entendu et continue l'aide apporté a Fura. Arfel ose après quelques hésitation, affronter sont regard d'or, le visage très expressif.*

Tu... as été touché par... la mort ?

*Lorsqu'elle lui demande de tout lui raconter un léger sourire pointe sur son visage comme une petite victoire dont il est bien fier. Mais la dernière question l'efface complètement. Il baisse la tête, ferme un moment les yeux et soupire, prenant beaucoup de mal à faire le vide dans la tête. Il hoche simplement de la tête, positivement, les oreilles baissées, puis rouvre les yeux.*

Oui... trop de fois. Tu ne te rappelles pas à ce que je vois mais...

*Il soupire encore*

Mais c'est toi qui m'a appris à la supporter... Même si c'est difficile.

*Sa voix tremble beaucoup, il se justifie alors, passant une main sur son œil robotique.*

Excuse moi. J'ai un peu de mal à parler de ça encore.

*Il soupire de nouveau.*

Tu connais deux elfes noirs comme moi. Il y en a un aux cheveux blancs, un ami à toi qui s'appelle Sorwin, et moi...
Je suis... enfin un ami...

*Il se perd de nouveau et un lourd silence s'installe, il peine à continuer, sa voix est plutôt enrouée.*

Je peux me mettre à côté de toi? Je ne te ferais pas de mal. Je ne t'en ai jamais fait.

*A présent qu'elle a tourné ses yeux vers lui, il lui semble impossible de détacher sont regard. Tout, ses mimiques, ses expressions lui disent quelque chose, mais un brouillard l'empêche de voir plus loin. Plus loin, Elevân sourit de voir la tête que tire les deux lié : l'un dont il a l'impression qu'il marche sur une corde raide, et l'autre un air hypnotisé par celui qu'elle a devant lui.

La jeune amnésique répète tout bas les noms et quelques mots qui sort de la bouche de Rödschrek comme pour mieux les comprendre.*

Un ami...

*Un doute l'assaille d'un seul coup : et s'ils se moquaient d'elle ? qu'il ne lui disaient rien de vrai... mais au contraire, une petite voix en elle lui dit "chut et écoute". Si c'est un manipulateur, il sait comment s'il prendre avec elle ! Quand il lui demande de s'assoir a coté, elle déblai la place a coté d'elle pour qu'il s'assoit sur du "propre".*

Tu peux...

*Il lui sourit, un peu tristement, mais heureux de pouvoir malgré tout "l'approcher". Ainsi même si son amnésie se faisait définitive, il ne la perdrait pas complètement. Il s'assoit près d'elle, plus en boule que vraiment assis. Il a perdu ses mots en cours de route et enchaine un minable : *

Euh...

Je...

je...

... sais pas par quoi commencer...

#pas doué...#

*Comme pour rendre la situation ridicule son ventre se réveille à ce moment là gargouillant plutôt bruyamment. L'elfe noir devient rouge, et s'excuse bêtement.*

Tu... tu devrais commencer par.... manger... si tu mange pas c'est ton ventre qui parlera a ta place...

*Elle sort le sac de palme qu'elle avait caché, et en ressort quelques fruit. Elle lui prend les mains et y met les condiments.*

Ça va le faire taire... ma mère me dit toujours... elle... me disait...

*Elle se met en boule elle aussi, les bras entre les jambes et le torse.*

Tu peux... commencer par... pourquoi on est ici ?...

*L'elfe noir se laisse faire, le geste est touchant un peu trop pour lui, il se pince les lèvres mais des larmes coulent quand même. C'est typique de l'Arfel qu'il connaissait alors que celle ci est différente. Il se les essuie bien vite et la remercie, commençant à manger sans réel appétit contrairement à ce que son corps dit.*

On... on est ici pour... parce... parce que vous vouliez me protéger de... des gens qui me suivent... j'ai essayé de vous en protéger, mais comme vous me connaissez vous êtes venus aussi par précaution. Et de toute manière j'étais trop malade à ce moment pour me défendre seul. Voilà.

*Il soupire encore*

Je crois que je n'explique pas très bien.

*Lui aussi pleure, c'est qu'il doit être fatigué penses t'elle. En effet, ses explications ne sont pas bien clair. Des gens qui le suivent... elle se sent un peu plus proche de lui, car elle aussi est suivit, était suivit ? sera suivit ? Pour ne plus s'embrouiller avec ses propres questions, elle lui répond.*

C'n'est pas grave... tu... on es un peu pareil alors. Et pourquoi... ses gens te poursuivent ?

Je sais pas...
C'est comme ça c'est tout...

*Il lui rend ses fruits, décidément il n'arrive pas à manger.*

Je vais aller voir Maïtaga qui dort là bas. Il a besoin d'être surveillé de temps en temps. Je reviens si tu as besoin.

*L'excuse est vite trouvée, il se relève doucement, puis s'éloigne les mains dans les poches, s'installer près de sa chimère qui ne semble pas vouloir se réveiller. Cet état fait peur à Röd... et si 'Taga était mort? impossible.*

*Arfel range les fruits non voulu, et s'approche discrètement, pour s'assoir accroupie a coté de la tête de la chimère. Du bout des doigts, elle touche a ses cheveux noir de geai, pensivement. Tout bas elle dit alors.*

Il dort profondément. C'est ton enfant... ? Il te ressemble beaucoup...

*De son coté, par la pensée, Elevân explique rapidement a Fura, ce qui arrive a sa fille. Il retourne la tête et la regarde faire avec Maïtaga, rien de plus. La situation semble tendu, trop de questions sans réponses, trop de tristesse. Arfel n'ose pas demandé ou est la mère de l'enfant, voyant que cette question serait de trop.*

C'est ma chimère. Un de tes amis aussi.
Il t'aime comme si tu étais de sa famille.

C'est un peu mon cas aussi...

*Il lui envoie un léger sourire. Triste mais particulièrement chaleureux. Puis s'allonge contre l'enfant. Il l'embrasse sur le front, et reste ainsi.*

Je n'arriverais pas à dormir mais j'ai envie de rester un peu près de lui. Quand il sent ma présence il peut guérir plus vite.

*La dragonne quand à elle fronce les sourcils en entendant les dires d'Elevân. Tout bas elle lui dit : *

Tu devrais peut être un peu aider l'elfe noir. Je ressens très fort ses sentiments depuis tout à l'heure, il va craquer dans peu de temps...

Oui tu as raison...

*Il interpelle donc Arfel rapidement, qui a présent qu'elle connaissait un peu les personnes qui les entour, veut les suivre partout.*

Arfel... vient... laisse donc Rödschrek se reposer avec sa chimère.

*Arfel s'exécute et s'assoit a coté de son père, qui lui donne vite une occupation. Arfel tire encore une sale tête, une gène réelle visible, quelque chose qu'elle n'arrive pas a exprimer. Elevân lui donne des petit panier de palmes et des cartiers de viande, et patient il lui explique.*

Tiens jeune fille... met la viande que l'on te donne dans les petits sacs. On va faire cuire a l'étouffé cette viande pour le voyage de retour. Tu peux t'en occuper ?

*Elle hoche la tête, et regarde Fura faire, sa nouvelle occupation, tout en fessant ce qu'on lui a demandé. Tout bas pour ne pas réveiller ceux qu'elle croit dormir, elle dit au petit groupe de boucher.*

Il est gentil avec moi... mais... il... il est trop triste... il faut l'aider ?

*Elevân répond.*

Oui tu pourra l'aider, beaucoup même... mais pour le moment il a besoin de silence et de repos, alors chut.

*La jeune femme fronce les sourcils et se tait.*

*La dragonne sourit, attendrie. Elle fini d'étendre la peau au sol, maintenant qu'elle a emmené les restes de l'animal vers une zone ou ils feront le bonheur d'autres créatures. Elle a eu le temps d'essuyer ses bras en partie reptilien et sourit à présent à Arfel. Tout bas elle lui dit :*

Moi je sais ce que tu pourrais faire pour l'aider.

*Elle se rapproche et tente de parler assez bas pour que l'elfe noir qu'elle sait en train d'écouter ne puisse entendre.*

Tu vois demain on va repartir en ville tranquillement. Comme il est fatigué on va marcher doucement. On va manger tranquillement, et je pense que si tu le vois encore très triste, eh bien si tu le prenais dans tes bras il serait heureux.

*Avec un petit sourire coquin elle ajoute : *

Les hommes jouent les durs, mais les câlins c'est toujours ce qui remonte le plus le moral, t'es pas d'accord? Et après on va l'obliger à manger, il ne guérira jamais s'il ne mange rien!

*Les gestes enfantins, s'accroupir, jouer avec tout les trucs qui passent dans sa main, devient de plus en plus visible et insupportable pour son père adoptif. Quand il sont a table, Arfel regarde le jeu de l'elfe noir avec les flammes. Ellel s'émerveille et dis.*

Je ne sais pas faire ça... tu m'apprendra dis ?... comment tu fais pour ne pas te bruler ?

*Ainsi, en plus d'avoir perdu la mémoire, elle a aussi perdu la maitrise de ses dons. La viande passe mal dans la gorges du maitre flamme, mais il ne dit rien, stoïque pour ne pas montrer sa tristesse. Avant que Rödschrek ne dise quoi que ce soit, il dit a celle ci.*

Arfel... je pense avoir trouvé un espoir pour que tu retrouve un peu la mémoire. Demain matin si tu veux bien, on ira a un lac pas loin : il faudra que tu sois entièrement dans l'eau pour cela.

*Aussitôt les yeux de la jeune femme montrent une grande peur.*

Pas...pppaaas... l'eau ! ça... rendre dans la bouche et ça étouffe... non...

*Elle en tremble presque, l'eau la terrifie. Ça ne va pas l'aider ! Il souffle et ne parle plus, mais a sa petite idée du pourquoi.*

*Ayant entendu les paroles d'Elevân et un brun d'espoir en vue, c'est le moment ou l'elfe noir décroche de son mutisme complet.*

L'eau n'est pas méchante si tu sais comment agir avec elle. Il faut juste retenir sa respiration, et en échange elle lave le corps et l'esprit, on en meurt pas, au contraire on se sent bien après.

Je ne sais pas ce que veut te faire faire Elevân mais c'est pour ton bien et tu ne cours aucun risque j'en suis sur.

*Un nouveau gargouilli vient appuyer ses dires. Le sourire tendre du drow se transforme encore une fois en rougissement débile. La dragonne lui tend une feuille sur laquelle repose de la viande tiède. S'il avait s'agit d'un jour normal il n'aurait pas accepté, mais ici la faim le domine. Il la prend et commence à l'entamer.*

*Arfel n'ose pas toucher au morceau de viande devant elle : la jeune femme a peur qu'il revienne... celui qui les a tué tous sans exception. Les dires du drow la calme, et il est comique de plus avec son estomac gargouilleur. Elevân leur explique le système.*

L'eau est de tout temps un purificateur... car il enlève les saleté et aussi par son cycle entre terre ciel et mer, il se purifie lui même. Ce que les manipulateur de l'eau on appris, c'est a nettoyer aussi l'intérieur et l'esprit. Je penses qu'Arfel a un résidu ce cette marque noir qui obstrue encore sa pensée...

Je dis ça parce que la perte de mémoire est l'un des éléments résultant d'une attaque d'un esprit... je ne vois rien d'autre... et j'espère... que ça marchera.

*Arfel demande tout bas.*

Et... le... l'elfe blanc.... vous me promettez qu'il ne sera pas la hein ?...

*De suite Elevân répond comme si tout le monde voyait de qui elle parle.*

Il n'est plus Arfel... ne t'inquiète pas... on te protègera. La seule chose dont tu peu craindre, est que cette eau sera un peu froide^^ !

Bah au pire je plongerais te repêcher si tu coule.

*L'elfe noir hausse les épaules, la dragonne laisse échapper un ricanement, avant de rajouter un "il plaisante".

Même si la situation n'est pas joyeuse, l'elfe noir mange un peu plus facilement, mais il s'arrête tout à coup.*

Elevân...

*sa voix tremble, son ton indique qu'il pense tout haut*

et si les souvenirs étaient dans la marque?

*le sous entendu est clair : en enlevant la marque, il aurait enlevé toute la personnalité de la jeune femme...*

*Arfel fait la moue... les enfants n'aimant pas les sarcasmes qu'il voient comme une réprimande. La elle se voyait couler dans un fond interminable, et rien que cette pensée la renfrogne un peu. Inquiète tout de même, elle joue avec sa nouriture du bout des doigts et ne mange pas.

Quand Rödschrek pose sa fameuse question. Celui-ci prend son temps pour répondre... oui... il y a cette possibilité.*

Et bien, je ne connais pas assez ce genre de malédictions parasitaire. Je... je ne peux pas dire grand chose car la ou nous vivions, jamais personne n'en avait vue. De plus aucun de nos livre en parlaient. Je... je ne sais pas du tout. Si c'est le cas, il faut espérer que cette marque ne soit pas totalement morte, quoi que j'en doute vue qu'elle est disparu.

Vous n'aviez pas ce genre de malédictions chez toi Rödschrek ? ou n'en a tu jamais entendu parlé ? et toi Fura ?

*Arfel tente de suivre, mais elle est complètement largué, et pique déjà du nez.*

Je sais que j'avais beaucoup de connaissances sur les parasites. J'étudiais beaucoup de créatures de ce style à cause de mon fardeau mais aussi à cause de ce que pouvaient créer certaines choses qui m'effrayaient. Des démons de sang, des dragons d'âmes, des malédictions en tout genre. Mais je n'ai que le souvenir d'avoir étudié des choses de cet ordre.
J'ai... oublié... Je revois encore certains schémas. Je sais comment fonctionne un parasite aussi. Il donne toujours quelques chose et en échange se nourrit d'autre chose. Ma lance par exemple se nourrit de sang et d'effluves magiques. Pour me forcer à l'utiliser elle agit un peu comme une drogue, embrouille mes sens, mais en échange elle me donne une forte puissance...

*L'elfe noir ne semble pas avoir conscience de l'avoir perdue.*

Il faudrait trouver ce qu'elle prenait et donnait à Arfel.

La parole et les souvenirs bloqués sont certainement une conséquence de ce qu'elle prenait. Je dirais peut être son énergie vitale, mais que lui donnait elle... ça je ne sais pas. En sachant on pourrait savoir comment elle agissait et donc agir en conséquence pr lui faire retrouver ses souvenirs...

uhm...

*La dragonne se rapprocha, massa les épaules d'Arfel, et posa sa nourriture à côté.*

Viens je vais te mettre à dormir un peu ça te fera du bien.

*Puis reparlant à Elevân*

Il est vrai que ma bête fonctionne sur ce principe et c'est grâce à ça que je peux la maîtriser...

*L'elfe noir reprend en voyant la dragonne s'éloigner.*

Demain qu'allez vous lui faire faire exactement?

*Arfel acquiesce et prend la main de la dragonne, quand d'un seule coup elle la lâche et cours vers le foyer de feu. Elle prend par l'arrière Rödschrek en l'entourant au coup, pour finir pas lui faire un gros bisous baveux sur la joue. La chipie fait de même avec Elevân avant de leur dire bonne nuit et rejoindre Fura.
Le maitre flamme sourit nostalgique, et répond a l'elfe noir.*

Hum... et bien si ce parasite se nourrissait de ses émotions, ses souvenirs ou bien encore ses flux vitaux... je me demande bien quel pouvoir il lui donnait en échange. Il est vrai qu'elle a une apparence d'humaine, avec quelques contradictions, comme ça vie d'immortel, et la possibilité de diriger les quatre puissances Aliques. Mais a par ça... je ne vois rien d'autre. J'espère qu'elle n'a rien perdu ce cela, elle a bien pourtant du sang d'elfe.

*Une courte pause, puis il répond a sont autre question.*

Le rite du Beth-zelta est un procédé très anciens, accessible seulement au êtres qui veulent réellement le faire. A par cela, il ne faut pas obligatoirement être un manipulateur de l'eau. L'idée est de plonger entier dans l'eau, être totalement imprégné de cet élément. Il faut fermer les yeux et se concentrer sur ce que l'on désir... et si c'est sincère, cela ce voit de suite. L'eau fait le reste, en guérissant les peurs profondes, en aidant a se souvenirs d'une chose importante... Ça lave l'esprit de toutes impureté qui détruisent le moral.

Mais en effet... en savoir plus sur ce parasite nous aidera a mieu voir clair, car ce rite ne fera pas tout, sans doute... ou alors il faut espérer.

Oui... et si elle a peur de l'eau elle risque de paniquer et votre rite ne fonctionnera pas...

*L'elfe noir lâche un soupir.*

J'attends qu'on rentre en ville avec impatience... en attendant. Si d'ici là elle n'a pas retrouvé la mémoire j'irais à la Citadelle fouiller la grande bibliothèque je suis sur de trouver ce que je cherches. Même si cela relève des arts noirs, c'est ce qui a le plus de chance de me dire de quoi il s'agissait. Après tout c'est un maléfice vous l'avez dit vous même. Quand à ceux qui me poursuivent, si je suis de nouveau attaqué je fuirais cette fois par précaution.

Cela me permettra également d'emprunter une plante dont j'ai besoin pour guérir Maïtaga plus rapidement.

#Je vais pouvoir reprendre des cigarettes...#

*Elevân a un sourire moqueur en entendant la pensée de l'elfe noir. Il se demande comment il a fait pour supporter cet endroit sans sa drogue. Sans doute grâce a sont substitue liquide. Il acquiesce et passe de suite a la chimère, depuis un petit moment il cherche le bon moment pour lui demander ce qu'il a. Il se rapproche et lui demande.*

Oui... a propos de Maïtaga... qu'a t'il ? ce n'est pas normal ce coma pour une chimère ?!...

*Puis il se met a regarder sont bras. Il na va pas tarder a aborder le sujet, puisqu' apparemment il n'a pas sentie la différence.*